Abidjan - La Direction de la coordination du Programme élargi de vaccination (DCPEV) sollicite l’appui des médias quant à la sensibilisation des populations afin de conférer un succès à la campagne contre la rougeole et la rubéole qui va s’ouvrir vendredi, sur toute l’étendue du territoire national.
L’administration a convié, à cet effet, mardi, des animateurs de ces médias à une session dite de "briefing" afin de les informer non seulement sur les différentes articulations de cette campagne mais aussi et surtout sur la dangerosité de ces deux maladies susceptibles de présenter des complications aux conséquences désastreuses.
Le responsable du service de communication du DCPEV, Angaman Ehouman, lors de cette session a relevé le fait que le défaut d’information représente, avec 49% des avis tirés d’une enquête interne, la première cause de non vaccination.
Soulignant ainsi le rôle important qu’ils tiennent dans la réussite des différents programmes déclinés, il a appelé les journalistes présents à la séance d’information à communiquer largement sur la campagne de vaccination à venir et à surtout insister sur la dangerosité de ces deux maladies qui peuvent, à l’extrême, conduire à la mort ou entraîner des séquelles irréversibles chez les enfants de neuf à 14 ans qui sont les plus exposés.
La campagne 2018, « intégralement gratuite », et qui verra l’introduction du vaccin combiné rougeole-rubéole portera ainsi sur cette tranche pour une population cible de 13 386 504 enfants.
Elle (la campagne) va s’étendre sur l’ensemble des 83 districts sanitaires que compte la Côte d’Ivoire et mobilisera quelque 32 000 agents pour environ 6000 postes de vaccination.
La campagne rougeole-rubéole 2018 vise à rattraper tous les enfants qui n’ont pu être pris en charge dans les centres de santé, au compte de la vaccination de routine, afin d’éviter la survenue d’épidémies. Contrairement à celle contre la poliomyélite, elle ne se fera pas de porte à porte pour une question de sécurité des vaccins. Des postes fixes seront ainsi installés vers lesquels devront converger les populations.
La Côte d’Ivoire a adhéré depuis 2001 à l’initiative mondiale pour l’élimination de la rougeole. Elle conduit ainsi depuis 2005, en collaboration avec le Gavi, des campagnes de vaccination tous les trois ans. Celle de 2018 est la 5ème du genre. Le vaccin contre la rubéole, maladie en nette progression dans le pays avec 322 cas confirmés en 2017 contre 54 en 2014, intègre la campagne cette année après son inscription dans la vaccination de routine.
kg/fmo
L’administration a convié, à cet effet, mardi, des animateurs de ces médias à une session dite de "briefing" afin de les informer non seulement sur les différentes articulations de cette campagne mais aussi et surtout sur la dangerosité de ces deux maladies susceptibles de présenter des complications aux conséquences désastreuses.
Le responsable du service de communication du DCPEV, Angaman Ehouman, lors de cette session a relevé le fait que le défaut d’information représente, avec 49% des avis tirés d’une enquête interne, la première cause de non vaccination.
Soulignant ainsi le rôle important qu’ils tiennent dans la réussite des différents programmes déclinés, il a appelé les journalistes présents à la séance d’information à communiquer largement sur la campagne de vaccination à venir et à surtout insister sur la dangerosité de ces deux maladies qui peuvent, à l’extrême, conduire à la mort ou entraîner des séquelles irréversibles chez les enfants de neuf à 14 ans qui sont les plus exposés.
La campagne 2018, « intégralement gratuite », et qui verra l’introduction du vaccin combiné rougeole-rubéole portera ainsi sur cette tranche pour une population cible de 13 386 504 enfants.
Elle (la campagne) va s’étendre sur l’ensemble des 83 districts sanitaires que compte la Côte d’Ivoire et mobilisera quelque 32 000 agents pour environ 6000 postes de vaccination.
La campagne rougeole-rubéole 2018 vise à rattraper tous les enfants qui n’ont pu être pris en charge dans les centres de santé, au compte de la vaccination de routine, afin d’éviter la survenue d’épidémies. Contrairement à celle contre la poliomyélite, elle ne se fera pas de porte à porte pour une question de sécurité des vaccins. Des postes fixes seront ainsi installés vers lesquels devront converger les populations.
La Côte d’Ivoire a adhéré depuis 2001 à l’initiative mondiale pour l’élimination de la rougeole. Elle conduit ainsi depuis 2005, en collaboration avec le Gavi, des campagnes de vaccination tous les trois ans. Celle de 2018 est la 5ème du genre. Le vaccin contre la rubéole, maladie en nette progression dans le pays avec 322 cas confirmés en 2017 contre 54 en 2014, intègre la campagne cette année après son inscription dans la vaccination de routine.
kg/fmo
