Pendant que 2018 ouvre progressivement ses bras aux Ivoiriens avec beaucoup d’espérances, il est bon de rappeler les nombreux chantiers défrichés par le ministère des Sports et des Loisirs au cours de l’année précédente, sous la houlette de François Albert Amichia.
Une année vient de s’achever. Une autre commence avec beaucoup d’espoirs. Les acteurs du mouvement sportif ivoirien, cet après-midi du lundi 8 janvier 2018 au Palais des Sports de Treichville, sacrifieront à la tradition. En présentant leurs vœux du nouvel an, au ministre François Albert Amichia. Qui, en retour, leur exposera certainement ses orientations et sa vision, pour un sport ivoirien de plus en plus professionnel et performant. Une cérémonie, qui fera bien évidemment place, au bilan des actions du ministère des Sports et des Loisirs, pendant l’année écoulée. Point n’est besoin de faire la fine bouche. Tant au niveau des infrastructures, que de la mise en œuvre de la loi relative au sport avec l’adoption des différents décrets d’application, en passant par les incontestables résultats sportifs, le sport ivoirien a eu un visage très reluisant en 2017. Flash-back.
Les résultats de l’étude du BNETD et la PNS, les fondements de la professionnalisation du sport
Le ministre François Albert Amichia ambitionne à terme de professionnaliser le sport ivoirien. Avec ses collaborateurs, ‘’Papa Bonheur’’ ne rechigne pas à la tâche pour mettre en place, les mécanismes devant permettre d’atteindre cet objectif à moyen terme. L’année 2017 fut un tournant important dans la volonté du ministre des Sports et des Loisirs, d’aller à la professionnalisation du sport ivoirien. Deux actes majeurs ont été posés dans ce sens. D’abord la restitution des résultats de l’étude conduite par le Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) au Ministère des Sports et des Loisirs en janvier 2017. Cette étude présente les grands axes d’intervention qui permettront la mise en œuvre de la professionnalisation du sport dans tous ses aspects en Côte d’Ivoire.
Ensuite, l’élaboration de la Politique Nationale du Sport (PNS 2016-2020), adoptée en Conseil des Ministres. Ce document arrimé au Plan National de Développement (PND) 2016-2020, constitue le cadre stratégique pour professionnaliser le sport ivoirien. Il se décline d’ailleurs en six (06) axes stratégiques. A savoir le Renforcement du cadre règlementaire du sport ; le Développement de l’offre des infrastructures sportives ; la Promotion de la pratique du sport ; le Développement de l'offre de formation ; la Promotion de l'industrie du sport et l’épineuse question du Financement du sport.
Le cadre institutionnel sera davantage renforcé, avec l’élaboration et l’adoption en Conseil des ministres, des textes indispensables pour la mise en œuvre de la loi relative au sport.
La loi sur le sport, six décrets adoptés
Dès son retour à la tête du département ministériel des Sports et des Loisirs, en mai 2015, François Albert Amichia n’a pas manqué de saluer les actions de son prédécesseur, le ministre Alain Michel Lobognon. Lesquelles actions, ont notamment permis la naissance en décembre 2014 d’une loi régissant le sport ivoirien. Après avoir annoncé sa mise en œuvre pour cette année 2018, le locataire du 3e étage de l’Immeuble Sogefiha au Plateau, a tenu efficacement les manivelles, pour que les textes soient prêts dans le temps. Aux fins de s’en donner les moyens, dès le mois de janvier 2017, le Comité d’Analyse et de Rédaction des Textes (CART) voit le jour. Une équipe pluridisciplinaire composée d’experts juristes et d’experts sports, qui travaille de jour comme de nuit, pour produire les textes dans le délai.
Sur treize (13) projets de décrets prévus, six (06) ont été adoptés en Conseil des Ministres, deux (02) sont en cours de validation avec le Secrétariat Général du Gouvernement et cinq (05) autres en finition au cabinet du Ministre des Sports et des Loisirs. Par ailleurs, le Ministère a organisé quatre (4) séminaires ayant pour sujets le Programme d’Appui à la Promotion du Sport de Masse et du Sport pour Tous (PAPMAS), la Gouvernance du sport, les stratégies de financement du sport en Côte d’Ivoire et un à l’endroit des Directeurs Régionaux et Départementaux. Toutes ces actions et activités, ont concouru à créer un environnement propice, pour une pratique efficiente du sport en Côte d’Ivoire.
A côté de cela, des efforts incommensurables ont été faits au niveau des infrastructures sportives.
Infrastructures sportives, la Côte d’Ivoire ne se fait plus de complexe
Le ministère des Sports et des Loisirs, plaçaient les infrastructures sportives en priorité de ses actions en 2017. Fort à propos, la Côte d’Ivoire présentant un déficit choquant à ce niveau. Une insuffisance alarmante qu’il fallait corriger au vu de l’imminence des échéances internationales. L’organisation des VIIIes Jeux de la Francophonie et la préparation de la Coupe d’Afrique des Nations de Football (CAN 2021).
