L’Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le VIH/SIDA (OPDAS) a tenu une réunion, le mardi 05 décembre 2017, au Sofitel Hôtel Ivoire de Cocody. Lors de cette rencontre de haut niveau, les Premières Dames présentes ont réitéré leur ferme volonté à pérenniser leurs actions dans le cadre de la lutte contre la transmission mère-enfant du VIH/SIDA. Lors de son discours d’ouverture, Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire a planté le cadre des échanges de cette rencontre.
Excellences Mesdames les Premières Dames,
Mesdames et Messieurs,
Je suis particulièrement heureuse de vous retrouver aujourd’hui pour cette réunion de l’OPDAS, qui se tient à Abidjan, à l’occasion de la 19ème Conférence Internationale sur le Sida et les infections sexuellement transmissibles en Afrique.
A cet effet, je voudrais en premier lieu souhaiter la bienvenue à mes sœurs les Premières Dames membres de l’OPDAS ici présentes, qui n’ont ménagé aucun effort pour effectuer le déplacement à Abidjan. Il s’agit de :
- Madame Antoinette SASSOU N’GUESSO, Première Dame de la République du Congo
- Madame Aïssata Issoufou MAHAMADOU, Première Dame de la République du Niger
- Madame Claudine TALON, Première Dame de la République du Bénin
- et Madame Fatoumatta BAH-BARROW, Première Dame de la République de Gambie
Je voudrais également saluer et remercier de leur présence distinguée, nos sœurs Premières Dames :
- Madame Sandra Marie GRANGER, Première Dame de la République coopérative du Guyana
- Et Madame Kim Simplis BARROW, Première Dame du Belize, qui sont venues de loin pour être avec nous ce matin.
Je vous demande de les applaudir bien fort.
Je souhaiterais également saluer chaleureusement Monsieur Michel SIDIBE, Directeur Exécutif de l’ONUSIDA Madame Mashidiso MOETI, Directrice Régionale de l’OMS pour l’Afrique ; ainsi que toutes les hautes personnalités venues prendre part à cette importante rencontre.
Je salue également, les membres du Gouvernement du Corps Diplomatique présents, ainsi que nos chefs religieux et coutumiers.
Et enfin, je voudrais remercier l’OPDAS qui nous réunit aujourd’hui, pour cette session placée sous le thème : « le rôle des Premières Dames d’Afrique dans la pérennisation de la riposte au VIH à l’ère des Objectifs du Développement Durable et de l’agenda 2063 ».
Merci à toutes et à tous d’être avec nous ce matin.
Excellence Mesdames les Premières Dames,
Mesdames et Messieurs,
L’organisation des Premières Dames d’Afrique contre le VIH/SIDA (OPDAS), est une organisation des Epouses des Chefs d’Etats d’Afrique qui depuis 2002, joignent leurs forces pour influencer l’accélération de l’accès au traitement antirétroviral en Afrique.
Nous avons aujourd’hui la chance d’avoir avec nous, deux acteurs majeurs de la création de l’OPDAS, à savoir :
- Notre sœur, Madame Antoinette SASSOU N’GUESSO, Première Dame de la République du Congo
- Et, notre frère Michel SIDIBE, Directeur Exécutif de l’ONUSIDA
Nous en parlions justement hier, et ils nous racontaient les détails de la création de notre association.
A cet effet, les Premières Dames membres de l’OPDAS se réunissent en marge des réunions de l’Union Africaine, des Assemblées annuelles des Nations Unies, ou encore lors d’importants évènements comme ICASA.
Ces rencontres constituent l’occasion d’évaluer ensemble l’étendue des acquis de notre organisation, et de mesurer le chemin qui nous reste à parcourir.
C’est également pour nous l’occasion de partager nos expériences respectives, de faire le bilan de nos actions et d’envisager les perspectives en réponse aux défis qu’il nous faut relever.
Parmi ces défis, on enregistre une préoccupation majeure, celle de l’élimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant. A cet effet, je tiens à souligner que les Premières Dames d’Afrique se sont particulièrement illustrées comme Championnes de cette lutte sur notre continent.
