Abidjan - Le président du Conseil national de la presse (CNP), Raphaël Lapké, a révélé jeudi que 44 des 64 entreprises de presse présentes sur le marché ivoirien paient tous leurs professionnels à la convention collective, sur la base de documents relatifs à leurs équipes rédactionnelles, au traitement salarial de leur personnel, aux dettes sociales et leurs états financiers fournis par ces dernières.
"Quarante-quatre entreprises payent la totalité de leurs professionnels à la convention collective sauf deux. Trois entreprises ne payent pas du tout à la convention collective. Quarante entreprises ont déclaré tous leurs professionnels à la CNPS, cinq n’ont pas déclaré la totalité tandis que quatre n’ont déclaré aucun à la CNPS. Trois entreprises ne sont pas soumises aux obligations de la CNPS et de la DGI", a relevé M. Lapké au cours d’une conférence de presse sur les résultats de la régulation économique des entreprises de presse au titre de l’exercice 2016.
Selon le président du CNP, 14 entreprises disposent d’une attestation de régularité de paiement de leur dette sociale vis-à-vis de la CNPS.
"Vingt entreprises ne disposent ni d’attestation de régularité de paiement de leur dette sociale vis-à-vis de la CNPS, ni de moratoire de paiement de cette dette. Trois entreprises ont un organe de presse qui ne dispose pas de secrétaire général de rédaction. Deux entreprises emploient un rédacteur en chef ou secrétaire général de rédaction qui ne détient pas la CIJP en cours de validité. Quatre entreprises ont un organe de presse qui n’emploie pas une majorité de journalistes professionnels", a-t-il ajouté.
Quinze entreprises, selon l’instance de régulation de la presse, n’ont déposé aucun document au CNP alors que chacune d’elles a été invitée à acheminer leurs différents documents.
"La mission de régulation économique du CNP vise, à terme, à mettre les professionnels de la presse à l’abri de l’angoisse existentielle pendant leur période active et après leur départ à la retraite", a indiqué Raphaël Lapké.
Cette mission a été menée par cinq équipes de conseillers et d’agents qui effectuent, une fois par an, une opération dénommée mission de contrôle et d’évaluation de la gouvernance des entreprises de presse.
ena/kp
"Quarante-quatre entreprises payent la totalité de leurs professionnels à la convention collective sauf deux. Trois entreprises ne payent pas du tout à la convention collective. Quarante entreprises ont déclaré tous leurs professionnels à la CNPS, cinq n’ont pas déclaré la totalité tandis que quatre n’ont déclaré aucun à la CNPS. Trois entreprises ne sont pas soumises aux obligations de la CNPS et de la DGI", a relevé M. Lapké au cours d’une conférence de presse sur les résultats de la régulation économique des entreprises de presse au titre de l’exercice 2016.
Selon le président du CNP, 14 entreprises disposent d’une attestation de régularité de paiement de leur dette sociale vis-à-vis de la CNPS.
"Vingt entreprises ne disposent ni d’attestation de régularité de paiement de leur dette sociale vis-à-vis de la CNPS, ni de moratoire de paiement de cette dette. Trois entreprises ont un organe de presse qui ne dispose pas de secrétaire général de rédaction. Deux entreprises emploient un rédacteur en chef ou secrétaire général de rédaction qui ne détient pas la CIJP en cours de validité. Quatre entreprises ont un organe de presse qui n’emploie pas une majorité de journalistes professionnels", a-t-il ajouté.
Quinze entreprises, selon l’instance de régulation de la presse, n’ont déposé aucun document au CNP alors que chacune d’elles a été invitée à acheminer leurs différents documents.
"La mission de régulation économique du CNP vise, à terme, à mettre les professionnels de la presse à l’abri de l’angoisse existentielle pendant leur période active et après leur départ à la retraite", a indiqué Raphaël Lapké.
Cette mission a été menée par cinq équipes de conseillers et d’agents qui effectuent, une fois par an, une opération dénommée mission de contrôle et d’évaluation de la gouvernance des entreprises de presse.
ena/kp