Abidjan – La dernière édition du rapport Doing Business du Groupe de la Banque mondiale, publiée mardi, révèle que l’économie ivoirienne est la plus performante sur plusieurs indicateurs dans l’espace OHADA (Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires).
Cette deuxième édition de la série Doing Business portant sur les Etats membres de l’espace OHADA se concentre sur les reformes d’ordre réglementaire dans cinq des domaines couverts par les Actes uniformes et les réglementations de l’OHADA que sont la création d’entreprise, l’obtention de prêts, la protection des investisseurs minoritaires, l’exécution des contrats et le règlement de l’insolvabilité depuis 2011.
Selon le rapport, certaines économies sont toutefois les plus performantes sur plusieurs indicateurs. A titre d’exemple, la création d’entreprise, l’exécution de contrat et le règlement de l’insolvabilité sont en Côte d’Ivoire plus faciles que dans toutes les autres économies de l’OHADA.
Les classements par indicateur montrent qu’aucune économie n’est la plus ou la moins performante dans tous les domaines. Cela signifie que tous les Etats membres ont des bonnes pratiques à partager, a commenté le rapport.
Pour le rapport, il reste du chemin à faire avant que les économies de l’OHADA ne convergent au sein du groupe et se rapprochent de la moyenne du reste de l’Afrique subsaharienne. La bonne nouvelle est toutefois que les Etats membres ont maintenu depuis 2011 une cadence soutenue de réformes. En l’espace de cinq ans, ils ont mis en place 95 réformes dans les domaines mesurés, devenant ainsi le groupe d’économies le plus porté aux réformes en 2015/16.
L’espace OHADA couvre le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, les Comores, la Ré publique démocratique du Congo, la République du Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Guinée équatoriale, le Mali, le Niger, la République centrafricaine, le Sénégal, le Tchad et le Togo.
Pour le rapport Doing Business 2018, la Côte d’Ivoire est passée à la 139è place contre 142è pour le rapport 2017, obtenant un gain de deux places.
kkf/fmo
Cette deuxième édition de la série Doing Business portant sur les Etats membres de l’espace OHADA se concentre sur les reformes d’ordre réglementaire dans cinq des domaines couverts par les Actes uniformes et les réglementations de l’OHADA que sont la création d’entreprise, l’obtention de prêts, la protection des investisseurs minoritaires, l’exécution des contrats et le règlement de l’insolvabilité depuis 2011.
Selon le rapport, certaines économies sont toutefois les plus performantes sur plusieurs indicateurs. A titre d’exemple, la création d’entreprise, l’exécution de contrat et le règlement de l’insolvabilité sont en Côte d’Ivoire plus faciles que dans toutes les autres économies de l’OHADA.
Les classements par indicateur montrent qu’aucune économie n’est la plus ou la moins performante dans tous les domaines. Cela signifie que tous les Etats membres ont des bonnes pratiques à partager, a commenté le rapport.
Pour le rapport, il reste du chemin à faire avant que les économies de l’OHADA ne convergent au sein du groupe et se rapprochent de la moyenne du reste de l’Afrique subsaharienne. La bonne nouvelle est toutefois que les Etats membres ont maintenu depuis 2011 une cadence soutenue de réformes. En l’espace de cinq ans, ils ont mis en place 95 réformes dans les domaines mesurés, devenant ainsi le groupe d’économies le plus porté aux réformes en 2015/16.
L’espace OHADA couvre le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, les Comores, la Ré publique démocratique du Congo, la République du Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Guinée équatoriale, le Mali, le Niger, la République centrafricaine, le Sénégal, le Tchad et le Togo.
Pour le rapport Doing Business 2018, la Côte d’Ivoire est passée à la 139è place contre 142è pour le rapport 2017, obtenant un gain de deux places.
kkf/fmo