La Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire invite les autorités judiciaires à faire la lumière sur l’affaire relative à l’interpellation d’un député à l’Assemblée nationale, Yah Touré, accusé d’avoir asséné une gifle à un sous-officier de police chargé de la régulation de la circulation.
« La CNDHCI exhorte donc les parties à user de recours légaux, en toutes circonstances, pour obtenir justice et réparation. Elle appelle toutes les parties à la retenue et invite les autorités judiciaires à faire toute la lumière sur cette affaire afin de situer toutes les responsabilités », stipule le document dont copie a été transmis mardi, à l’AIP.
Le dimanche 28 janvier 2018, Monsieur Yah Touré, député à l’Assemblée Nationale, accusé d’avoir asséné une gifle à un sous-officier de police chargé de la régulation de la circulation, a été arrêté par la police puis déféré devant le parquet d’Abidjan-Plateau.
Il a été traduit par la suite devant le tribunal correctionnel, statuant en matière de flagrant délit pour les « faits de violence et voie de faits, d’outrages à l’agent dans l’exercice de ses fonctions ». Le procureur, saisi par l’Assemblée nationale d’une demande de suspension des poursuites et de détention, qu’il a jugé conforme à la loi, a ordonné la suspension des poursuites et la relaxe du député en question, rappelle-t-on.
(AIP)
gak/fmo
« La CNDHCI exhorte donc les parties à user de recours légaux, en toutes circonstances, pour obtenir justice et réparation. Elle appelle toutes les parties à la retenue et invite les autorités judiciaires à faire toute la lumière sur cette affaire afin de situer toutes les responsabilités », stipule le document dont copie a été transmis mardi, à l’AIP.
Le dimanche 28 janvier 2018, Monsieur Yah Touré, député à l’Assemblée Nationale, accusé d’avoir asséné une gifle à un sous-officier de police chargé de la régulation de la circulation, a été arrêté par la police puis déféré devant le parquet d’Abidjan-Plateau.
Il a été traduit par la suite devant le tribunal correctionnel, statuant en matière de flagrant délit pour les « faits de violence et voie de faits, d’outrages à l’agent dans l’exercice de ses fonctions ». Le procureur, saisi par l’Assemblée nationale d’une demande de suspension des poursuites et de détention, qu’il a jugé conforme à la loi, a ordonné la suspension des poursuites et la relaxe du député en question, rappelle-t-on.
(AIP)
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