Président sortant, le Dr Essis Essoh Jean-Mathieu Claude a été réélu à la tête de la Fédération Ivoirienne des Echecs (FIDEC) pour un deuxième mandat de 4 ans, samedi à l’INJS. Cette Assemblée Générale Elective de la FIDEC a mobilisé 13 clubs (dont 2 avaient chacun 2 voix) sur les 17 composant le collège électoral. Le dépouillement au terme du scrutin était très révélateur de l’adoubement des délégués de la candidature du président Essis Essoh. Les clubs ont en effet accordé l’ensemble de leurs suffrages (15 voix) au maitre-d ’œuvre du positionnement des échecs ivoiriens sur le plan national et international.
Bien avant l’élection, chacun des représentants des clubs, comme le recommandent les statuts de la FIDEC, s’est levé pour donner à haute voix le quitus à la gestion financière et morale du bureau sortant. Il n’y avait pas meilleure façon de désavouer l’adversaire du Dr Essis Essoh, le magistrat Justin Brou, qui a boycotté cette AGE, parce qu’ayant milité vaille que vaille pour son report. Il a même induit le ministère des Sports et des Loisirs en erreur, qui a pris son parti. Mais les clubs, la Commission Nationale de la règlementation, de la discipline et du contentieux (CNRDC), et le comité directeur de la FIDEC, ont mené le processus jusqu’à son terme en conformité avec leurs statuts. Aujourd’hui, les faits sont là. Les clubs ont refusé de s’engager dans une aventure aux contours flous, en renouvelant leur confiance à l’unanimité des suffrages exprimés au président Essis Essoh Jean-Mathieu Claude.
Il ne pouvait en être autrement au vu du bilan moral et financier présenté par le comité directeur sortant. Avant l’élection du Dr Essis Essoh Jean-Mathieu Claude en décembre 2013, les comptes de la FIDEC étaient au rouge. Il a fallu d’abord éponger la dette de la Côte d’Ivoire auprès de la Fédération Internationale des Echecs (FIDE) à hauteur de 3500 dollars (environ 2 millions de FCFA). Puis dans le souci de promouvoir le jeu au plan national et international, le président de la FIDEC a investi à titre personnel sur 4 ans, la somme de 92, 7 millions de FCFA. Un effort soutenu par la Fondation Garry Kasparov qui a injecté 52 millions de FCFA, et le ministère des Sports et des Loisirs au travers de la parafiscalité (26 millions de FCFA). Tous ces efforts et bien d’autres ont contribué à équilibrer les recettes et les dépenses de la FIDEC, comme constaté par le Commissaire aux comptes, Serge Dedou. Avant qu’il ne certifie la gestion du comité directeur du président Essis Essoh, qui, en 4 ans a mobilisé la somme de 176 millions de FCFA, pour un excédent de 1, 5 million de FCFA à ce jour.
Au cours de ces quatre dernières années également, le jeu d’échecs ne s’était autant bien porté en Côte d’Ivoire. Championnat national organisé pour la première fois, participation des joueurs ivoiriens aux plus grandes compétitions internationales, à l’instar des Olympiades de Tromso en 2014 et de Baku en 2016. La Côte d’Ivoire a dorénavant 19 joueurs disposant de l’Elo FIDE sur les 232 reconnus par la FIDEC. De zéro, les clubs sont passés à 25 dont 17 actifs. En avril prochain, le Grand Chess Tour fera sa première escale africaine en Côte d’Ivoire avec la présence de Garry Kasparov. La vision du Dr Essis Essoh Jean-Mathieu Claude a tout simplement plané sur cette AGE de la FIDEC.
Atapointe
Bien avant l’élection, chacun des représentants des clubs, comme le recommandent les statuts de la FIDEC, s’est levé pour donner à haute voix le quitus à la gestion financière et morale du bureau sortant. Il n’y avait pas meilleure façon de désavouer l’adversaire du Dr Essis Essoh, le magistrat Justin Brou, qui a boycotté cette AGE, parce qu’ayant milité vaille que vaille pour son report. Il a même induit le ministère des Sports et des Loisirs en erreur, qui a pris son parti. Mais les clubs, la Commission Nationale de la règlementation, de la discipline et du contentieux (CNRDC), et le comité directeur de la FIDEC, ont mené le processus jusqu’à son terme en conformité avec leurs statuts. Aujourd’hui, les faits sont là. Les clubs ont refusé de s’engager dans une aventure aux contours flous, en renouvelant leur confiance à l’unanimité des suffrages exprimés au président Essis Essoh Jean-Mathieu Claude.
Il ne pouvait en être autrement au vu du bilan moral et financier présenté par le comité directeur sortant. Avant l’élection du Dr Essis Essoh Jean-Mathieu Claude en décembre 2013, les comptes de la FIDEC étaient au rouge. Il a fallu d’abord éponger la dette de la Côte d’Ivoire auprès de la Fédération Internationale des Echecs (FIDE) à hauteur de 3500 dollars (environ 2 millions de FCFA). Puis dans le souci de promouvoir le jeu au plan national et international, le président de la FIDEC a investi à titre personnel sur 4 ans, la somme de 92, 7 millions de FCFA. Un effort soutenu par la Fondation Garry Kasparov qui a injecté 52 millions de FCFA, et le ministère des Sports et des Loisirs au travers de la parafiscalité (26 millions de FCFA). Tous ces efforts et bien d’autres ont contribué à équilibrer les recettes et les dépenses de la FIDEC, comme constaté par le Commissaire aux comptes, Serge Dedou. Avant qu’il ne certifie la gestion du comité directeur du président Essis Essoh, qui, en 4 ans a mobilisé la somme de 176 millions de FCFA, pour un excédent de 1, 5 million de FCFA à ce jour.
Au cours de ces quatre dernières années également, le jeu d’échecs ne s’était autant bien porté en Côte d’Ivoire. Championnat national organisé pour la première fois, participation des joueurs ivoiriens aux plus grandes compétitions internationales, à l’instar des Olympiades de Tromso en 2014 et de Baku en 2016. La Côte d’Ivoire a dorénavant 19 joueurs disposant de l’Elo FIDE sur les 232 reconnus par la FIDEC. De zéro, les clubs sont passés à 25 dont 17 actifs. En avril prochain, le Grand Chess Tour fera sa première escale africaine en Côte d’Ivoire avec la présence de Garry Kasparov. La vision du Dr Essis Essoh Jean-Mathieu Claude a tout simplement plané sur cette AGE de la FIDEC.
Atapointe