Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a déclaré dimanche que les Nations unies souhaitaient renforcer leur partenariat avec l'Union africaine (UA) dans cinq domaines.
La paix et la sécurité, les migrations et la lutte contre la corruption sont les trois principaux domaines de coopération dans lesquels l'ONU souhaiterait consolider son partenariat avec l'UA, a déclaré M. Guterres durant l'ouverture du 30ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA.
Les autres domaines de coopération sont le développement durable et inclusif, et diverses problématiques liées aux femmes et aux jeunes, a-t-il ajouté.
En ce qui concerne la paix et la sécurité, M. Guterres a réaffirmé que le partenariat ONU-UA était fondamental pour construire un monde plus sûr pour tous. Il a cependant précisé que ce partenariat reposait sur des solutions africaines, pensées et dirigées par l'Afrique.
Il a également insisté sur la nécessité de s'attaquer aux causes profondes des conflits en renforçant leur prévention, notamment par le biais de la diplomatie et de la médiation.
Soulignant que l'ONU soutenait pleinement l'initiative africaine pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine, il a exhorté tous les partenaires concernés à faire avancer ce dossier sous l'égide des dirigeants nationaux.
L'ONU a aligné sa position sur l'UA et l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), et coopère avec ces deux institutions concernant la situation au Soudan du Sud, a également indiqué M. Guterres.
En ce qui concerne les migrations, il a mis l'accent sur le renforcement de la coopération entre l'ONU et l'UA, et a souligné la nécessité de maximiser les avantages apportés par des migrations ordonnées, tout en éliminant les maltraitances et les préjugés.
"Cela nécessite une meilleure coordination entre les pays d'origine, de transit et de destination des migrants, et la mise en place de davantage de voies légales pour les migrations", a noté le secrétaire général.
"Je condamne les maltraitances et l'exploitation généralisées des migrants, qui entachent l'honneur de l'humanité tout entière", a-t-il affirmé.
Pour ce qui est du partenariat portant sur la lutte contre la corruption, M. Guterres a promis le ferme soutien de l'ONU aux efforts de l'UA dans la lutte contre ce fléau sur le continent.
Réitérant que la corruption contribuait aux trafics de drogue et d'êtres humains et au pillage des ressources naturelles et de la faune sauvage, M. Guterres a déclaré que l'ONU travaillait de concert avec les commissions nationales de lutte contre la corruption pour mettre fin à l'impunité dans ce domaine et traduire les coupables en justice.
Le secrétaire général a également indiqué que l'ONU coopérait avec l'UA dans le domaine du développement durable et inclusif, un chantier auquel les deux organisations travaillent dans le cadre du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et de l'Agenda 2063 de l'Afrique.
A propos des femmes et des jeunes, M. Guterres a déclaré que les programmes de développement concernés devaient être directement dirigés par des femmes et des jeunes.
L'Afrique a la plus forte concentration de jeunes dans le monde, a déclaré M. Guterres, ajoutant que "l'exploitation de ce dividende démographique, par le biais des investissements dans les domaines d'une éducation de qualité, de la formation et de la création d'emplois, permettrait de libérer une quantité sans précédent d'énergies, de talents et de créativité".
Samedi, l'ONU et l'UA ont signé un deuxième accord-cadre sur la mise en œuvre du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et de l'Agenda 2063 de l'UA.
La paix et la sécurité, les migrations et la lutte contre la corruption sont les trois principaux domaines de coopération dans lesquels l'ONU souhaiterait consolider son partenariat avec l'UA, a déclaré M. Guterres durant l'ouverture du 30ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA.
Les autres domaines de coopération sont le développement durable et inclusif, et diverses problématiques liées aux femmes et aux jeunes, a-t-il ajouté.
En ce qui concerne la paix et la sécurité, M. Guterres a réaffirmé que le partenariat ONU-UA était fondamental pour construire un monde plus sûr pour tous. Il a cependant précisé que ce partenariat reposait sur des solutions africaines, pensées et dirigées par l'Afrique.
Il a également insisté sur la nécessité de s'attaquer aux causes profondes des conflits en renforçant leur prévention, notamment par le biais de la diplomatie et de la médiation.
Soulignant que l'ONU soutenait pleinement l'initiative africaine pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine, il a exhorté tous les partenaires concernés à faire avancer ce dossier sous l'égide des dirigeants nationaux.
L'ONU a aligné sa position sur l'UA et l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), et coopère avec ces deux institutions concernant la situation au Soudan du Sud, a également indiqué M. Guterres.
En ce qui concerne les migrations, il a mis l'accent sur le renforcement de la coopération entre l'ONU et l'UA, et a souligné la nécessité de maximiser les avantages apportés par des migrations ordonnées, tout en éliminant les maltraitances et les préjugés.
"Cela nécessite une meilleure coordination entre les pays d'origine, de transit et de destination des migrants, et la mise en place de davantage de voies légales pour les migrations", a noté le secrétaire général.
"Je condamne les maltraitances et l'exploitation généralisées des migrants, qui entachent l'honneur de l'humanité tout entière", a-t-il affirmé.
Pour ce qui est du partenariat portant sur la lutte contre la corruption, M. Guterres a promis le ferme soutien de l'ONU aux efforts de l'UA dans la lutte contre ce fléau sur le continent.
Réitérant que la corruption contribuait aux trafics de drogue et d'êtres humains et au pillage des ressources naturelles et de la faune sauvage, M. Guterres a déclaré que l'ONU travaillait de concert avec les commissions nationales de lutte contre la corruption pour mettre fin à l'impunité dans ce domaine et traduire les coupables en justice.
Le secrétaire général a également indiqué que l'ONU coopérait avec l'UA dans le domaine du développement durable et inclusif, un chantier auquel les deux organisations travaillent dans le cadre du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et de l'Agenda 2063 de l'Afrique.
A propos des femmes et des jeunes, M. Guterres a déclaré que les programmes de développement concernés devaient être directement dirigés par des femmes et des jeunes.
L'Afrique a la plus forte concentration de jeunes dans le monde, a déclaré M. Guterres, ajoutant que "l'exploitation de ce dividende démographique, par le biais des investissements dans les domaines d'une éducation de qualité, de la formation et de la création d'emplois, permettrait de libérer une quantité sans précédent d'énergies, de talents et de créativité".
Samedi, l'ONU et l'UA ont signé un deuxième accord-cadre sur la mise en œuvre du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et de l'Agenda 2063 de l'UA.