Abidjan - Le chef de projet Usaid-projustice, Daniel Dobrovoljec, a remis vendredi à Abidjan, des référentiels métiers portant sur les tâches et les responsabilités des juges d’instruction et les greffiers de cabinets d’instruction au directeur général de l’institut national de la formation judiciaire (INFJ), Bertin Kouassi Brou.
« Le référentiel métier, c’est cerner, déterminer, lister toutes les activités faites par le juge d’instruction, que ce soit une activité prévue par les textes ou une activité créée par la pratique, ou a été nécessaire pour exercer convenablement la fonction de juge d’instruction », situait l’expert en formation judiciaire, Habib Dahdouh.
Il (référentiel métier) servira pour les ressources humaines « car dorénavant, lorsque les ressources humaines veulent affecter un magistrat à un poste, elles doivent vérifier au préalable si la personne a le profil adéquat en tenant compte du référentiel métier à adopter après cette formation », a-t-il précisé.
Le référentiel métier servira également à l’inspection générale « parce qu’elle aura un référentiel beaucoup plus pointu par fonction, afin de pouvoir contrôler facilement et avoir une vue beaucoup plus claire et approfondie d’un cabinet d’instruction aussi bien pour le greffier que pour le juge d’instruction », selon l’expert, ajoutant qu’il servira aussi à l’institut national de la formation judiciaire qui va adapter sa formation initiale et la formation continue en tenant compte du référentiel métier.
« Tout au long de votre projet, vous avez travaillé non seulement dans l’intérêt de la justice ivoirienne, mais particulièrement de la formation des acteurs de la justice, des acteurs de l’institut national de la formation judiciaire », a relevé le directeur général de l’INFJ, Bertin Kouassi Brou, réceptionnant les référentiels métiers ainsi qu’un équipement informatique et bureautique des mains du chef de projet Usaid-projustice.
Il s’est félicité de l’appui constant de Projustice à l’institut national de la formation judiciaire, portant entre autres sur l’élaboration des premiers éléments de fonctionnalité aux juges d’application des peines, l’initiation des modules d’entretien judiciaire, la confection de projets de textes relatifs à la moralité des acteurs de la justice, la mise en œuvre des différentes actions de formation au profit des formateurs et l’élaboration des curricula de formation à l’INFJ ainsi que les thématiques permanentes du cycle de formation continue.
« Tout est donc mis en oeuvre pour que l’œuvre de Projustice survive. Il s’agit de pérenniser les actions (…). Merci d’avoir donné opportunément les moyens de décollage de l’institut national de la formation judiciaire dont la visibilité est en partie l’œuvre de Projustice », a traduit le directeur général de l’INFJ.
ask
« Le référentiel métier, c’est cerner, déterminer, lister toutes les activités faites par le juge d’instruction, que ce soit une activité prévue par les textes ou une activité créée par la pratique, ou a été nécessaire pour exercer convenablement la fonction de juge d’instruction », situait l’expert en formation judiciaire, Habib Dahdouh.
Il (référentiel métier) servira pour les ressources humaines « car dorénavant, lorsque les ressources humaines veulent affecter un magistrat à un poste, elles doivent vérifier au préalable si la personne a le profil adéquat en tenant compte du référentiel métier à adopter après cette formation », a-t-il précisé.
Le référentiel métier servira également à l’inspection générale « parce qu’elle aura un référentiel beaucoup plus pointu par fonction, afin de pouvoir contrôler facilement et avoir une vue beaucoup plus claire et approfondie d’un cabinet d’instruction aussi bien pour le greffier que pour le juge d’instruction », selon l’expert, ajoutant qu’il servira aussi à l’institut national de la formation judiciaire qui va adapter sa formation initiale et la formation continue en tenant compte du référentiel métier.
« Tout au long de votre projet, vous avez travaillé non seulement dans l’intérêt de la justice ivoirienne, mais particulièrement de la formation des acteurs de la justice, des acteurs de l’institut national de la formation judiciaire », a relevé le directeur général de l’INFJ, Bertin Kouassi Brou, réceptionnant les référentiels métiers ainsi qu’un équipement informatique et bureautique des mains du chef de projet Usaid-projustice.
Il s’est félicité de l’appui constant de Projustice à l’institut national de la formation judiciaire, portant entre autres sur l’élaboration des premiers éléments de fonctionnalité aux juges d’application des peines, l’initiation des modules d’entretien judiciaire, la confection de projets de textes relatifs à la moralité des acteurs de la justice, la mise en œuvre des différentes actions de formation au profit des formateurs et l’élaboration des curricula de formation à l’INFJ ainsi que les thématiques permanentes du cycle de formation continue.
« Tout est donc mis en oeuvre pour que l’œuvre de Projustice survive. Il s’agit de pérenniser les actions (…). Merci d’avoir donné opportunément les moyens de décollage de l’institut national de la formation judiciaire dont la visibilité est en partie l’œuvre de Projustice », a traduit le directeur général de l’INFJ.
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