Abidjan - Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qasemi, a rejeté les allégations américaines de trafic d’êtres humains contre la République islamique d’Iran, rapporte l’Agence iranienne de presse (IRNA).
« L’Iran, en tant que signataire de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée (la Convention de Palerme), a jusqu’à présent entrepris de nombreuses mesures exécutives et juridiques dans le domaine de la lutte contre le phénomène malin de la traite des êtres humains qui ont été vérifiés par les organisations internationales compétentes et mentionnés dans le Bureau des Nations Unies sur la lutte contre les drogues et le crime », a déclaré M. Bahram Qasemi, cité jeudi par IRNA.
"L’Iran estime qu’une attention particulière devrait être accordée aux problèmes fondamentaux liés à la traite et à l’exploitation de l’humanité, des enfants et des femmes en particulier, en faisant campagne sur le défi mondial", a-t-il ajouté.
Le département d’Etat américain a publié un rapport cette année sur l’Iran qui stipule qu’au cours des cinq dernières années, ce pays a constitué une source, un lieu de transit et un pays de destination pour les hommes, les femmes et les enfants soumis au trafic sexuel et au travail forcé.
Il a également révélé dans le rapport annuel de 2016 que le régime iranien n’a pas réussi à atteindre des normes minimales pour éliminer le trafic des êtres humains et n’a fait aucun effort important sur cette question.
(AIP)
sdaf/cmas
« L’Iran, en tant que signataire de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée (la Convention de Palerme), a jusqu’à présent entrepris de nombreuses mesures exécutives et juridiques dans le domaine de la lutte contre le phénomène malin de la traite des êtres humains qui ont été vérifiés par les organisations internationales compétentes et mentionnés dans le Bureau des Nations Unies sur la lutte contre les drogues et le crime », a déclaré M. Bahram Qasemi, cité jeudi par IRNA.
"L’Iran estime qu’une attention particulière devrait être accordée aux problèmes fondamentaux liés à la traite et à l’exploitation de l’humanité, des enfants et des femmes en particulier, en faisant campagne sur le défi mondial", a-t-il ajouté.
Le département d’Etat américain a publié un rapport cette année sur l’Iran qui stipule qu’au cours des cinq dernières années, ce pays a constitué une source, un lieu de transit et un pays de destination pour les hommes, les femmes et les enfants soumis au trafic sexuel et au travail forcé.
Il a également révélé dans le rapport annuel de 2016 que le régime iranien n’a pas réussi à atteindre des normes minimales pour éliminer le trafic des êtres humains et n’a fait aucun effort important sur cette question.
(AIP)
sdaf/cmas