La première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, par ailleurs Ambassadeur de l’ONUSIDA a plaidé, lundi, à Abidjan, pour une production locale des ARV pédiatriques, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
La Présidente Fondatrice de Children of Africa, Dominique Ouattara a fait ce plaidoyer à la tribune de la 19ème édition de la Conférence internationale sur le SIDA et les Infections sexuellement transmissibles (IST) en Afrique (ICASA) dont elle est la marraine.
« Je voudrais profiter de cette tribune pour lancer un appel à nos gouvernements et nos partenaires afin qu’ils étudient la possibilité de produire des ARV pédiatriques localement qui seraient de ce fait moins onéreux », a-t-elle indiqué.
A son avis « le traitement antirétroviral sous sa forme pédiatrique reste encore peu accessible la plupart du temps dans nos pays, car trop onéreux ».
Par ailleurs, Dominique Ouattara a regretté les dégâts qu’entraîne cette maladie dans les familles. Selon elle, « plusieurs foyers ont payé le prix de cette pandémie et plus particulièrement les personnes les plus démunies parmi lesquelles se trouvent les femmes et les enfants ».
« J’invite toutes les organisations féminines à prendre une part active dans la mise en œuvre des projets de lutte contre le SIDA. C’est ensemble que nous parviendrons à protéger nos populations de la pandémie pour une Afrique sans SIDA d’ici 2030 », a conclu Mme Ouattara.
Les premières dames du Congo, du Niger, du Bénin et de la Gambie prennent part à cette conférence internationale qui se tient pour la 2ème fois en terre ivoirienne. Cette 19è édition se tient sous le thème « l’Afrique, une approche différente vers la fin du SIDA ».
SY/ls/APA
La Présidente Fondatrice de Children of Africa, Dominique Ouattara a fait ce plaidoyer à la tribune de la 19ème édition de la Conférence internationale sur le SIDA et les Infections sexuellement transmissibles (IST) en Afrique (ICASA) dont elle est la marraine.
« Je voudrais profiter de cette tribune pour lancer un appel à nos gouvernements et nos partenaires afin qu’ils étudient la possibilité de produire des ARV pédiatriques localement qui seraient de ce fait moins onéreux », a-t-elle indiqué.
A son avis « le traitement antirétroviral sous sa forme pédiatrique reste encore peu accessible la plupart du temps dans nos pays, car trop onéreux ».
Par ailleurs, Dominique Ouattara a regretté les dégâts qu’entraîne cette maladie dans les familles. Selon elle, « plusieurs foyers ont payé le prix de cette pandémie et plus particulièrement les personnes les plus démunies parmi lesquelles se trouvent les femmes et les enfants ».
« J’invite toutes les organisations féminines à prendre une part active dans la mise en œuvre des projets de lutte contre le SIDA. C’est ensemble que nous parviendrons à protéger nos populations de la pandémie pour une Afrique sans SIDA d’ici 2030 », a conclu Mme Ouattara.
Les premières dames du Congo, du Niger, du Bénin et de la Gambie prennent part à cette conférence internationale qui se tient pour la 2ème fois en terre ivoirienne. Cette 19è édition se tient sous le thème « l’Afrique, une approche différente vers la fin du SIDA ».
SY/ls/APA