Après les Jeux de la Francophonie, tenus à Abidjan en juillet dernier, un village constitué de plusieurs ouvrages a été légué par le Ministère de la Francophonie au Ministère des Sports et des Loisirs. Les acquis sont considérables. 33 bâtiments modulables de 4000 lits pour l’hébergement des participants, 02 gymnases omnisports, un bâtiment comportant un magasin pour l’entreposage des équipements sportifs, la rénovation des terrains de football, rugby, handball, volleyball, basketball et du Centre National de la Médecine du Sport.
Autres acquis, les stades Félix Houphouët-Boigny et Champroux ont été entièrement rénovés, quand une salle polyvalente d’une capacité de 2500 places a été construite au Parc des sports de Treichville. Si elle n’a pas encore fière allure en matière d’infrastructures sportives, au sortir de cette année 2017, la Côte d’Ivoire n’a plus aucune raison de se faire du complexe. D’autant que pour la CAN 2021, les travaux de terrassement, d’amenée d’eau, de téléphone, d’électricité et de forage sont achevés dans le cadre des travaux de construction du stade Olympique d’Ebimpé. Par ailleurs, dans le cadre du Programme de Réhabilitation, d’Equipements et de Construction d’Infrastructures Sportives (PRECIS), trois (03) stades de proximité ont été construits à M’Bengué, Tengrela et Tiébissou, et un plateau sportif dédié aux sports de mains a été réalisé au Séminaire de Katiola.
De nombreux projets en cours d’exécution
Les efforts pour changer le visage de la Côte d’Ivoire en matière d’infrastructures sportives, ne sauraient s’arrêter là. Bien au contraire, ce chantier continue d’être inlassablement défriché. De nombreux projets en effet, sont en cours d’exécution. Allusion faite à l’extension et à la réhabilitation des stades de Korhogo et de Gagnoa, des complexes sportifs d’Abobo, de Yopougon, de Koumassi, d’Issia et du Parc des sports de Treichville. Sans oublier les piscines d’Etat de Treichville et Municipale de Bouaké. Dans la même veine, le stade de Bingerville, les complexes sportifs d’Angré et de Biafra, ont été entièrement réhabilités. Le Centre Sportif, Culturel et des Tic Ivoiro-Coréen de Taekwondo, est également en chantier. Les travaux de terrassement, de voiries, de réseaux et divers, ont été réalisés à 40%. Les intentions sont aussi accentuées au niveau des infrastructures sportives scolaires et universitaires dans les lycées de San-Pedro, Bondoukou, Abengourou et Dabou. Les travaux ont été effectués à hauteur de 70% au niveau des terrains de football, basketball et de handball.
Les résultats sportifs, la marque déposée de Papa Bonheur
Avec la communication groupée, instaurée depuis son retour au ministère des Sports et des Loisirs, les résultats sportifs ne sont plus en souffrance. 2017 a confirmé cette ravissante réalité. Concernant les Jeux de la Francophonie par exemple, la Côte d’Ivoire a réalisé sa meilleure performance en remportant 19 médailles (06 en Or, 08 en Argent et 05 en Bronze) dont 15 pour les compétitions sportives. Elle s’est classée 6e sur 54 pays participants. Au total, l’ensemble des résultats sportifs sur la période de janvier à décembre 2017, présente 272 médailles. Au plan africain, ce sont 216 médailles dont 81 or, 56 argent et 79 bronze. Au niveau mondial, les athlètes ivoiriens ont ramené 56 médailles dont 19 or, 18 argent et 19 bronze.
En clair, 2017 a été faste pour le sport ivoirien grâce aux jalons posés par le ministère des Sports et des Loisirs. De bon augure dans l’optique de la professionnalisation de ce sport, qui doit maintenant sortir de l’amateurisme.
Le Sport
Encadré : Les nombreuses crises au sein des fédérations, pourquoi le ministère ne dit rien
Le seul point d’ombre de ce bilan reluisant, reste incontestablement les nombreuses crises qui émaillent le mouvement sportif ivoirien. Dont la plus sérieuse reste la crise entre la Fédération Ivoirienne de Taekwondo et le très controversé Comité National Olympique de Côte d’Ivoire (CNO-CIV). A la boxe, au handball, à l’athlétisme, au jeu d’échecs, à la pétanque, au football, la défiance est totale. Curieusement, le ministère ne dit mot. Une attitude décriée par de nombreux acteurs du mouvement sportif ivoirien. Pourtant, la loi relative au sport préconise que les fédérations elles-mêmes mettent en place, des structures internes, pour gérer les crises (article 23).
