Le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes lors de la crise post-électorale, s'est exprimé mardi devant la CPI au sujet des munitions entreposées à la présidence et de l'armement dont disposaient le Cecos et la Garde républicaine.
Au septième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI), dans le procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, alors qu’il était face à Me Emmanuel Altit, avocat de la défense, ce mardi 3 septembre 2017, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes est revenu sur l’armement parallèle du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos, resté loyal à Gbagbo lors de la crise post-électorale) et de Bruno Dogbo Blé, commandant... suite de l'article sur Jeune Afrique
Au septième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI), dans le procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, alors qu’il était face à Me Emmanuel Altit, avocat de la défense, ce mardi 3 septembre 2017, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes est revenu sur l’armement parallèle du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos, resté loyal à Gbagbo lors de la crise post-électorale) et de Bruno Dogbo Blé, commandant... suite de l'article sur Jeune Afrique