« On attendait 5000 personnes. On annonce aujourd’hui 10.000 personnes. C’est un défi logistique ». Jean François Valette, chef de délégation de l’Union européenne, en Côte d’Ivoire, a indiqué hier que le 5ème sommet Union africaine-Union européenne, prévu les 29 et 30 novembre prochain, à Abidjan, suscite un tel engouement, qu’au point que la parfaite organisation devient un défi. Il a conjointement animé un petit-déjeuner de presse, en compagnie de Joséphine Charlotte Mayuma Kala, la représentante spéciale du président de la Commission de l’Union africaine, hier, à la résidence de l’Union européenne sis, à Cocody.
Le chef de Délégation de l’Ue a soutenu que la majorité des délégations des pays européens seront conduites par des chefs d’Etat ou chefs de gouvernement. Jean François Valette a annoncé la présence de pays éloignés de l’Afrique, tel l’Estonie, à ce sommet. De son coté, la représentante spéciale du président de la Commission de l’Union africaine a expliqué que des invitations ont été envoyées aux Etats membres de l’Union africaine. Elle a par ailleurs relevé qu’une délégation marocaine sera bien présente, tout comme les représentants de la République Saraouie Arabe démocratique (Rasd). « L’invitation a été adressée à tous les Etats. C’est au Maroc de dire si le roi sera là ou pas », a-t-elle avancé. Se prononçant sur les rumeurs de délocalisation du sommet, Joséphine Kala a fait cette précision « Lorsque pour l’organisation d’une conférence d’un tel niveau, un problème se pose, l’Union africaine se tourne vers Addis-Abeba. On a pensé que s’il fallait, on partait à Addis-Abeba. Mais aucune décision n’a été prise dans ce sens ».
Selon Jean François Valette, au total 28 délégations de l’Union européennes et 54 l’Union africaine sont seront présents. Outre les Etats, les conférenciers ont signalé la présence d’un certain nombre d’observateurs. Notamment, la Banque africaine de développement (Bad), la Banque européenne de développement (Bed) ; les agences du système des Nations Unies ainsi que des invités spéciaux de la Côte d’Ivoire. Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres est annoncé.
Les représentants de l’Union africaine et l’Union européenne ont rappelé que la question de l’avenir de la jeunesse sera au cœur des débats. L’occasion pour les dirigeants africains et européens de proposer des solutions pour réduire le phénomène de l’immigration clandestine. Jean François a souligné que la Côte d’Ivoire est touchée. Parce que venant en troisième position après le Nigeria et la Guinée. Outre la question de la migration, le chef de Délégation a annoncé des débats sur la sécurité, la transformation des produits agricoles et le développement durable.
Pour le financement de l’événement, Jean François Valette a indiqué que l’Union européenne contribue à hauteur de 4 millions d’euros, la Côte d’Ivoire ayant la charge entière de l’organisation.
César ébrokié
Le chef de Délégation de l’Ue a soutenu que la majorité des délégations des pays européens seront conduites par des chefs d’Etat ou chefs de gouvernement. Jean François Valette a annoncé la présence de pays éloignés de l’Afrique, tel l’Estonie, à ce sommet. De son coté, la représentante spéciale du président de la Commission de l’Union africaine a expliqué que des invitations ont été envoyées aux Etats membres de l’Union africaine. Elle a par ailleurs relevé qu’une délégation marocaine sera bien présente, tout comme les représentants de la République Saraouie Arabe démocratique (Rasd). « L’invitation a été adressée à tous les Etats. C’est au Maroc de dire si le roi sera là ou pas », a-t-elle avancé. Se prononçant sur les rumeurs de délocalisation du sommet, Joséphine Kala a fait cette précision « Lorsque pour l’organisation d’une conférence d’un tel niveau, un problème se pose, l’Union africaine se tourne vers Addis-Abeba. On a pensé que s’il fallait, on partait à Addis-Abeba. Mais aucune décision n’a été prise dans ce sens ».
Selon Jean François Valette, au total 28 délégations de l’Union européennes et 54 l’Union africaine sont seront présents. Outre les Etats, les conférenciers ont signalé la présence d’un certain nombre d’observateurs. Notamment, la Banque africaine de développement (Bad), la Banque européenne de développement (Bed) ; les agences du système des Nations Unies ainsi que des invités spéciaux de la Côte d’Ivoire. Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres est annoncé.
Les représentants de l’Union africaine et l’Union européenne ont rappelé que la question de l’avenir de la jeunesse sera au cœur des débats. L’occasion pour les dirigeants africains et européens de proposer des solutions pour réduire le phénomène de l’immigration clandestine. Jean François a souligné que la Côte d’Ivoire est touchée. Parce que venant en troisième position après le Nigeria et la Guinée. Outre la question de la migration, le chef de Délégation a annoncé des débats sur la sécurité, la transformation des produits agricoles et le développement durable.
Pour le financement de l’événement, Jean François Valette a indiqué que l’Union européenne contribue à hauteur de 4 millions d’euros, la Côte d’Ivoire ayant la charge entière de l’organisation.
César ébrokié
