Mariam Fofana FADIGA, Secrétaire Exécutif du Comité de Concertation Etat Secteur Privé situe les enjeux de la Journée Nationale de Partenariat (JNP 2017). Elle appelle à une synergie d’actions de tous les acteurs de l’économie nationale à travers une stratégie nationale, en vue de résorber le niveau de l’informalité de l’économie.
La 3ème édition de la Journée Nationale de Partenariat (JNP) aura lieu lundi 13 novembre prochain, sous quel signe placez-vous cette rencontre ?
La problématique de l’informel qui est cruciale pour notre économie sera au centre de la JNP 2017, à travers le thème « encadrement du secteur informel : source de croissance et de compétitivité de l’économie ivoirienne ».
Pourquoi l’organisation d’une journée nationale ? Quelle en est la particularité ?
La JNP a été instaurée dans la dynamique de redynamisation du Comité de Concertation Etat Secteur Privé (CCESP). L’objectif étant de permettre à l’Etat et au secteur privé de faire chaque année le point des acquis et des perspectives de leur partenariat traduit dans les Plans Nationaux de Développement 2012-2015 et 2016-2020. L’esprit de la JNP répond également à la nécessité de favoriser la synergie d’actions entre l’Etat et le Secteur Privé autour des principaux défis socio-économiques, notamment la transformation structurelle de l’économie.
La JNP est également le lieu de traduire la reconnaissance des acteurs de l’administration publique, du secteur privé, des points focaux du CCESP, des cadres paritaires sectoriels et de la presse, dont l’implication dans l’animation du dialogue public-privé a été forte tout au long de l’année et ce, à travers le Prix du Partenariat.
Combien de participants attendez-vous à cette rencontre?
Près de 3000 participants sont attendus. Cette rencontre a un caractère inclusif. Toutes les forces vives de l’économie, à savoir les membres du Gouvernement et de l’administration publique, les organisations patronales et consulaires, les entreprises, les partenaires techniques et financiers (Banque Africaine de Développement, Groupe de la Banque Mondiale, UEMOA, CEDEAO, ….), la société civile et la presse y participent.
A ce jour, comment se porte la collaboration entre l’Etat et le Secteur Privé?
La collaboration entre l’Etat et le secteur privé est satisfaisante. Les attentes vis-à-vis du secteur privé se sont matérialisées dans la mise en œuvre du Plan National de Développement 2012-2015. A travers le CCESP et la JNP, l’Etat et le secteur privé réaffirment de manière permanente leur engagement à œuvrer à un dialogue constructif pour résoudre les principales contraintes au développement du secteur privé et pour répondre aux principaux défis socio-économiques qui se présentent sur la trajectoire de l’émergence.
Quel est le positionnement du CCESP dans l’environnement économique aujourd’hui ?
Le CCESP œuvre au quotidien à la consolidation des relations entre l’Etat et le secteur privé. Cela dans le but de favoriser le déroulement harmonieux de l’activité économique à travers son action en général. Celle-ci porte sur la médiation autour des préoccupations conjoncturelles, structurelles et sectorielles du secteur privé, sur le renforcement de la communication relative aux initiatives des deux parties visant l’essor du secteur privé. Cette action comprend aussi la veille sur la qualité du partenariat et sur les propositions de mesures et de réformes pour la compétitivité du secteur privé ivoirien.
Quelles sont vos attentes de cette journée nationale ?
Notre principale attente est que la JNP 2017 mette en lumière dans une approche inclusive et synergique les principaux enjeux et défis socio-économiques de la transition vers une économie formelle. A partir de cela, la formulation de mesures idoines pourrait permettre de résorber le niveau d’informalité de notre économie.
La 3ème édition de la Journée Nationale de Partenariat (JNP) aura lieu lundi 13 novembre prochain, sous quel signe placez-vous cette rencontre ?
La problématique de l’informel qui est cruciale pour notre économie sera au centre de la JNP 2017, à travers le thème « encadrement du secteur informel : source de croissance et de compétitivité de l’économie ivoirienne ».
Pourquoi l’organisation d’une journée nationale ? Quelle en est la particularité ?
La JNP a été instaurée dans la dynamique de redynamisation du Comité de Concertation Etat Secteur Privé (CCESP). L’objectif étant de permettre à l’Etat et au secteur privé de faire chaque année le point des acquis et des perspectives de leur partenariat traduit dans les Plans Nationaux de Développement 2012-2015 et 2016-2020. L’esprit de la JNP répond également à la nécessité de favoriser la synergie d’actions entre l’Etat et le Secteur Privé autour des principaux défis socio-économiques, notamment la transformation structurelle de l’économie.
La JNP est également le lieu de traduire la reconnaissance des acteurs de l’administration publique, du secteur privé, des points focaux du CCESP, des cadres paritaires sectoriels et de la presse, dont l’implication dans l’animation du dialogue public-privé a été forte tout au long de l’année et ce, à travers le Prix du Partenariat.
Combien de participants attendez-vous à cette rencontre?
Près de 3000 participants sont attendus. Cette rencontre a un caractère inclusif. Toutes les forces vives de l’économie, à savoir les membres du Gouvernement et de l’administration publique, les organisations patronales et consulaires, les entreprises, les partenaires techniques et financiers (Banque Africaine de Développement, Groupe de la Banque Mondiale, UEMOA, CEDEAO, ….), la société civile et la presse y participent.
A ce jour, comment se porte la collaboration entre l’Etat et le Secteur Privé?
La collaboration entre l’Etat et le secteur privé est satisfaisante. Les attentes vis-à-vis du secteur privé se sont matérialisées dans la mise en œuvre du Plan National de Développement 2012-2015. A travers le CCESP et la JNP, l’Etat et le secteur privé réaffirment de manière permanente leur engagement à œuvrer à un dialogue constructif pour résoudre les principales contraintes au développement du secteur privé et pour répondre aux principaux défis socio-économiques qui se présentent sur la trajectoire de l’émergence.
Quel est le positionnement du CCESP dans l’environnement économique aujourd’hui ?
Le CCESP œuvre au quotidien à la consolidation des relations entre l’Etat et le secteur privé. Cela dans le but de favoriser le déroulement harmonieux de l’activité économique à travers son action en général. Celle-ci porte sur la médiation autour des préoccupations conjoncturelles, structurelles et sectorielles du secteur privé, sur le renforcement de la communication relative aux initiatives des deux parties visant l’essor du secteur privé. Cette action comprend aussi la veille sur la qualité du partenariat et sur les propositions de mesures et de réformes pour la compétitivité du secteur privé ivoirien.
Quelles sont vos attentes de cette journée nationale ?
Notre principale attente est que la JNP 2017 mette en lumière dans une approche inclusive et synergique les principaux enjeux et défis socio-économiques de la transition vers une économie formelle. A partir de cela, la formulation de mesures idoines pourrait permettre de résorber le niveau d’informalité de notre économie.