Abidjan - Le Centre des métiers de l’électricité (CME) de Bingerville vient d’adhérer au Réseau africain des centres d’excellence en électricité (RACEE).
Cette adhésion a été formalisée mardi, par la signature d’un protocole entre l’Association des sociétés d’électricité d’Afrique (ASEA) et la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
Selon un communiqué parvenu à l’AIP, la signature du protocole s’est déroulée en présence du Directeur général de l’ASEA Abel Tella, du Directeur général de la CIE, Dominique Kakou, du Directeur général du CME, Paul Ginies et du coordinateur du RACEE, Luc Podié.
Par cette convention, le CME entend se positionner comme le leader de la formation des acteurs du secteur de l’électricité en Afrique, promouvoir de bonnes pratiques et le professionnalisme en matière de formation.
« L’officialisation de l’entrée du CME dans le cercle prestigieux des centres d’excellence en Afrique francophone constitue un réel motif de satisfaction et de fierté », a indiqué le DG de la CIE.
Selon lui, face à l’évolution des techniques, des technologies, les travailleurs ont besoin de formation adaptée pour la bonne marche de l’entreprise.
« C’est un investissement de plus de 2 milliards FCFA qui a été consenti par la CIE pour renforcer le CME sur le plan des ressources humaines, de ses équipements et infrastructures de formation», a précisé M. Dominique Kakou.
A en croire le DG, tous ces efforts ont été récompensés par les distinctions de l’agrément SERECT obtenu et renouvelé pour l’exécution des formations travaux sous tension en BT, la certification REA (RH excellence Afrique en septembre 2017, la certification ISO 9001 version 2015.
Le Directeur général de l’ASEA, Abel Tella a souligné que l’entrée du CME dans la RACEE est un atout de toute première importante avant de rendre un hommage au premier président de la Côte d’Ivoire Félix Houphouët-Boigny pour la création de ce centre.
Créée le 12 décembre 2013, la RACEE est une initiative continentale menée sous l’impulsion de l’ASEA et soutenue par le Fonds africain de développement (FAD/BAD), l’Agence française de développement (AFD) et les sociétés d’électricité d’Afrique.
bsp/fmo
Cette adhésion a été formalisée mardi, par la signature d’un protocole entre l’Association des sociétés d’électricité d’Afrique (ASEA) et la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
Selon un communiqué parvenu à l’AIP, la signature du protocole s’est déroulée en présence du Directeur général de l’ASEA Abel Tella, du Directeur général de la CIE, Dominique Kakou, du Directeur général du CME, Paul Ginies et du coordinateur du RACEE, Luc Podié.
Par cette convention, le CME entend se positionner comme le leader de la formation des acteurs du secteur de l’électricité en Afrique, promouvoir de bonnes pratiques et le professionnalisme en matière de formation.
« L’officialisation de l’entrée du CME dans le cercle prestigieux des centres d’excellence en Afrique francophone constitue un réel motif de satisfaction et de fierté », a indiqué le DG de la CIE.
Selon lui, face à l’évolution des techniques, des technologies, les travailleurs ont besoin de formation adaptée pour la bonne marche de l’entreprise.
« C’est un investissement de plus de 2 milliards FCFA qui a été consenti par la CIE pour renforcer le CME sur le plan des ressources humaines, de ses équipements et infrastructures de formation», a précisé M. Dominique Kakou.
A en croire le DG, tous ces efforts ont été récompensés par les distinctions de l’agrément SERECT obtenu et renouvelé pour l’exécution des formations travaux sous tension en BT, la certification REA (RH excellence Afrique en septembre 2017, la certification ISO 9001 version 2015.
Le Directeur général de l’ASEA, Abel Tella a souligné que l’entrée du CME dans la RACEE est un atout de toute première importante avant de rendre un hommage au premier président de la Côte d’Ivoire Félix Houphouët-Boigny pour la création de ce centre.
Créée le 12 décembre 2013, la RACEE est une initiative continentale menée sous l’impulsion de l’ASEA et soutenue par le Fonds africain de développement (FAD/BAD), l’Agence française de développement (AFD) et les sociétés d’électricité d’Afrique.
bsp/fmo