Abidjan (Côte d’Ivoire) - Richard Kouassi, le supporter interpellé lors du match Côte d’Ivoire-Maroc, pour s’être descendu sur la pelouse du stade Houphouët-Boigny avec une banderole ‘’libérez Gbagbo’’, a été condamné, lundi, à 15 jours de prison ferme et 30. 000 FCFA d’amende par le tribunal correctionnel d’Abidjan pour ‘’troubles à l’ordre public’’.
Pour Me Rodrigue Dadjé, avocat de la Défense, c’est un bon verdict. ‘’ Dans la mesure où mon client ayant reconnu sa faute. Car l’instance mondiale du football aurait pu sanctionner la Côte d’Ivoire du fait de l’immixtion de la politique dans le sport. Ce qui est interdit par la FIFA’’, a-t-il expliqué à la fin de l’audience.
Le parquet qui poursuivait l’inculpé pour ‘’troubles à l’ordre public’’ avait requis un mois contre Richard Kouassi. Il n’a pas été suivi par le tribunal après la plaidoirie de Me Dadjé.
Le 11 novembre 2017, Richard Koffi Kouassi (26 ans) est descendu sur la pelouse du Stade Houphouët-Boigny pendant le match Côte d’Ivoire-Maroc (0-2) comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde de football, Russie 2018, avec une banderole sur laquelle est écrit ‘’libérez Gbagbo’’.
Interpellé puis mis aux arrêts, il est détenu à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) depuis le 13 novembre.
HS/ls/APA
Pour Me Rodrigue Dadjé, avocat de la Défense, c’est un bon verdict. ‘’ Dans la mesure où mon client ayant reconnu sa faute. Car l’instance mondiale du football aurait pu sanctionner la Côte d’Ivoire du fait de l’immixtion de la politique dans le sport. Ce qui est interdit par la FIFA’’, a-t-il expliqué à la fin de l’audience.
Le parquet qui poursuivait l’inculpé pour ‘’troubles à l’ordre public’’ avait requis un mois contre Richard Kouassi. Il n’a pas été suivi par le tribunal après la plaidoirie de Me Dadjé.
Le 11 novembre 2017, Richard Koffi Kouassi (26 ans) est descendu sur la pelouse du Stade Houphouët-Boigny pendant le match Côte d’Ivoire-Maroc (0-2) comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde de football, Russie 2018, avec une banderole sur laquelle est écrit ‘’libérez Gbagbo’’.
Interpellé puis mis aux arrêts, il est détenu à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) depuis le 13 novembre.
HS/ls/APA