A propos des licenciements et changements à la Banque, le président de la BAD a été très clair. «
Les actionnaires nous ont demandé de mener des réformes. Et c’est exactement ce que nous faisons. Ils nous ont demandé d’optimiser les ressources, et c’est ce que nous faisons.
Ils nous ont demandé de changer la culture à la Banque, pour passer d’une culture de ‘’ droits acquis’’ à une culture de la performance. Et c’est exactement ce que nous faisons. Aucune organisation ne peut exceller dans la performance sans mettre l’accent sur la responsabilité en matière de résultats », a-t-il expliqué. Selon lui, il s’agit de faire de la Banque, une organisation axée sur les résultats ; une organisation qui accélère le développement de l’Afrique, qui fixe les normes de performance les plus hautes, qui réalise plus ; une organisation leader. « La vieille culture des droits acquis est ébranlée et, comme vous pouvez l’imaginer, nous rencontrons de la résistance.
Le changement s’accompagne toujours de bruit, de rumeurs ou même de procès d’intention. Mais attention, ne confondons pas rumeurs et faits. (…) Nous devons renforcer l’alignement, la performance et la responsabilité axés sur les résultats. C’est ce qui se passe à la Banque. Rien de plus. Rien de moins.
La Banque africaine de développement sera mieux outillée pour remplir sa mission et accélérer l’obtention de résultats.
La Banque n’est pas une maison de retraite », a-t-il tranché. A l’en croire, la BAD est en train de changer sa façon de travailler. Faisant remarquer que tous les 3 ans il y a des renouvellements.
« Les réformes se font avec un visage humain. Et nous avons gardé 95% du personnel malgré les réformes. Il n’y a pas 50% de licenciements. Ce sont des contrats. Il y a des personnes qui sont affectés à des postes et d’autres qui s’en vont.
Tout ce que nous faisons c’est pour booster la performance de la Banque », a-t-il insisté.
JEA
Les actionnaires nous ont demandé de mener des réformes. Et c’est exactement ce que nous faisons. Ils nous ont demandé d’optimiser les ressources, et c’est ce que nous faisons.
Ils nous ont demandé de changer la culture à la Banque, pour passer d’une culture de ‘’ droits acquis’’ à une culture de la performance. Et c’est exactement ce que nous faisons. Aucune organisation ne peut exceller dans la performance sans mettre l’accent sur la responsabilité en matière de résultats », a-t-il expliqué. Selon lui, il s’agit de faire de la Banque, une organisation axée sur les résultats ; une organisation qui accélère le développement de l’Afrique, qui fixe les normes de performance les plus hautes, qui réalise plus ; une organisation leader. « La vieille culture des droits acquis est ébranlée et, comme vous pouvez l’imaginer, nous rencontrons de la résistance.
Le changement s’accompagne toujours de bruit, de rumeurs ou même de procès d’intention. Mais attention, ne confondons pas rumeurs et faits. (…) Nous devons renforcer l’alignement, la performance et la responsabilité axés sur les résultats. C’est ce qui se passe à la Banque. Rien de plus. Rien de moins.
La Banque africaine de développement sera mieux outillée pour remplir sa mission et accélérer l’obtention de résultats.
La Banque n’est pas une maison de retraite », a-t-il tranché. A l’en croire, la BAD est en train de changer sa façon de travailler. Faisant remarquer que tous les 3 ans il y a des renouvellements.
« Les réformes se font avec un visage humain. Et nous avons gardé 95% du personnel malgré les réformes. Il n’y a pas 50% de licenciements. Ce sont des contrats. Il y a des personnes qui sont affectés à des postes et d’autres qui s’en vont.
Tout ce que nous faisons c’est pour booster la performance de la Banque », a-t-il insisté.
JEA