Abidjan – Devant la résurgence des épidémies avec pour corollaire des drames humains et sociétaux, des responsables de l'Administration ivoirienne souhaitent voir le Centre des opérations d’urgence de santé publique (COUSP) être fonctionnel pour gérer de façon optimale les risques de santé.
Cette mise en œuvre effective d’un système de gestion des incidents en matière d’urgences de santé publique s’avère prioritaire devant les incidents des inondations, des éboulements, des glissements de terrain, des maladies épidémiologies, estiment ces directeurs généraux, centraux et chefs de service.
Lors de la cérémonie de clôture, jeudi, d'un atelier de formation de ces hauts cadres de l'Administration sur la gestion des urgences de santé organisée au centre Saphir à Angré, des recommandations ont été faites sur le renforcement des effectifs de ce centre, la mise en place d’un budget conséquent et la mise en œuvre d’un plan de riposte et de préparation, ainsi que de simulations des menaces sur table et sur terrain.
« Il nous revient de systématiser l’ensemble de nos actions en faveur de la lutte contre les menaces de santé publique » , a soutenu Dr Ablé Ekissi Ambroise, le directeur de cabinet qui intervenait au nom de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffie.
Pour le directeur de cabinet, le COUSP doit être la boussole qui doit orienter, à travers chacune des sphères, la mise en œuvre d’un cadre de réponse aux événements de santé publique.
Inauguré le 15 février 2016, le COUSP a été créé pour servir de point de coordination unique pour la gestion des activités de préparation et de riposte aux urgences de santé publique.
La gestion efficiente de la crise sanitaire liée à la maladie à virus Ebola, en 2014, a été saluée, au nom du directeur pays pour la sécurité sanitaire mondiale du CDC, N’Diaye Serigne, par Dr Diarassouba, en présence du responsable des unités d’intervention extérieure du Centre de prévention et de contrôle des maladies (CDC)-Atlanta, Chuck Menchion.
(AIP)
nmfa/cmas
Cette mise en œuvre effective d’un système de gestion des incidents en matière d’urgences de santé publique s’avère prioritaire devant les incidents des inondations, des éboulements, des glissements de terrain, des maladies épidémiologies, estiment ces directeurs généraux, centraux et chefs de service.
Lors de la cérémonie de clôture, jeudi, d'un atelier de formation de ces hauts cadres de l'Administration sur la gestion des urgences de santé organisée au centre Saphir à Angré, des recommandations ont été faites sur le renforcement des effectifs de ce centre, la mise en place d’un budget conséquent et la mise en œuvre d’un plan de riposte et de préparation, ainsi que de simulations des menaces sur table et sur terrain.
« Il nous revient de systématiser l’ensemble de nos actions en faveur de la lutte contre les menaces de santé publique » , a soutenu Dr Ablé Ekissi Ambroise, le directeur de cabinet qui intervenait au nom de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffie.
Pour le directeur de cabinet, le COUSP doit être la boussole qui doit orienter, à travers chacune des sphères, la mise en œuvre d’un cadre de réponse aux événements de santé publique.
Inauguré le 15 février 2016, le COUSP a été créé pour servir de point de coordination unique pour la gestion des activités de préparation et de riposte aux urgences de santé publique.
La gestion efficiente de la crise sanitaire liée à la maladie à virus Ebola, en 2014, a été saluée, au nom du directeur pays pour la sécurité sanitaire mondiale du CDC, N’Diaye Serigne, par Dr Diarassouba, en présence du responsable des unités d’intervention extérieure du Centre de prévention et de contrôle des maladies (CDC)-Atlanta, Chuck Menchion.
(AIP)
nmfa/cmas