Les parties prenantes au Programme national d’investissement agricole (PNIA) sont réunies de mardi à jeudi à Nsa Hôtel, à Grand-Bassam, dans le cadre d’un atelier de finalisation de la 2ème génération du PNIA (PNIA 2) qui court sur la période 2017 – 2025.
En procédant à l’ouverture officielle au nom de son patron, le directeur de cabinet Siaka Minayaha Coulibaly a rappelé que le PNIA s’inscrit dans le cadre de l’application sectorielle du Plan national de développement (PND) destiné, selon la vision du Président Alassane Ouattara, à créer la transformation structurelle de l’économie ivoirienne.
Après le lancement du PNIA 2 en novembre 2016, un groupe de travail a été mis sur pied pour dérouler le processus d’élaboration du document basé sur la participation inclusive, avec toutes les intelligentes, toutes les expertises et toutes les bonnes volontés concernées.
Le PNIA 2 devra donc prendre en compte les insuffisances du PNIA 1 (2012-2016), a expliqué le représentant du ministre Sangafowa Mamadou Coulibaly.
« Le PNIA 1 a consisté à défricher le terrain. Cela a permis de voir les différentes composantes en matière de topographie et de qualité des sols. (…) Le PNIA 2 consistera à labourer le terrain défriché, à procéder à un assolement rationnel consistant à mettre la semence qu’il faut, au moment où il faut et à l’endroit où il le faut pour faire une bonne récolte », a imagé Minayaha Coulibaly.
L’Etat ayant pris déjà une avance, dit-il, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural a profité de l’occasion pour inviter les différents acteurs (producteurs, les partenaires techniques et financiers, le secteur privé) à changer de mentalité et à agir pour une conception nouvelle du développement agricole.
Quatre ministères sont impliqués dans le PNIA. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts et le ministère de la Salubrité, de l’environnement et du Développement durable.
C. K. (avec AIP)
En procédant à l’ouverture officielle au nom de son patron, le directeur de cabinet Siaka Minayaha Coulibaly a rappelé que le PNIA s’inscrit dans le cadre de l’application sectorielle du Plan national de développement (PND) destiné, selon la vision du Président Alassane Ouattara, à créer la transformation structurelle de l’économie ivoirienne.
Après le lancement du PNIA 2 en novembre 2016, un groupe de travail a été mis sur pied pour dérouler le processus d’élaboration du document basé sur la participation inclusive, avec toutes les intelligentes, toutes les expertises et toutes les bonnes volontés concernées.
Le PNIA 2 devra donc prendre en compte les insuffisances du PNIA 1 (2012-2016), a expliqué le représentant du ministre Sangafowa Mamadou Coulibaly.
« Le PNIA 1 a consisté à défricher le terrain. Cela a permis de voir les différentes composantes en matière de topographie et de qualité des sols. (…) Le PNIA 2 consistera à labourer le terrain défriché, à procéder à un assolement rationnel consistant à mettre la semence qu’il faut, au moment où il faut et à l’endroit où il le faut pour faire une bonne récolte », a imagé Minayaha Coulibaly.
L’Etat ayant pris déjà une avance, dit-il, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural a profité de l’occasion pour inviter les différents acteurs (producteurs, les partenaires techniques et financiers, le secteur privé) à changer de mentalité et à agir pour une conception nouvelle du développement agricole.
Quatre ministères sont impliqués dans le PNIA. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts et le ministère de la Salubrité, de l’environnement et du Développement durable.
C. K. (avec AIP)