Ce qui a contribué depuis 2010, à une forte réduction des nouvelles infections par le VIH chez les enfants dans toute l’Afrique.
En outre, par nos plaidoyers au plus haut niveau, auprès de nos époux, Chefs d’Etat et de Gouvernements, nous avons réussi à attirer l’attention sur des questions antérieurement sous-estimées.
Il s’agit des plaidoyers liés à :
- la lutte contre les violences basées sur le genre et particulièrement les mariages précoces,
- la lutte contre l’exploitation et le travail des enfants,
- la prévention du cancer du col de l’utérus,
- l’autonomisation des femmes
- la protection de notre jeunesse,
- la planification familiale
- l’accès des filles à l’éducation
- le dividende démographique, ainsi que bien d’autres sujets que nous avons pu aborder.
Toutes ces actions majeures des Premières Dames ont permis de réaliser une riposte adéquate face à ces importantes problématiques. Ce qui a donné des résultats encourageants à l’échelle du continent.
En effet, lorsqu’une Première Dame d’un pays se consacre à une initiative, elle devient un sujet d’ordre national et toutes ses sœurs la suivent pour réaliser son objectif.
Mesdames et Messieurs,
Au-delà du VIH, les actions des Premières Dames ont permis de promouvoir la santé de nos populations.
En effet, l’intégration du VIH dans les services de santé sexuelle et reproductive, y compris le renforcement des capacités de nos professionnels de la santé, ainsi que la mobilisation des ressources, ont favorisé l’amélioration générale de la garantie au droit à la santé dans nos pays.
Ainsi, il est question aujourd’hui de pérenniser cette riposte pour consolider les acquis et mieux affronter les nouveaux défis à la lumière des Objectifs de Développement Durable.
Mes chères sœurs,
Nous sommes arrivées aujourd’hui, à un moment crucial de l’évolution de l’épidémie du Sida, où les efforts consentis et les actions menées, ainsi que le niveau des investissements doivent être renforcés pour pérenniser la riposte.
Je voudrais donc encourager toutes mes sœurs à poursuivre leurs efforts et à intensifier leurs actions.
Pour ma part, je reste convaincue que c’est à ce prix que nous arriverons à bout de la pandémie.
Je souhaite plein succès à nos travaux.
Je vous remercie.
Excellences Mesdames les Premières Dames,
Mesdames et Messieurs,
Je suis particulièrement heureuse de vous retrouver aujourd’hui pour cette réunion de l’OPDAS, qui se tient à Abidjan, à l’occasion de la 19ème Conférence Internationale sur le Sida et les infections sexuellement transmissibles en Afrique.
A cet effet, je voudrais en premier lieu souhaiter la bienvenue à mes sœurs les Premières Dames membres de l’OPDAS ici présentes, qui n’ont ménagé aucun effort pour effectuer le déplacement à Abidjan. Il s’agit de :
- Madame Antoinette SASSOU N’GUESSO, Première Dame de la République du Congo
- Madame Aïssata Issoufou MAHAMADOU, Première Dame de la République du Niger
- Madame Claudine TALON, Première Dame de la République du Bénin
- et Madame Fatoumatta BAH-BARROW, Première Dame de la République de Gambie
Je voudrais également saluer et remercier de leur présence distinguée, nos sœurs Premières Dames :
- Madame Sandra Marie GRANGER, Première Dame de la République coopérative du Guyana
- Et Madame Kim Simplis BARROW, Première Dame du Belize, qui sont venues de loin pour être avec nous ce matin.
Je vous demande de les applaudir bien fort.
Je souhaiterais également saluer chaleureusement Monsieur Michel SIDIBE, Directeur Exécutif de l’ONUSIDA Madame Mashidiso MOETI, Directrice Régionale de l’OMS pour l’Afrique ; ainsi que toutes les hautes personnalités venues prendre part à cette importante rencontre.
Je salue également, les membres du Gouvernement du Corps Diplomatique présents, ainsi que nos chefs religieux et coutumiers.
