L’Organisation interafricaine du café (OIAC) a dernièrement annoncé la mise sur pied d’un fonds dédié à la relance de la production caféière sur le Continent. Appelé «Facilité du café africain» et doté d’une enveloppe de 150 millions de dollars (environ 75 milliards de Fcfa), le fonds sera appuyé par la Banque africaine de développement.
Selon le secrétaire général de l’OIAC, Fréderic Kawuma, « ledit fonds devrait agir comme un catalyseur, une dynamique pour la relance de la filière du café africain et entamera le processus de relance avec la formation des producteurs et des groupements à vocation coopérative ».
Pour l’OIAC, la production africaine caféière représente un peu plus de 12% de la production mondiale, soit bien loin des quelque 25% qu’elle cumulait au début des années 1990. Selon les données de l’Organisation internationale du café (ICO), la production africaine de café décline d’année en année, laissant le terrain à l’Asie et à l’Amérique latine.
Les besoins en aides des pays producteurs du café en Afrique s’élèvent, d’après l’OIAC, à 2,5 milliards de dollars. «L’OIAC a besoin de 2,5 milliards de dollars pour rentabiliser les Etats membres», a déclaré Fréderic Kawuma.
Pour l’instant, «chaque Etat membre doit ouvrir les lignes de crédit avec les banques pour régler les problèmes spécifiques au-delà de ce fonds d’appui», a fait comprendre Mr Kawuma
Il est à noter que ces nouvelles ambitions de l’OIAC seront conduites par le Gabon, porté à la tête de l’organisation pour l’année caféière 2017-2018 et succédant à la Côte d’Ivoire.
Selon le secrétaire général de l’OIAC, Fréderic Kawuma, « ledit fonds devrait agir comme un catalyseur, une dynamique pour la relance de la filière du café africain et entamera le processus de relance avec la formation des producteurs et des groupements à vocation coopérative ».
Pour l’OIAC, la production africaine caféière représente un peu plus de 12% de la production mondiale, soit bien loin des quelque 25% qu’elle cumulait au début des années 1990. Selon les données de l’Organisation internationale du café (ICO), la production africaine de café décline d’année en année, laissant le terrain à l’Asie et à l’Amérique latine.
Les besoins en aides des pays producteurs du café en Afrique s’élèvent, d’après l’OIAC, à 2,5 milliards de dollars. «L’OIAC a besoin de 2,5 milliards de dollars pour rentabiliser les Etats membres», a déclaré Fréderic Kawuma.
Pour l’instant, «chaque Etat membre doit ouvrir les lignes de crédit avec les banques pour régler les problèmes spécifiques au-delà de ce fonds d’appui», a fait comprendre Mr Kawuma
Il est à noter que ces nouvelles ambitions de l’OIAC seront conduites par le Gabon, porté à la tête de l’organisation pour l’année caféière 2017-2018 et succédant à la Côte d’Ivoire.