Abidjan – Le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné a initié vendredi après-midi, une rencontre d’échanges avec les rédacteurs en chefs des médias publics et privés, tous supports et lignes éditoriales confondus.
Selon le ministre, cette série de rencontres qu’il va étendre aux autres acteurs des médias, commence par les rédacteurs en chef, un maillon important dans les Rédactions, capable d’influencer le rendu final des productions.
Pour Bruno Koné, l’objectif de la rencontre est d’échanger non pas seulement sur le futur mais beaucoup plus sur le présent de la presse ivoirienne « qui a ses qualités mais malheureusement également ses défauts ».
Aussi, face à cette presse décriée par des Ivoiriens mais aussi des observateurs étrangers, le ministre dit vouloir chercher à comprendre « pour savoir pourquoi, pour voir ce qu’il y à corriger ».
Le département de la Communication a été adjoint il y a un an au ministère de l’Economie numérique et de la Poste dont il était le titulaire depuis 2011. Bruno Koné qui a souligné avoir échangé depuis lors avec les différentes unions et associations des médias, a indiqué avoir ses idées sur des sujets importants (lois, cadres réglementaires…), jugeant toutefois important d’avoir une rencontre dans le présent format.
Plusieurs questions ont dominé les échanges dont la cause de la mévente des journaux, les problèmes d’impression et de distribution des journaux, les débats sur la subvention des entreprises de presse privées par l’Etat – qu’il juge pas très commode avec les principes d’indépendance et de liberté de ces médias.
Pour Bruno Koné, l’Etat attend une presse transparente, avec une relation fluide avec sa cible; une presse professionnelle dont la qualité du produit fera son marché. Il prône également une presse responsable ayant en vue, « à tout moment cette ligne rouge qu’il faut éviter de franchir, celle qui est susceptible de créer un problème, de mettre mal à l’aise autrui, de mettre éventuellement le feu… ».
Persuadé que cette presse peut exister en Côte d’Ivoire où il y a du potentiel concernant le marché, le ministre a dit sa foi dans ce métier. Pour épuiser ces questions, un séminaire va être organisé sur la vie des médias, a réitéré le ministre de la Communication. Cette rencontre s’est tenue au 25ème étage de l’immeuble Postel 2000, au Plateau, en présence de membres du cabinet.
cmas
Selon le ministre, cette série de rencontres qu’il va étendre aux autres acteurs des médias, commence par les rédacteurs en chef, un maillon important dans les Rédactions, capable d’influencer le rendu final des productions.
Pour Bruno Koné, l’objectif de la rencontre est d’échanger non pas seulement sur le futur mais beaucoup plus sur le présent de la presse ivoirienne « qui a ses qualités mais malheureusement également ses défauts ».
Aussi, face à cette presse décriée par des Ivoiriens mais aussi des observateurs étrangers, le ministre dit vouloir chercher à comprendre « pour savoir pourquoi, pour voir ce qu’il y à corriger ».
Le département de la Communication a été adjoint il y a un an au ministère de l’Economie numérique et de la Poste dont il était le titulaire depuis 2011. Bruno Koné qui a souligné avoir échangé depuis lors avec les différentes unions et associations des médias, a indiqué avoir ses idées sur des sujets importants (lois, cadres réglementaires…), jugeant toutefois important d’avoir une rencontre dans le présent format.
Plusieurs questions ont dominé les échanges dont la cause de la mévente des journaux, les problèmes d’impression et de distribution des journaux, les débats sur la subvention des entreprises de presse privées par l’Etat – qu’il juge pas très commode avec les principes d’indépendance et de liberté de ces médias.
Pour Bruno Koné, l’Etat attend une presse transparente, avec une relation fluide avec sa cible; une presse professionnelle dont la qualité du produit fera son marché. Il prône également une presse responsable ayant en vue, « à tout moment cette ligne rouge qu’il faut éviter de franchir, celle qui est susceptible de créer un problème, de mettre mal à l’aise autrui, de mettre éventuellement le feu… ».
Persuadé que cette presse peut exister en Côte d’Ivoire où il y a du potentiel concernant le marché, le ministre a dit sa foi dans ce métier. Pour épuiser ces questions, un séminaire va être organisé sur la vie des médias, a réitéré le ministre de la Communication. Cette rencontre s’est tenue au 25ème étage de l’immeuble Postel 2000, au Plateau, en présence de membres du cabinet.
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