Toujours avec le même ton et la même diction, l’ex-chef d’Etat-major de l’armée ivoirienne poursuit son témoignage à la CPI.
« L’armée n’a pas pour vocation de faire la guerre pour permettre à un Président qui a perdu les élections de se maintenir au pouvoir. Même si j’avais des munitions, je n’aurai pas fait cette guerre », a déclaré, au deuxième jour de son interrogatoire face à la défense, l’ex-chef d’état-major de l’armée, Philippe Mangou. Interrogé sur les moyens matériels et humains dont disposait l’armée ivoirienne, il a fait savoir que « l’armée ivoirienne ne disposait pas de moyen ».
Pour étayer ses propos, Philippe Mangou a mentionné que les communications entre militaires se faisaient par le téléphone, faute de système de... suite de l'article sur Fraternité Matin
« L’armée n’a pas pour vocation de faire la guerre pour permettre à un Président qui a perdu les élections de se maintenir au pouvoir. Même si j’avais des munitions, je n’aurai pas fait cette guerre », a déclaré, au deuxième jour de son interrogatoire face à la défense, l’ex-chef d’état-major de l’armée, Philippe Mangou. Interrogé sur les moyens matériels et humains dont disposait l’armée ivoirienne, il a fait savoir que « l’armée ivoirienne ne disposait pas de moyen ».
Pour étayer ses propos, Philippe Mangou a mentionné que les communications entre militaires se faisaient par le téléphone, faute de système de... suite de l'article sur Fraternité Matin