Abidjan – La fondation Amido du village de Lokoua, dans la commune de Yopougon, a abrité, vendredi, la cérémonie de lancement du projet "Consolidation de la paix et prise en charge de la jeunesse la plus vulnérable", financé par l’Union européenne à hauteur de deux milliards de FCFA et mis en œuvre par l’UNICEF, annonce un communiqué transmis lundi à l’AIP.
Ce projet a pour but de réduire la vulnérabilité d’environ 4000 enfants et adolescents sur une période de 18 mois, par leur prise en charge, resocialisation, réinsertion professionnelle, le renforcement de leurs capacités, la promotion de la culture de la paix, la prévention et la gestion des conflits identitaires.
Les initiateurs du projet ont choisi la Fondation Amigo parce qu’elle développe, dans son Centre "Amigo-Doumé", un projet d’initiation professionnelle en menuiserie, ferronnerie, élevage, agriculture et jardinage, en faveur des enfants, en plus d’un programme d’insertion professionnelle aboutissant à l’autonomisation des apprenants.
"Plus qu’un projet, il s’agit d’un partenariat entre l’UNICEF, le gouvernement de Côte d’Ivoire et l’Union européenne, pour contribuer à réduire la vulnérabilité des jeunes. Les adolescents et les jeunes de 10 à 24 ans qui représentent 30 % de la population ivoirienne, comptent parmi les groupes les plus vulnérables. Ils sont confrontés à de nombreux défis dont l’éducation, la santé, la violence et l’accès aux services sociaux. De même que leurs réinsertion sociale, civique et professionnelle", a souligné la directrice exécutive adjointe de l’UNICEF, Fatoumata N’Diaye.
Quant à l’ambassadeur de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jean François Valette, il a insisté sur le fait qu’il s’agit d’une action en faveur de la jeunesse "qui concentre les efforts de l’Union européenne". "Le projet qui nous réunit aujourd’hui va cibler la jeunesse la plus vulnérable de Côte d’Ivoire et l’accompagner dans son processus de développement, d’insertion et de participation à la vie de la cité", a-t-il indiqué.
Cette collaboration a réjoui le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Touré Sidi, pour qui le centre Amigo est "une école de la seconde chance".
Après Abidjan, le projet s’étendra aux villes de Guiglo, Man, Bouaké, Korhogo, Odienné et de Bondoukou.
aaa/kp
Ce projet a pour but de réduire la vulnérabilité d’environ 4000 enfants et adolescents sur une période de 18 mois, par leur prise en charge, resocialisation, réinsertion professionnelle, le renforcement de leurs capacités, la promotion de la culture de la paix, la prévention et la gestion des conflits identitaires.
Les initiateurs du projet ont choisi la Fondation Amigo parce qu’elle développe, dans son Centre "Amigo-Doumé", un projet d’initiation professionnelle en menuiserie, ferronnerie, élevage, agriculture et jardinage, en faveur des enfants, en plus d’un programme d’insertion professionnelle aboutissant à l’autonomisation des apprenants.
"Plus qu’un projet, il s’agit d’un partenariat entre l’UNICEF, le gouvernement de Côte d’Ivoire et l’Union européenne, pour contribuer à réduire la vulnérabilité des jeunes. Les adolescents et les jeunes de 10 à 24 ans qui représentent 30 % de la population ivoirienne, comptent parmi les groupes les plus vulnérables. Ils sont confrontés à de nombreux défis dont l’éducation, la santé, la violence et l’accès aux services sociaux. De même que leurs réinsertion sociale, civique et professionnelle", a souligné la directrice exécutive adjointe de l’UNICEF, Fatoumata N’Diaye.
Quant à l’ambassadeur de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jean François Valette, il a insisté sur le fait qu’il s’agit d’une action en faveur de la jeunesse "qui concentre les efforts de l’Union européenne". "Le projet qui nous réunit aujourd’hui va cibler la jeunesse la plus vulnérable de Côte d’Ivoire et l’accompagner dans son processus de développement, d’insertion et de participation à la vie de la cité", a-t-il indiqué.
Cette collaboration a réjoui le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Touré Sidi, pour qui le centre Amigo est "une école de la seconde chance".
Après Abidjan, le projet s’étendra aux villes de Guiglo, Man, Bouaké, Korhogo, Odienné et de Bondoukou.
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