Il y va de leur responsabilité d’assumer jusqu’au bout, la relative autonomie dont elles se prévalent. Simple question de bon sens.
Une année vient de s’achever. Une autre commence avec beaucoup d’espoirs. Les acteurs du mouvement sportif ivoirien, cet après-midi du lundi 8 janvier 2018 au Palais des Sports de Treichville, sacrifieront à la tradition. En présentant leurs vœux du nouvel an, au ministre François Albert Amichia. Qui, en retour, leur exposera certainement ses orientations et sa vision, pour un sport ivoirien de plus en plus professionnel et performant. Une cérémonie, qui fera bien évidemment place, au bilan des actions du ministère des Sports et des Loisirs, pendant l’année écoulée. Point n’est besoin de faire la fine bouche. Tant au niveau des infrastructures, que de la mise en œuvre de la loi relative au sport avec l’adoption des différents décrets d’application, en passant par les incontestables résultats sportifs, le sport ivoirien a eu un visage très reluisant en 2017. Flash-back.
Les résultats de l’étude du BNETD et la PNS, les fondements de la professionnalisation du sport
Le ministre François Albert Amichia ambitionne à terme de professionnaliser le sport ivoirien. Avec ses collaborateurs, ‘’Papa Bonheur’’ ne rechigne pas à la tâche pour mettre en place, les mécanismes devant permettre d’atteindre cet objectif à moyen terme. L’année 2017 fut un tournant important dans la volonté du ministre des Sports et des Loisirs, d’aller à la professionnalisation du sport ivoirien. Deux actes majeurs ont été posés dans ce sens. D’abord la restitution des résultats de l’étude conduite par le Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) au Ministère des Sports et des Loisirs en janvier 2017. Cette étude présente les grands axes d’intervention qui permettront la mise en œuvre de la professionnalisation du sport dans tous ses aspects en Côte d’Ivoire.
Ensuite, l’élaboration de la Politique Nationale du Sport (PNS 2016-2020), adoptée en Conseil des Ministres. Ce document arrimé au Plan National de Développement (PND) 2016-2020, constitue le cadre stratégique pour professionnaliser le sport ivoirien. Il se décline d’ailleurs en six (06) axes stratégiques. A savoir le Renforcement du cadre règlementaire du sport ; le Développement de l’offre des infrastructures sportives ; la Promotion de la pratique du sport ; le Développement de l'offre de formation ; la Promotion de l'industrie du sport et l’épineuse question du Financement du sport.
Le cadre institutionnel sera davantage renforcé, avec l’élaboration et l’adoption en Conseil des ministres, des textes indispensables pour la mise en œuvre de la loi relative au sport.
La loi sur le sport, six décrets adoptés
Dès son retour à la tête du département ministériel des Sports et des Loisirs, en mai 2015, François Albert Amichia n’a pas manqué de saluer les actions de son prédécesseur, le ministre Alain Michel Lobognon. Lesquelles actions, ont notamment permis la naissance en décembre 2014 d’une loi régissant le sport ivoirien. Après avoir annoncé sa mise en œuvre pour cette année 2018, le locataire du 3e étage de l’Immeuble Sogefiha au Plateau, a tenu efficacement les manivelles, pour que les textes soient prêts dans le temps. Aux fins de s’en donner les moyens, dès le mois de janvier 2017, le Comité d’Analyse et de Rédaction des Textes (CART) voit le jour. Une équipe pluridisciplinaire composée d’experts juristes et d’experts sports, qui travaille de jour comme de nuit, pour produire les textes dans le délai.
Sur treize (13) projets de décrets prévus, six (06) ont été adoptés en Conseil des Ministres, deux (02) sont en cours de validation avec le Secrétariat Général du Gouvernement et cinq (05) autres en finition au cabinet du Ministre des Sports et des Loisirs. Par ailleurs, le Ministère a organisé quatre (4) séminaires ayant pour sujets le Programme d’Appui à la Promotion du Sport de Masse et du Sport pour Tous (PAPMAS), la Gouvernance du sport, les stratégies de financement du sport en Côte d’Ivoire et un à l’endroit des Directeurs Régionaux et Départementaux. Toutes ces actions et activités, ont concouru à créer un environnement propice, pour une pratique efficiente du sport en Côte d’Ivoire.
A côté de cela, des efforts incommensurables ont été faits au niveau des infrastructures sportives.
Infrastructures sportives, la Côte d’Ivoire ne se fait plus de complexe
Le ministère des Sports et des Loisirs, plaçaient les infrastructures sportives en priorité de ses actions en 2017. Fort à propos, la Côte d’Ivoire présentant un déficit choquant à ce niveau. Une insuffisance alarmante qu’il fallait corriger au vu de l’imminence des échéances internationales. L’organisation des VIIIes Jeux de la Francophonie et la préparation de la Coupe d’Afrique des Nations de Football (CAN 2021).
