En visite à Abidjan à l’invitation du Président de la République de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, le patron du football africain Ahmad Ahmad, a animé une conférence de presse ce mardi 19 décembre, au Sofitel Hôtel Ivoire de Cocody. Le président de la CAF souhaite impliquer tous les acteurs dans la gestion du football africain.
La Côte d’Ivoire organise la CAN 2021, après elle, ce sera au tour de la Guinée Conakry. Le président de la CAF dit avoir rassuré les autorités ivoiriennes, quant à la tenue de l’événement en Côte d’Ivoire. Selon lui, « le pays a fait beaucoup d’efforts en matière d’infrastructures ».
Le président de la CAF a donné cette assurance ce mardi 19 décembre au cours de la conférence de presse qu’il animait après une audience avec le Président Alassane Ouattara.
C’est en mars dernier que le malgache Ahmad Ahmad a été élu à la tête du football africain après 8 candidatures infructueuses, face au camerounais Issa Hayatou, qui sortait de 30 ans de règne. Le nouveau président de la Confédération Africaine de Football (CAF) plébiscité selon lui pour la qualité de son programme, ne compte pas s’en détourner. Il a donc souhaité rencontrer les journalistes ivoiriens, pour débattre des problèmes du football africain et les impliquer d’avantage, dans son évolution. Exit les sujets liés au football ivoirien.
« Depuis que nous avons été élus, nous sommes restés dans la droite ligne de ce que nous avions proposé et ce sera d’ailleurs ainsi, jusqu’à la fin de notre mandat. Nous avons voulu associer tous les acteurs de ce sport, surtout les légendes autrefois oubliées, afin de trouver des solutions aux problèmes que nous rencontrons. C’est l’une des raisons, qui nous a poussé à créer une commission de médiation, dont fait partie Jacques Anouma, afin de régler efficacement les divergences qui pourraient apparaître au sein de nos fédérations » a t-il souligné avant de revenir sur les raisons de l’augmentation du nombre d’équipes en phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations, qui passe de 16 à 24.
« Combien sommes-nous à regretter la non qualification de certaines équipes à la Coupe d’Afrique des Nations à chaque édition ? Il est vrai que les éliminatoires sont âprement disputées mais il faut donner plus de chance aux équipes pour atteindre les phases finales. C’est une promesse de campagne que je dois honorer. Car si je suis là, c’est parce que les présidents de fédération ont eu confiance en moi, sur la base de cette proposition et je pense que cela est faisable. Il y a des pays en Afrique capables d’accueillir un tel événement » a assuré le patron du football africain.
La prochaine Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN) se tiendra au Cameroun, en juin 2019. L’objectif est de permettre aux joueurs africains expatriés, en vacances, de rejoindre leurs pays respectifs, afin de disputer la compétition en toute quiétude. Les clubs européens, très souvent mécontents de laisser partir leurs joueurs en pleine compétition hivernale, ont salué l’initiative. Pour le malgache de 57 ans à la tête de la CAF, il faut continuer dans ce sens, ouvrir les discussions et les négociations pour un football africain plus fort.
« Nous n’avons pas la formule magique pour développer ce sport. C’est ce qui explique notre présence ici, aujourd’hui devant vous. Lorsque nous sommes arrivés, certains partenaires nous ont lâchés alors qu’ils étaient encore sous contrat avec nous. Cela a été difficile mais les choses avancent. Concernant le championnat des jeunes, nous réfléchissons à une meilleure formule et avons aussi besoin de vos propositions » a déclaré le président Ahmad Ahmad.
Éric Coulibaly
La Côte d’Ivoire organise la CAN 2021, après elle, ce sera au tour de la Guinée Conakry. Le président de la CAF dit avoir rassuré les autorités ivoiriennes, quant à la tenue de l’événement en Côte d’Ivoire. Selon lui, « le pays a fait beaucoup d’efforts en matière d’infrastructures ».
Le président de la CAF a donné cette assurance ce mardi 19 décembre au cours de la conférence de presse qu’il animait après une audience avec le Président Alassane Ouattara.
C’est en mars dernier que le malgache Ahmad Ahmad a été élu à la tête du football africain après 8 candidatures infructueuses, face au camerounais Issa Hayatou, qui sortait de 30 ans de règne. Le nouveau président de la Confédération Africaine de Football (CAF) plébiscité selon lui pour la qualité de son programme, ne compte pas s’en détourner. Il a donc souhaité rencontrer les journalistes ivoiriens, pour débattre des problèmes du football africain et les impliquer d’avantage, dans son évolution. Exit les sujets liés au football ivoirien.
« Depuis que nous avons été élus, nous sommes restés dans la droite ligne de ce que nous avions proposé et ce sera d’ailleurs ainsi, jusqu’à la fin de notre mandat. Nous avons voulu associer tous les acteurs de ce sport, surtout les légendes autrefois oubliées, afin de trouver des solutions aux problèmes que nous rencontrons. C’est l’une des raisons, qui nous a poussé à créer une commission de médiation, dont fait partie Jacques Anouma, afin de régler efficacement les divergences qui pourraient apparaître au sein de nos fédérations » a t-il souligné avant de revenir sur les raisons de l’augmentation du nombre d’équipes en phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations, qui passe de 16 à 24.
« Combien sommes-nous à regretter la non qualification de certaines équipes à la Coupe d’Afrique des Nations à chaque édition ? Il est vrai que les éliminatoires sont âprement disputées mais il faut donner plus de chance aux équipes pour atteindre les phases finales. C’est une promesse de campagne que je dois honorer. Car si je suis là, c’est parce que les présidents de fédération ont eu confiance en moi, sur la base de cette proposition et je pense que cela est faisable. Il y a des pays en Afrique capables d’accueillir un tel événement » a assuré le patron du football africain.
La prochaine Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN) se tiendra au Cameroun, en juin 2019. L’objectif est de permettre aux joueurs africains expatriés, en vacances, de rejoindre leurs pays respectifs, afin de disputer la compétition en toute quiétude. Les clubs européens, très souvent mécontents de laisser partir leurs joueurs en pleine compétition hivernale, ont salué l’initiative. Pour le malgache de 57 ans à la tête de la CAF, il faut continuer dans ce sens, ouvrir les discussions et les négociations pour un football africain plus fort.
« Nous n’avons pas la formule magique pour développer ce sport. C’est ce qui explique notre présence ici, aujourd’hui devant vous. Lorsque nous sommes arrivés, certains partenaires nous ont lâchés alors qu’ils étaient encore sous contrat avec nous. Cela a été difficile mais les choses avancent. Concernant le championnat des jeunes, nous réfléchissons à une meilleure formule et avons aussi besoin de vos propositions » a déclaré le président Ahmad Ahmad.
Éric Coulibaly