Vivre ensemble. Pour permettre à l’Afrique d’être (enfin) un continent de solutions, pour le reste du monde. C’est toute la symbolique du rendez-vous de Saint-Louis. Le Forum du plus.
Par Moustapha MAÏGA
Saint-Louis. Nous ne sommes ni aux USA ni en France, mais bel et bien en Afrique. Dans cette cité cosmopolite, chargée d’histoires, qui laisse apparaître à la fois ses ambitions et sa résilience - face aux menaces environnementales (de toute part).
Bien qu’étant à l’intérieur du Sénégal, Saint-Louis n’a rien à envier à Dakar – la capitale. Du moins, au niveau structurel et éducationnel. Tout plaide en faveur de cette presqu’île classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO. On ne le dira jamais assez : l’Afrique est un continent riche. Une opportunité pour son milliard d’habitants. À l’évidence, c’est le prochain « centre » du monde.
Par ailleurs, cette ville secondaire incarne aussi bien la dynamique d’action que la vision de l’initiative. Pour mieux appréhender les défis et les enjeux, les participants du Forum de Saint-Louis s’accordent sur la nécessité de changer la façon de voir - et d’opérer. Avec une démarche inclusive - de toutes les composantes de la société.
DES RESSOURCES. Le Forum de Saint-Louis est une plateforme du donner et du recevoir. Une sorte d’arche d’Amadou DIAW à travers laquelle se sont tutoyés dans les rues de Ndar (Saint-Louis, en Wolof), des hommes et des femmes de toutes les générations, de tous les continents, de toutes les races, de toutes les cultures, de toutes les expériences et de toutes les catégories sociales.
Ces intellectuels, artistes, écrivains, poètes, designers, entrepreneurs, hommes d’État, sportifs, sociologues et blogueurs sont venus (à cœur joie) apporter leur contribution à l’initiative (louable) d’Amadou DIAW – Président du Forum.
Le Forum de Saint-Louis traduit la vitalité et la dynamique d’un continent (autrefois récepteur) qui se veut désormais émetteur et qu’il faut apprendre à écouter. Un excellent laboratoire pour penser l’avenir et le devenir. De quoi inspirer les dirigeants des villes secondaires (africaines).
DES VILLES SECONDAIRES. Il n’y a de ville créatrice que si les stratégies intègrent - en priorité - l’éducation des populations. Viennent ensuite les aspirations de ces Africains lambda, vivant dans les villes secondaires. En la matière, le Forum de Saint-Louis est le rendez-vous des optimistes.
Au-delà d’engager une réflexion collective (et inclusive), le Forum fait place à l’action. Un amplificateur des œuvres culturelles et des idées innovatrices. C’est ce qu’Amadou DIAW appelle la pédagogie du vivre ensemble.
Chaque ville africaine, en s’inspirant de l’autre (voisine ou non) mesure ainsi le chemin qui la sépare de la modernité. Ce faisant, elle s’ouvre au label d’excellence. Sans attendre de recevoir (ou de donner) de leçons, chaque ville avance, en intégrant ses proches réalités. Avec la certitude (désormais) d’être d’agir en synergie.
DES RÉSOLUTIONS. Se donner la main, pour sentir et partager ce qui pourrait rendre forte l’Afrique. Le Forum de Saint-Louis a investi dans le fondamental, pour faire bouger les lignes.
Là-bas, sur les bords du fleuve Sénégal, des engagements forts ont été pris. Non pas pour prédire l’avenir, mais pour s’y préparer. Le suivi des résolutions permettrait d’avoir une harmonie des différentes villes secondaires africaines, ayant un niveau de développement différent.
L’Afrique a sa (propre) vision. Ses valeurs et ses traditions. Cet état d’esprit, repensé à Saint-Louis, peut reculer l’exclusion sociale.
Par Moustapha MAÏGA
Saint-Louis. Nous ne sommes ni aux USA ni en France, mais bel et bien en Afrique. Dans cette cité cosmopolite, chargée d’histoires, qui laisse apparaître à la fois ses ambitions et sa résilience - face aux menaces environnementales (de toute part).
Bien qu’étant à l’intérieur du Sénégal, Saint-Louis n’a rien à envier à Dakar – la capitale. Du moins, au niveau structurel et éducationnel. Tout plaide en faveur de cette presqu’île classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO. On ne le dira jamais assez : l’Afrique est un continent riche. Une opportunité pour son milliard d’habitants. À l’évidence, c’est le prochain « centre » du monde.
Par ailleurs, cette ville secondaire incarne aussi bien la dynamique d’action que la vision de l’initiative. Pour mieux appréhender les défis et les enjeux, les participants du Forum de Saint-Louis s’accordent sur la nécessité de changer la façon de voir - et d’opérer. Avec une démarche inclusive - de toutes les composantes de la société.
DES RESSOURCES. Le Forum de Saint-Louis est une plateforme du donner et du recevoir. Une sorte d’arche d’Amadou DIAW à travers laquelle se sont tutoyés dans les rues de Ndar (Saint-Louis, en Wolof), des hommes et des femmes de toutes les générations, de tous les continents, de toutes les races, de toutes les cultures, de toutes les expériences et de toutes les catégories sociales.
Ces intellectuels, artistes, écrivains, poètes, designers, entrepreneurs, hommes d’État, sportifs, sociologues et blogueurs sont venus (à cœur joie) apporter leur contribution à l’initiative (louable) d’Amadou DIAW – Président du Forum.
Le Forum de Saint-Louis traduit la vitalité et la dynamique d’un continent (autrefois récepteur) qui se veut désormais émetteur et qu’il faut apprendre à écouter. Un excellent laboratoire pour penser l’avenir et le devenir. De quoi inspirer les dirigeants des villes secondaires (africaines).
DES VILLES SECONDAIRES. Il n’y a de ville créatrice que si les stratégies intègrent - en priorité - l’éducation des populations. Viennent ensuite les aspirations de ces Africains lambda, vivant dans les villes secondaires. En la matière, le Forum de Saint-Louis est le rendez-vous des optimistes.
Au-delà d’engager une réflexion collective (et inclusive), le Forum fait place à l’action. Un amplificateur des œuvres culturelles et des idées innovatrices. C’est ce qu’Amadou DIAW appelle la pédagogie du vivre ensemble.
Chaque ville africaine, en s’inspirant de l’autre (voisine ou non) mesure ainsi le chemin qui la sépare de la modernité. Ce faisant, elle s’ouvre au label d’excellence. Sans attendre de recevoir (ou de donner) de leçons, chaque ville avance, en intégrant ses proches réalités. Avec la certitude (désormais) d’être d’agir en synergie.
DES RÉSOLUTIONS. Se donner la main, pour sentir et partager ce qui pourrait rendre forte l’Afrique. Le Forum de Saint-Louis a investi dans le fondamental, pour faire bouger les lignes.
Là-bas, sur les bords du fleuve Sénégal, des engagements forts ont été pris. Non pas pour prédire l’avenir, mais pour s’y préparer. Le suivi des résolutions permettrait d’avoir une harmonie des différentes villes secondaires africaines, ayant un niveau de développement différent.
L’Afrique a sa (propre) vision. Ses valeurs et ses traditions. Cet état d’esprit, repensé à Saint-Louis, peut reculer l’exclusion sociale.