Et enfin, je voudrais remercier l’OPDAS qui nous réunit aujourd’hui, pour cette session placée sous le thème : « le rôle des Premières Dames d’Afrique dans la pérennisation de la riposte au VIH à l’ère des Objectifs du Développement Durable et de l’agenda 2063 ».
Merci à toutes et à tous d’être avec nous ce matin.
Excellence Mesdames les Premières Dames,
Mesdames et Messieurs,
L’organisation des Premières Dames d’Afrique contre le VIH/SIDA (OPDAS), est une organisation des Epouses des Chefs d’Etats d’Afrique qui depuis 2002, joignent leurs forces pour influencer l’accélération de l’accès au traitement antirétroviral en Afrique.
Nous avons aujourd’hui la chance d’avoir avec nous, deux acteurs majeurs de la création de l’OPDAS, à savoir :
- Notre sœur, Madame Antoinette SASSOU N’GUESSO, Première Dame de la République du Congo
- Et, notre frère Michel SIDIBE, Directeur Exécutif de l’ONUSIDA
Nous en parlions justement hier, et ils nous racontaient les détails de la création de notre association.
A cet effet, les Premières Dames membres de l’OPDAS se réunissent en marge des réunions de l’Union Africaine, des Assemblées annuelles des Nations Unies, ou encore lors d’importants évènements comme ICASA.
Ces rencontres constituent l’occasion d’évaluer ensemble l’étendue des acquis de notre organisation, et de mesurer le chemin qui nous reste à parcourir.
C’est également pour nous l’occasion de partager nos expériences respectives, de faire le bilan de nos actions et d’envisager les perspectives en réponse aux défis qu’il nous faut relever.
Parmi ces défis, on enregistre une préoccupation majeure, celle de l’élimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant. A cet effet, je tiens à souligner que les Premières Dames d’Afrique se sont particulièrement illustrées comme Championnes de cette lutte sur notre continent.
Ce qui a contribué depuis 2010, à une forte réduction des nouvelles infections par le VIH chez les enfants dans toute l’Afrique.
En outre, par nos plaidoyers au plus haut niveau, auprès de nos époux, Chefs d’Etat et de Gouvernements, nous avons réussi à attirer l’attention sur des questions antérieurement sous-estimées.
Il s’agit des plaidoyers liés à :
- la lutte contre les violences basées sur le genre et particulièrement les mariages précoces,
- la lutte contre l’exploitation et le travail des enfants,
- la prévention du cancer du col de l’utérus,
- l’autonomisation des femmes
- la protection de notre jeunesse,
- la planification familiale
- l’accès des filles à l’éducation
- le dividende démographique, ainsi que bien d’autres sujets que nous avons pu aborder.
Toutes ces actions majeures des Premières Dames ont permis de réaliser une riposte adéquate face à ces importantes problématiques. Ce qui a donné des résultats encourageants à l’échelle du continent.
En effet, lorsqu’une Première Dame d’un pays se consacre à une initiative, elle devient un sujet d’ordre national et toutes ses sœurs la suivent pour réaliser son objectif.
Mesdames et Messieurs,
Au-delà du VIH, les actions des Premières Dames ont permis de promouvoir la santé de nos populations.
En effet, l’intégration du VIH dans les services de santé sexuelle et reproductive, y compris le renforcement des capacités de nos professionnels de la santé, ainsi que la mobilisation des ressources, ont favorisé l’amélioration générale de la garantie au droit à la santé dans nos pays.
Ainsi, il est question aujourd’hui de pérenniser cette riposte pour consolider les acquis et mieux affronter les nouveaux défis à la lumière des Objectifs de Développement Durable.
Mes chères sœurs,
Nous sommes arrivées aujourd’hui, à un moment crucial de l’évolution de l’épidémie du Sida, où les efforts consentis et les actions menées, ainsi que le niveau des investissements doivent être renforcés pour pérenniser la riposte.
Je voudrais donc encourager toutes mes sœurs à poursuivre leurs efforts et à intensifier leurs actions.
Pour ma part, je reste convaincue que c’est à ce prix que nous arriverons à bout de la pandémie.
Je souhaite plein succès à nos travaux.
Je vous remercie.