L’axe Daoukro-Kotobi longue de 43 km a servi de cadre le lundi, 16 octobre 2017 au lancement des travaux de collecte du Biomasse végétale aux abords des routes de la région de Iffou. La cérémonie a été présidée par N’da Comoé, Président du Conseil d’Administration (Pca) de la Seres Synergie Holding, en présence du directeur régional des infrastructures économiques.
Dans son discours de lancement de ces travaux, N’Da Comoé a indiqué que le projet de production d’énergie thermique et d’énergie photovoltaïque s’inscrit dans le cadre de faire de la Côte d’Ivoire, un pays producteur d’énergie renouvelable. «Imaginez une région de Iffou où l'accès à l'électricité peut transformer les vies et créer des opportunités d'emplois en accélérant l'innovation et la croissance. Imaginez une région de Iffou où à la longue, toute la Côte d’Ivoire où l'électricité est abordable et où les entreprises peuvent développer leurs activités et employer de la main d'œuvre locale. Imaginez le potentiel d'une Côte d’Ivoire auto-suffisante en énergie renouvelable», a-t-il dit.
Avant, il a explicité que les travaux de collecte de la biomasse qui se sont déroulés sur 07 km, toute la journée du lundi font suite à un protocole d’accord avec les différents ministères concernés par le projet « Daoukro Énergie », en particulier, le ministère des Infrastructures Économiques. « C’est ce qui justifie aujourd’hui, la présence du directeur régional du ministère des infrastructures économiques », a fait savoir N’Da Comoé. Et de poursuivre que, la végétation qui envahit les abords des routes de la région de Iffou constitue une masse vivante que l’on peut par combustion ou fermentation obtenir l’énergie appelée gaz de broussaille ou gaz de fumier. C’est ce gaz qui selon lui, va permettre de produire de l’électricité bientôt.
A l’en croire, la réalisation du projet « Daoukro Energie » contribuera significativement à l’amélioration des conditions de vie des populations et de l’état des infrastructures routières ainsi que la réduction du temps de parcours et le renforcement de la sécurité routière. Expliquant les détails des travaux qui aboutiront à la construction d’une centrale électrique thermique et photovoltaïque à Daoukro, N’Da Comoé a dit qu’avant de lancer cette construction, il faut s’assurer de posséder un stock important de Biomasse. « Nous commençons manuellement avant l’entrée en scène des machines pour le travail mécanique, qui se fera évidemment avec des tracteurs et des Giro broyeurs », a-t-il précisé. Pour finir, N’Da Comoe a annoncé que désormais l’entretien des accotements des routes de la région de Iffou ne sera plus à la charge de l’Etat mais de sa structure. Aussi, il a indiqué que pour la région de l’Iffou, 76 500 hectares sont concernés par cette opération de collecte et à la longue, 1 300 km de route dans les régions du N’Zi, du Moronou et de l’Indenié-Djuablin seront concernés. Notons que le lancement du projet « Daoukro Énergie » a déjà permis la création de plus de 1000 emplois dans la localité.
Aboubacar Al Syddick à Daoukro
Dans son discours de lancement de ces travaux, N’Da Comoé a indiqué que le projet de production d’énergie thermique et d’énergie photovoltaïque s’inscrit dans le cadre de faire de la Côte d’Ivoire, un pays producteur d’énergie renouvelable. «Imaginez une région de Iffou où l'accès à l'électricité peut transformer les vies et créer des opportunités d'emplois en accélérant l'innovation et la croissance. Imaginez une région de Iffou où à la longue, toute la Côte d’Ivoire où l'électricité est abordable et où les entreprises peuvent développer leurs activités et employer de la main d'œuvre locale. Imaginez le potentiel d'une Côte d’Ivoire auto-suffisante en énergie renouvelable», a-t-il dit.
Avant, il a explicité que les travaux de collecte de la biomasse qui se sont déroulés sur 07 km, toute la journée du lundi font suite à un protocole d’accord avec les différents ministères concernés par le projet « Daoukro Énergie », en particulier, le ministère des Infrastructures Économiques. « C’est ce qui justifie aujourd’hui, la présence du directeur régional du ministère des infrastructures économiques », a fait savoir N’Da Comoé. Et de poursuivre que, la végétation qui envahit les abords des routes de la région de Iffou constitue une masse vivante que l’on peut par combustion ou fermentation obtenir l’énergie appelée gaz de broussaille ou gaz de fumier. C’est ce gaz qui selon lui, va permettre de produire de l’électricité bientôt.
A l’en croire, la réalisation du projet « Daoukro Energie » contribuera significativement à l’amélioration des conditions de vie des populations et de l’état des infrastructures routières ainsi que la réduction du temps de parcours et le renforcement de la sécurité routière. Expliquant les détails des travaux qui aboutiront à la construction d’une centrale électrique thermique et photovoltaïque à Daoukro, N’Da Comoé a dit qu’avant de lancer cette construction, il faut s’assurer de posséder un stock important de Biomasse. « Nous commençons manuellement avant l’entrée en scène des machines pour le travail mécanique, qui se fera évidemment avec des tracteurs et des Giro broyeurs », a-t-il précisé. Pour finir, N’Da Comoe a annoncé que désormais l’entretien des accotements des routes de la région de Iffou ne sera plus à la charge de l’Etat mais de sa structure. Aussi, il a indiqué que pour la région de l’Iffou, 76 500 hectares sont concernés par cette opération de collecte et à la longue, 1 300 km de route dans les régions du N’Zi, du Moronou et de l’Indenié-Djuablin seront concernés. Notons que le lancement du projet « Daoukro Énergie » a déjà permis la création de plus de 1000 emplois dans la localité.
Aboubacar Al Syddick à Daoukro