Le Club Afrique Développement (CAD), du groupe Attijariwafa bank, a organisé les 26 et 27 octobre 2017 à Casablanca, la 5e mission multisectorielle de l‘année autour du thème: « Quels leviers de financement de projets en Afrique? ».
La mission, succédant à celles opérées en Côte d‘Ivoire, au Mali, au Cameroun et au Sénégal, a réuni les opérateurs économiques et membres du Club de 9 pays du continent: Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, Guinée-Conakry, Mauritanie, Mali, Maroc, Tunisie et Togo.
C’est plus de 200 rendez-vous d‘affaires qui ont été programmés sur les deux jours en particulier dans les secteurs des énergies renouvelables, le commerce et la distribution, la chimie-parachimie, l‘agro-industrie et la pêche, les BTP et l‘immobilier.
À cette occasion, un panel de haute facture sur les infrastructures animé par Koenraad Beckers, CEO - Albatros Energy, Badr Benyoussef, Directeur du Développement - Bourse de Casablanca, Younes Addou, Vice-Président Finance – OCP Africa, Koffi Klousseh, Director Project Development - Fonds Africa 50 et Lamia Merzouki, Deputy General Manager - Casablanca Finance City (CFC), s‘est attelé à examiner les leviers de financement de projets sur le continent, enjeu majeur pour une croissance durable et inclusive.
Pour rappel, le continent africain a besoin de près de 200 milliards de dollars de financement par an selon la Commission économique pour l‘Afrique. Or, pour le seul secteur des infrastructures, le continent n’arrive à mobiliser que la moitié du besoin annuel de financement estimé à près de 100 milliards de dollars.
Le Club Afrique Développement, fondé par le Groupe Attijariwafa bank, a pour objet de contribuer à faciliter les échanges régionaux et contribuer aux débats relatifs à la coopération Sud-Sud. Conscient des enjeux de développement socio-économique en Afrique, le Club s’inscrit dans un état d’esprit de croissance solidaire et une vision humaniste du développement économique.
Elisée B.
La mission, succédant à celles opérées en Côte d‘Ivoire, au Mali, au Cameroun et au Sénégal, a réuni les opérateurs économiques et membres du Club de 9 pays du continent: Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, Guinée-Conakry, Mauritanie, Mali, Maroc, Tunisie et Togo.
C’est plus de 200 rendez-vous d‘affaires qui ont été programmés sur les deux jours en particulier dans les secteurs des énergies renouvelables, le commerce et la distribution, la chimie-parachimie, l‘agro-industrie et la pêche, les BTP et l‘immobilier.
À cette occasion, un panel de haute facture sur les infrastructures animé par Koenraad Beckers, CEO - Albatros Energy, Badr Benyoussef, Directeur du Développement - Bourse de Casablanca, Younes Addou, Vice-Président Finance – OCP Africa, Koffi Klousseh, Director Project Development - Fonds Africa 50 et Lamia Merzouki, Deputy General Manager - Casablanca Finance City (CFC), s‘est attelé à examiner les leviers de financement de projets sur le continent, enjeu majeur pour une croissance durable et inclusive.
Pour rappel, le continent africain a besoin de près de 200 milliards de dollars de financement par an selon la Commission économique pour l‘Afrique. Or, pour le seul secteur des infrastructures, le continent n’arrive à mobiliser que la moitié du besoin annuel de financement estimé à près de 100 milliards de dollars.
Le Club Afrique Développement, fondé par le Groupe Attijariwafa bank, a pour objet de contribuer à faciliter les échanges régionaux et contribuer aux débats relatifs à la coopération Sud-Sud. Conscient des enjeux de développement socio-économique en Afrique, le Club s’inscrit dans un état d’esprit de croissance solidaire et une vision humaniste du développement économique.
Elisée B.