La 4ème édition des Journées du Cacao et du Chocolat (JNCC) qui a eu lieu du 29 septembre 2017 au 1er Octobre 2017 a été marquée par un panel autour du thème :’’Quelles alternatives pour améliorer les revenus des producteurs ?’’.
Au nombre des solutions évoquées, le Dr Christophe Kouamé Directeur Pays du Centre international de recherche en Agroforesterie (ICRAF) a fait cas de l’agroforesterie. Outre les revenus du cacao, les productions des plants compagnons génèrent des revenus additionnels et/ou des produits alimentaires, médicinaux ou culturels. Et cela favorise une productivité et une rentabilité meilleure, a expliqué le Dr Christophe Kouamé.
Poursuivant, le Directeur pays de l’ICRAF a révélé qu’avec l’Agroforesterie, le champ de cacao se dégrade moins vite, la mortalité des jeunes plants est réduite et la production peut aller au delà de 40 ans. La présence d’arbre donne de l’ombrage aux cacaoyers et permet d’atténuer les effets des perturbations climatiques. Et l’ensemble des arbres compagnons peut ainsi enrichir la biodiversité et la couverture arborée des paysages.
Les avantages de l’agroforesterie pour la culture du cacao, a en croire le Dr Christophe Kouamé vient de ce que les arbres participent à la séquestration du carbone notamment avec la réduction des gaz à effet de serre. Aussi a-t-il ajouté, il est démontré que les systèmes agroforstiers de cacaoyers régulent les populations des insectes utiles et nuisibles tout en protégeant les champs contre certaines maladies.
‘’En créant des meilleures conditions de production durable du cacao et de diversification des sources de revenus, l’agroforesterie est une excellente alternative pour améliorer les revenus des menages des producteurs de cacao’’, a conclu le directeur pays de l’ICRAF.
Elisée B.
Au nombre des solutions évoquées, le Dr Christophe Kouamé Directeur Pays du Centre international de recherche en Agroforesterie (ICRAF) a fait cas de l’agroforesterie. Outre les revenus du cacao, les productions des plants compagnons génèrent des revenus additionnels et/ou des produits alimentaires, médicinaux ou culturels. Et cela favorise une productivité et une rentabilité meilleure, a expliqué le Dr Christophe Kouamé.
Poursuivant, le Directeur pays de l’ICRAF a révélé qu’avec l’Agroforesterie, le champ de cacao se dégrade moins vite, la mortalité des jeunes plants est réduite et la production peut aller au delà de 40 ans. La présence d’arbre donne de l’ombrage aux cacaoyers et permet d’atténuer les effets des perturbations climatiques. Et l’ensemble des arbres compagnons peut ainsi enrichir la biodiversité et la couverture arborée des paysages.
Les avantages de l’agroforesterie pour la culture du cacao, a en croire le Dr Christophe Kouamé vient de ce que les arbres participent à la séquestration du carbone notamment avec la réduction des gaz à effet de serre. Aussi a-t-il ajouté, il est démontré que les systèmes agroforstiers de cacaoyers régulent les populations des insectes utiles et nuisibles tout en protégeant les champs contre certaines maladies.
‘’En créant des meilleures conditions de production durable du cacao et de diversification des sources de revenus, l’agroforesterie est une excellente alternative pour améliorer les revenus des menages des producteurs de cacao’’, a conclu le directeur pays de l’ICRAF.
Elisée B.