Les travaux de restauration et de mise à niveaux de huit hôpitaux de référence dont trois Centres hospitaliers régionaux (CHR) et cinq hôpitaux généraux (HG) ont été lancés, mardi, à Abidjan par le gouvernement ivoirien pour un coût d’un peu plus de 100 milliards de FCFA, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
C’est l’hôpital général de Yopougon Attié (Ouest d’Abidjan) qui a abrité la cérémonie de lancement de ces travaux qui seront réalisés dans un délai d’environ dix mois par Med Afrique qui est un groupement composé de trois entreprises dont Marylis BTP, Siemens et Elsmed.
Les travaux consisteront en la réhabilitation avec ou sans extension, la construction et l’équipement des CHR de Daloa (Centre-Ouest), Korhogo (Extrême Nord), Yamoussoukro (Centre) ainsi que des hôpitaux généraux d’Abidjan que sont Abobo Nord, Abobo Sud, Adjamé , Yopougon Attié et l’hôpital général de l’ex-capitale ivoirienne, Grand-Bassam.
‘’Ces actions s’inscrivent dans l’ambitieux programme de mise à niveau de 376 établissements sanitaires dont 4 CHU, 17 CHR, 45 HG et 320 établissements sanitaires de premier contact (ESPC) dans le cadre de la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (CMU)’’, a rappelé la ministre de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie.
Selon elle, la mise à niveau de ces huit hôpitaux de référence est le volet hospitalier de la phase expérimentale de la CMU. ‘’Ce volet hospitalier vient d’une part, compléter le volet ESPC composé de neuf Centres de santé universitaires et d’autre part, participer au lancement de la phase de généralisation de la CMU’’, a conclu Mme Coffie.
Au nom des trois entreprises retenues pour la réalisation des travaux, Armand Agbo Panza a rassuré le gouvernement ivoirien de leur ‘’engagement’’ à ses côtés pour ‘’relever les grands défis de la Côte d’Ivoire moderne’’.
Le ministre de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, représentant le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly a pour sa part invité ces entreprises au ‘’respect des délais’’, mais également à livrer des travaux de ‘’qualité’’.
Une enquête terrain menée en mai et juin 2016 dans le pays a mis en évidence une importante dégradation de l’offre de soins existante.
LS/APA
C’est l’hôpital général de Yopougon Attié (Ouest d’Abidjan) qui a abrité la cérémonie de lancement de ces travaux qui seront réalisés dans un délai d’environ dix mois par Med Afrique qui est un groupement composé de trois entreprises dont Marylis BTP, Siemens et Elsmed.
Les travaux consisteront en la réhabilitation avec ou sans extension, la construction et l’équipement des CHR de Daloa (Centre-Ouest), Korhogo (Extrême Nord), Yamoussoukro (Centre) ainsi que des hôpitaux généraux d’Abidjan que sont Abobo Nord, Abobo Sud, Adjamé , Yopougon Attié et l’hôpital général de l’ex-capitale ivoirienne, Grand-Bassam.
‘’Ces actions s’inscrivent dans l’ambitieux programme de mise à niveau de 376 établissements sanitaires dont 4 CHU, 17 CHR, 45 HG et 320 établissements sanitaires de premier contact (ESPC) dans le cadre de la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (CMU)’’, a rappelé la ministre de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie.
Selon elle, la mise à niveau de ces huit hôpitaux de référence est le volet hospitalier de la phase expérimentale de la CMU. ‘’Ce volet hospitalier vient d’une part, compléter le volet ESPC composé de neuf Centres de santé universitaires et d’autre part, participer au lancement de la phase de généralisation de la CMU’’, a conclu Mme Coffie.
Au nom des trois entreprises retenues pour la réalisation des travaux, Armand Agbo Panza a rassuré le gouvernement ivoirien de leur ‘’engagement’’ à ses côtés pour ‘’relever les grands défis de la Côte d’Ivoire moderne’’.
Le ministre de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, représentant le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly a pour sa part invité ces entreprises au ‘’respect des délais’’, mais également à livrer des travaux de ‘’qualité’’.
Une enquête terrain menée en mai et juin 2016 dans le pays a mis en évidence une importante dégradation de l’offre de soins existante.
LS/APA