Après les Jeux de la Francophonie, tenus à Abidjan en juillet dernier, un village constitué de plusieurs ouvrages a été légué par le Ministère de la Francophonie au Ministère des Sports et des Loisirs. Les acquis sont considérables. 33 bâtiments modulables de 4000 lits pour l’hébergement des participants, 02 gymnases omnisports, un bâtiment comportant un magasin pour l’entreposage des équipements sportifs, la rénovation des terrains de football, rugby, handball, volleyball, basketball et du Centre National de la Médecine du Sport.
Autres acquis, les stades Félix Houphouët-Boigny et Champroux ont été entièrement rénovés, quand une salle polyvalente d’une capacité de 2500 places a été construite au Parc des sports de Treichville. Si elle n’a pas encore fière allure en matière d’infrastructures sportives, au sortir de cette année 2017, la Côte d’Ivoire n’a plus aucune raison de se faire du complexe. D’autant que pour la CAN 2021, les travaux de terrassement, d’amenée d’eau, de téléphone, d’électricité et de forage sont achevés dans le cadre des travaux de construction du stade Olympique d’Ebimpé. Par ailleurs, dans le cadre du Programme de Réhabilitation, d’Equipements et de Construction d’Infrastructures Sportives (PRECIS), trois (03) stades de proximité ont été construits à M’Bengué, Tengrela et Tiébissou, et un plateau sportif dédié aux sports de mains a été réalisé au Séminaire de Katiola.
De nombreux projets en cours d’exécution
Les efforts pour changer le visage de la Côte d’Ivoire en matière d’infrastructures sportives, ne sauraient s’arrêter là. Bien au contraire, ce chantier continue d’être inlassablement défriché. De nombreux projets en effet, sont en cours d’exécution. Allusion faite à l’extension et à la réhabilitation des stades de Korhogo et de Gagnoa, des complexes sportifs d’Abobo, de Yopougon, de Koumassi, d’Issia et du Parc des sports de Treichville. Sans oublier les piscines d’Etat de Treichville et Municipale de Bouaké. Dans la même veine, le stade de Bingerville, les complexes sportifs d’Angré et de Biafra, ont été entièrement réhabilités. Le Centre Sportif, Culturel et des Tic Ivoiro-Coréen de Taekwondo, est également en chantier. Les travaux de terrassement, de voiries, de réseaux et divers, ont été réalisés à 40%. Les intentions sont aussi accentuées au niveau des infrastructures sportives scolaires et universitaires dans les lycées de San-Pedro, Bondoukou, Abengourou et Dabou. Les travaux ont été effectués à hauteur de 70% au niveau des terrains de football, basketball et de handball.
Les résultats sportifs, la marque déposée de Papa Bonheur
Avec la communication groupée, instaurée depuis son retour au ministère des Sports et des Loisirs, les résultats sportifs ne sont plus en souffrance. 2017 a confirmé cette ravissante réalité. Concernant les Jeux de la Francophonie par exemple, la Côte d’Ivoire a réalisé sa meilleure performance en remportant 19 médailles (06 en Or, 08 en Argent et 05 en Bronze) dont 15 pour les compétitions sportives. Elle s’est classée 6e sur 54 pays participants. Au total, l’ensemble des résultats sportifs sur la période de janvier à décembre 2017, présente 272 médailles. Au plan africain, ce sont 216 médailles dont 81 or, 56 argent et 79 bronze. Au niveau mondial, les athlètes ivoiriens ont ramené 56 médailles dont 19 or, 18 argent et 19 bronze.
En clair, 2017 a été faste pour le sport ivoirien grâce aux jalons posés par le ministère des Sports et des Loisirs. De bon augure dans l’optique de la professionnalisation de ce sport, qui doit maintenant sortir de l’amateurisme.
Le Sport
Encadré : Les nombreuses crises au sein des fédérations, pourquoi le ministère ne dit rien
Le seul point d’ombre de ce bilan reluisant, reste incontestablement les nombreuses crises qui émaillent le mouvement sportif ivoirien. Dont la plus sérieuse reste la crise entre la Fédération Ivoirienne de Taekwondo et le très controversé Comité National Olympique de Côte d’Ivoire (CNO-CIV). A la boxe, au handball, à l’athlétisme, au jeu d’échecs, à la pétanque, au football, la défiance est totale. Curieusement, le ministère ne dit mot. Une attitude décriée par de nombreux acteurs du mouvement sportif ivoirien. Pourtant, la loi relative au sport préconise que les fédérations elles-mêmes mettent en place, des structures internes, pour gérer les crises (article 23).
Il y va de leur responsabilité d’assumer jusqu’au bout, la relative autonomie dont elles se prévalent. Simple question de bon sens.