A l’occasion de la célébration du festival de l’Adayé Kessié à Tabagne, à 50 km de Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), le vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, s’est appesanti sur les enjeux socio-économiques de la culture et de la tradition dans une nation.
Selon Kablan Duncan, la tradition et la culture sont le socle identitaire et partant un repère pour l’épanouissement intégral de l’individu dans son humanité.
Il a indiqué qu’elles enracinent l’homme dans son histoire tout en lui donnant le ressort nécessaire pour se projeter vers l’avenir.
"La tradition et la culture sont nos marques, nos repères et nos empreintes et représentent des éléments fédérateurs qui favorisent la structuration de la société, la cohésion sociale et la paix", a-t-il expliqué en présence du roi des Brong et de ses hauts dignitaires.
• Kablan a fait savoir que la culture et la tradition sont des facteurs d’épanouissement personnel et communautaire, ainsi qu’un instrument de dialogue inter-communautaire à travers les alliances.
Pour l’ex-premier ministre ivoirien, il est un fait indéniable que la culture, à travers ses différentes branches, possède un poids économique et constitue un facteur générateur de diverses activités marchandes. Il a plaidé pour que la dimension culturelle soit inscrite au cœur des priorités des politiques publiques en vue d’un développement durable.
Ce plaidoyer, selon lui, s’explique par les différentes statistiques produites par certains organismes, notamment l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). En effet, la culture contribue au produit intérieur brut (PIB) de certains pays à des taux variant entre 1 et 6% et, selon des études. En 2015, le secteur culturel créatif a représenté 3% du PIB mondial et employé 1% de la population active mondiale.
Le vice-président de la République s’est félicité de la position du président de la République, Alassane Ouattara, qui demeure attaché à la valorisation de la culture qu’il considère comme un instrument d’affirmation de l’identité de la nation, de rapprochement avec les autres nations et de développement socio culturel.
’L’Adayé Kessié’ est un festival célébré chez le peuple Brong et qui marque la fin des fêtes de l’igname dans la région.
Selon Kablan Duncan, la tradition et la culture sont le socle identitaire et partant un repère pour l’épanouissement intégral de l’individu dans son humanité.
Il a indiqué qu’elles enracinent l’homme dans son histoire tout en lui donnant le ressort nécessaire pour se projeter vers l’avenir.
"La tradition et la culture sont nos marques, nos repères et nos empreintes et représentent des éléments fédérateurs qui favorisent la structuration de la société, la cohésion sociale et la paix", a-t-il expliqué en présence du roi des Brong et de ses hauts dignitaires.
• Kablan a fait savoir que la culture et la tradition sont des facteurs d’épanouissement personnel et communautaire, ainsi qu’un instrument de dialogue inter-communautaire à travers les alliances.
Pour l’ex-premier ministre ivoirien, il est un fait indéniable que la culture, à travers ses différentes branches, possède un poids économique et constitue un facteur générateur de diverses activités marchandes. Il a plaidé pour que la dimension culturelle soit inscrite au cœur des priorités des politiques publiques en vue d’un développement durable.
Ce plaidoyer, selon lui, s’explique par les différentes statistiques produites par certains organismes, notamment l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). En effet, la culture contribue au produit intérieur brut (PIB) de certains pays à des taux variant entre 1 et 6% et, selon des études. En 2015, le secteur culturel créatif a représenté 3% du PIB mondial et employé 1% de la population active mondiale.
Le vice-président de la République s’est félicité de la position du président de la République, Alassane Ouattara, qui demeure attaché à la valorisation de la culture qu’il considère comme un instrument d’affirmation de l’identité de la nation, de rapprochement avec les autres nations et de développement socio culturel.
’L’Adayé Kessié’ est un festival célébré chez le peuple Brong et qui marque la fin des fêtes de l’igname dans la région.