Abidjan – Recevant vendredi les membres de la Commission paritaire d’attribution de la carte d’identité de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP), le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, Bruno Nabagné Koné, a indiqué que la nouvelle loi sur la presse réduit fortement la pression qui pesait sur les journalistes et leur permet d’exercer leur profession en toute quiétude.
Selon lui, la loi de 2004 autorisait la garde à vue et la détention provisoire, alors que la nouvelle exclut cette disposition.
« L’esprit des textes au départ était de réduire fortement la pression qu’il y avait sur le journaliste et qui figurait encore dans les textes de 2004. C’est pourquoi dès l’entame des textes au 3e ou 4e article de la loi sur la presse, on excluait la garde à vue et la détention provisoire, le chef d’Etat et le Premier ministre sont dans cet état d’esprit », a-t-il indiqué, précisant que toutes les accusations étaient portées au gouvernement.
Outre la détention provisoire, les peines pécuniaires ont été revues à la baisse, en l’occurrence, la peine sur l’offense au Chef de l’Etat qui est passée de 15 millions FCFA à trois millions F CFA.
Le ministre a invité ses hôtes du jour à communiquer sur la nouvelle loi sur la presse, pour éviter au journaliste de tomber sur le coup.
"Il y a la loi sur la presse et il y a le code pénal qui s’applique à tout le monde. Ma prière et mon souhait c’est qu’il n’y ait aucune condamnation et j’espère qu’aucun journaliste ne tombera sur le coup de cet article, parce que chaque fois que ça arrive c’est nous qui sommes gêné. Ce n’est pas l’image qu’on souhaite pour notre pays, il faut qu’on communique davantage sur tout ce qui peut éviter au journaliste d’être gêné par la police, la justice", a-t-il recommandé.
(AIP)
kam
Selon lui, la loi de 2004 autorisait la garde à vue et la détention provisoire, alors que la nouvelle exclut cette disposition.
« L’esprit des textes au départ était de réduire fortement la pression qu’il y avait sur le journaliste et qui figurait encore dans les textes de 2004. C’est pourquoi dès l’entame des textes au 3e ou 4e article de la loi sur la presse, on excluait la garde à vue et la détention provisoire, le chef d’Etat et le Premier ministre sont dans cet état d’esprit », a-t-il indiqué, précisant que toutes les accusations étaient portées au gouvernement.
Outre la détention provisoire, les peines pécuniaires ont été revues à la baisse, en l’occurrence, la peine sur l’offense au Chef de l’Etat qui est passée de 15 millions FCFA à trois millions F CFA.
Le ministre a invité ses hôtes du jour à communiquer sur la nouvelle loi sur la presse, pour éviter au journaliste de tomber sur le coup.
"Il y a la loi sur la presse et il y a le code pénal qui s’applique à tout le monde. Ma prière et mon souhait c’est qu’il n’y ait aucune condamnation et j’espère qu’aucun journaliste ne tombera sur le coup de cet article, parce que chaque fois que ça arrive c’est nous qui sommes gêné. Ce n’est pas l’image qu’on souhaite pour notre pays, il faut qu’on communique davantage sur tout ce qui peut éviter au journaliste d’être gêné par la police, la justice", a-t-il recommandé.
(AIP)
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