Abidjan, 30 nov (AIP) - En vue de garantir une campagne de cotonnière 2017 - 2018 apaisée et fructueuse pour tous les acteurs de la filière, ces derniers se sont retrouvés à Abidjan au siège de leur interprofession, INTERCOTON, où ils ont tenu mercredi après-midi une réunion technique de commercialisation.
Selon une note d’information transmise à l’AIP, ils se sont accordés sur les dispositions pratiques et le code de bonne conduite.
A cet effet, les égreneurs doivent prendre les dispositions idoines pour le ramassage et le paiement du coton graine aux producteurs dans un délai de 10 jours après l’arrêt de la décade, affréter des camions en bon état couverts de bâches étanches de bonne qualité.
Pour leur part, les producteurs doivent préserver la qualité du coton en le couvrant et vendre la totalité de leur production à leur structure d’encadrement.
En cette première campagne de commercialisation sous l’ère du zonage, les acteurs ont exhorté le Conseil du Coton et de l’Anacarde à régler avec diligence les quelques difficultés qui subsistent notamment celles relatives à l’occupation des localités frontalières entre zones exclusives, ce, avant les prochains semis. Ils ont en outre souhaité l’annonce du prix d’achat du coton graine et de cession des intrants avant les semis.
Enfin, relativement aux impayés qui ne subsistent dans aucun autre pays de la sous-région, le président de INTERCOTON, Soro Yacouba a plaidé leur éradication car néfastes aussi bien pour les producteurs que pour les égreneurs.
La filière s’attend à une production d’au moins 340 000 tonnes de coton graine contre 328 000 T au cours de la campagne dernière.
(AIP)
cmas
Selon une note d’information transmise à l’AIP, ils se sont accordés sur les dispositions pratiques et le code de bonne conduite.
A cet effet, les égreneurs doivent prendre les dispositions idoines pour le ramassage et le paiement du coton graine aux producteurs dans un délai de 10 jours après l’arrêt de la décade, affréter des camions en bon état couverts de bâches étanches de bonne qualité.
Pour leur part, les producteurs doivent préserver la qualité du coton en le couvrant et vendre la totalité de leur production à leur structure d’encadrement.
En cette première campagne de commercialisation sous l’ère du zonage, les acteurs ont exhorté le Conseil du Coton et de l’Anacarde à régler avec diligence les quelques difficultés qui subsistent notamment celles relatives à l’occupation des localités frontalières entre zones exclusives, ce, avant les prochains semis. Ils ont en outre souhaité l’annonce du prix d’achat du coton graine et de cession des intrants avant les semis.
Enfin, relativement aux impayés qui ne subsistent dans aucun autre pays de la sous-région, le président de INTERCOTON, Soro Yacouba a plaidé leur éradication car néfastes aussi bien pour les producteurs que pour les égreneurs.
La filière s’attend à une production d’au moins 340 000 tonnes de coton graine contre 328 000 T au cours de la campagne dernière.
(AIP)
cmas
