Abidjan - Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani a défini mardi les projets prioritaires de son département.
Recevant les vœux de nouvel an de ses collaborateurs, le ministre Adjoumani leur a demandé de consolider et d’améliorer les acquis des années antérieures, en renforçant le dispositif de contrôle et de surveillance des maladies animales, surtout aux frontières du pays.
Il a souhaité également l’amélioration et la gouvernance du secteur des ressources animales par la concrétisation du Plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PSDEPA) en le dotant d’un financement adéquat.
Pour y parvenir, a ajouté le ministre, les actions synergiques et ambitieuses doivent être entreprises, à savoir la création des agences de développement telle que consignée dans le PSDEPA, afin de booster les productions animales et halieutiques, la poursuite de la création d’emplois par l’installation de fermes de ruminants, de fermes avicoles, de fermes porcines et de promoteurs des élevages en développement.
Le ministre a promis que le développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture vont se poursuivre avec l’installation des exploitations modernes, la mise en place d’un système d’information sur les marchés, l’amélioration génétique, l’approvisionnement du fonds de garantie du secteur avicole, l’achèvement de la construction des débarcadères de Grand-Lahou, de Sassandra et le lancement des travaux du débarcadère de Grand-Bassam.
Adjoumani s’est également engagé à appuyer la transformation des produits par le règlement de la dette liée aux abattements sur les facteurs de production en faveur des entreprises franches de transformation des produits halieutiques (industrie thonière), le lancement de l’appel d’offres du complexe abattoir-marché de bétail d’Anyama, la construction de nouvelles plateformes de fumages et le renforcement de la surveillance épidémiologique des maladies animales et des zoonoses émergentes.
«Enfin, il s’agira de renforcer la réconciliation et la cohésion sociale dans le secteur d’activité, notamment par la prise des textes règlementaires sur la transhumance et leur application, gage de la résolution des conflits agriculteurs et éleveurs. Nous devons mutualiser nos efforts pour promouvoir une approche concertée de prévention et de résolution des conflits », a-t-il recommandé.
bsp/fmo
Recevant les vœux de nouvel an de ses collaborateurs, le ministre Adjoumani leur a demandé de consolider et d’améliorer les acquis des années antérieures, en renforçant le dispositif de contrôle et de surveillance des maladies animales, surtout aux frontières du pays.
Il a souhaité également l’amélioration et la gouvernance du secteur des ressources animales par la concrétisation du Plan stratégique de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PSDEPA) en le dotant d’un financement adéquat.
Pour y parvenir, a ajouté le ministre, les actions synergiques et ambitieuses doivent être entreprises, à savoir la création des agences de développement telle que consignée dans le PSDEPA, afin de booster les productions animales et halieutiques, la poursuite de la création d’emplois par l’installation de fermes de ruminants, de fermes avicoles, de fermes porcines et de promoteurs des élevages en développement.
Le ministre a promis que le développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture vont se poursuivre avec l’installation des exploitations modernes, la mise en place d’un système d’information sur les marchés, l’amélioration génétique, l’approvisionnement du fonds de garantie du secteur avicole, l’achèvement de la construction des débarcadères de Grand-Lahou, de Sassandra et le lancement des travaux du débarcadère de Grand-Bassam.
Adjoumani s’est également engagé à appuyer la transformation des produits par le règlement de la dette liée aux abattements sur les facteurs de production en faveur des entreprises franches de transformation des produits halieutiques (industrie thonière), le lancement de l’appel d’offres du complexe abattoir-marché de bétail d’Anyama, la construction de nouvelles plateformes de fumages et le renforcement de la surveillance épidémiologique des maladies animales et des zoonoses émergentes.
«Enfin, il s’agira de renforcer la réconciliation et la cohésion sociale dans le secteur d’activité, notamment par la prise des textes règlementaires sur la transhumance et leur application, gage de la résolution des conflits agriculteurs et éleveurs. Nous devons mutualiser nos efforts pour promouvoir une approche concertée de prévention et de résolution des conflits », a-t-il recommandé.
bsp/fmo