Abidjan - Le frère du leader de l’opposition congolaise, Mgr Gérard Mulumba a interpellé le gouvernement congolais à respecter sa parole en s’impliquant dans le retour du corps d’Etienne Tshisekedi, en République Démocratique du Congo (RDC).
«Nous regrettons ce silence du gouvernement qui dure depuis plus de sept mois. Depuis que les discussions ont été suspendues. Nous lui lançons de nouveau un appel pour qu’il respecte sa parole et s’implique pour le retour du corps d’Étienne Tshisekedi en RDC », a déclaré Mgr Gérard Mulumba qui se confiait mercredi, dans une interview à Jeune Afrique.
«La famille n’envisage pas l’enterrement d’Étienne Tshisekedi à Bruxelles. Nous préférons qu’il soit inhumé en RDC. La raison est simple : de son vivant, sauf pour des raisons de santé, il n’a jamais voulu rester en Belgique. Même convalescent, Tshisekedi souhaitait toujours regagner le territoire national. L’enterrer en Belgique, n’est donc pas la solution », a-t-il ajouté.
Le leader de l’opposition congolaise, Etienne Tshisekedi est décédé le 1er février 2017, à Bruxelles. Douze mois après le décès de cette figure emblématique de l’opposition, les tractations autour de son enterrement se trouvent aujourd’hui au point mort, note-t-on.
(AIP)
sdaf/fmo
«Nous regrettons ce silence du gouvernement qui dure depuis plus de sept mois. Depuis que les discussions ont été suspendues. Nous lui lançons de nouveau un appel pour qu’il respecte sa parole et s’implique pour le retour du corps d’Étienne Tshisekedi en RDC », a déclaré Mgr Gérard Mulumba qui se confiait mercredi, dans une interview à Jeune Afrique.
«La famille n’envisage pas l’enterrement d’Étienne Tshisekedi à Bruxelles. Nous préférons qu’il soit inhumé en RDC. La raison est simple : de son vivant, sauf pour des raisons de santé, il n’a jamais voulu rester en Belgique. Même convalescent, Tshisekedi souhaitait toujours regagner le territoire national. L’enterrer en Belgique, n’est donc pas la solution », a-t-il ajouté.
Le leader de l’opposition congolaise, Etienne Tshisekedi est décédé le 1er février 2017, à Bruxelles. Douze mois après le décès de cette figure emblématique de l’opposition, les tractations autour de son enterrement se trouvent aujourd’hui au point mort, note-t-on.
(AIP)
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