Yamoussoukro - Le Renouveau syndical des douanes de Côte d’Ivoire (RSDCI) menace d’observer un arrêt de travail de 48 H à compter de ce mardi, pour exiger la réforme de la mutuelle des douaniers de Côte d’Ivoire (MUDCI), selon un communiqué dont copie est parvenue à l’AIP.
Le syndicat dénonce une "arnaque" de la mutuelle des douaniers qui, selon le secrétaire Lamine Coulibaly, fait cotiser annuellement 500 000 FCFA par agent avec un mode d’accès contraignant aux soins de qualité.
Le RSDCI dit être également contre le principe de trois collèges électoraux dont certains ont une prépondérance sur les autres.
"Le RSDCI souhaite un seul collège avec les mêmes avantages, vu que tous les agents, quel que soit le grade, paient le même montant", a souligné le sergent-chef de la brigade mobile de Korhogo.
Au nombre des revendications figurent le paiement des arriérés de primes et de soldes des douaniers de la promotion 2000 intégrés en 2010 et la promotion 250 intégrée à la Fonction publique en 2008, la disparité des indices au niveau des primes, la revalorisation de la prime TS dû aux agents, les conditions difficiles de travail, ainsi que le profil de carrière.
"Si à l’issue des 48 heures de grève rien n’est fait par la direction des douanes, nous réservons le droit de reconduire la grève et cette fois, elle sera illimitée", prévient Coulibaly Lamine qui a souligné que leur action n’est pas d’ordre politique, mais une interpellation à la direction générale des douanes.
nam/kp
Le syndicat dénonce une "arnaque" de la mutuelle des douaniers qui, selon le secrétaire Lamine Coulibaly, fait cotiser annuellement 500 000 FCFA par agent avec un mode d’accès contraignant aux soins de qualité.
Le RSDCI dit être également contre le principe de trois collèges électoraux dont certains ont une prépondérance sur les autres.
"Le RSDCI souhaite un seul collège avec les mêmes avantages, vu que tous les agents, quel que soit le grade, paient le même montant", a souligné le sergent-chef de la brigade mobile de Korhogo.
Au nombre des revendications figurent le paiement des arriérés de primes et de soldes des douaniers de la promotion 2000 intégrés en 2010 et la promotion 250 intégrée à la Fonction publique en 2008, la disparité des indices au niveau des primes, la revalorisation de la prime TS dû aux agents, les conditions difficiles de travail, ainsi que le profil de carrière.
"Si à l’issue des 48 heures de grève rien n’est fait par la direction des douanes, nous réservons le droit de reconduire la grève et cette fois, elle sera illimitée", prévient Coulibaly Lamine qui a souligné que leur action n’est pas d’ordre politique, mais une interpellation à la direction générale des douanes.
nam/kp
