Abidjan – Le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, a appelé à booster la suppression des barrières artificielles, en vue de l’émergence véritable des pays africains, lors d’une rencontre d’échanges initiée vendredi, par la section locale des Global shapers africains, à la salle de conférence du ministère au Plateau.
Le ministre Amon-Tanoh, répondant aux questions du modérateur Jacques Kanga, membre du club d’Abidjan et de l’assistance, a indiqué que ce « processus irréversible, qui mettra certes du temps », facilite entre autres le libre-échange, offrant aux jeunes la possibilité de s’investir dans les affaires.
Pour cette fin, M. Amon-Tanoh a préconisé « une diplomatie pragmatique » pouvant aplanir les pesanteurs (culturelles), amener les institutionnels à entourer les africains des mêmes droits que les occidentaux, en matière d’investissement, instituer une monnaie unique dans l’espace CEDEAO susceptible de s’étendre au reste du continent.
Le succès de cette politique, qui rime avec le développement d’un secteur industriel fort destiné à la transformation des matières premières, aidera aussi à l’insertion professionnelle de bon nombre de jeunes, une occasion pour les détourner de la migration irrégulière, a soutenu M. Amon-Tanoh.
La présidente de la section locale de l’association panafricaine, Liliane Boa, a fait savoir que cette initiative dénote de la volonté du groupe de démontrer que les jeunes sont aussi soucieux du développement du continent, au terme d’un exposé retraçant les contraintes et enjeux d’une Afrique sans frontière.
Le hub d’Abidjan a été créé en 2012 et fort de 20 membres. A l’image des autres shapers community installés à travers l’Afrique, il œuvre en faveur de l’intégration économique et culturelle des Etats africains. Ces associations partagent la vision du Forum économique mondial, créé en 1971, à Davos, en Suisse.
(AIP)
r/fmo
Le ministre Amon-Tanoh, répondant aux questions du modérateur Jacques Kanga, membre du club d’Abidjan et de l’assistance, a indiqué que ce « processus irréversible, qui mettra certes du temps », facilite entre autres le libre-échange, offrant aux jeunes la possibilité de s’investir dans les affaires.
Pour cette fin, M. Amon-Tanoh a préconisé « une diplomatie pragmatique » pouvant aplanir les pesanteurs (culturelles), amener les institutionnels à entourer les africains des mêmes droits que les occidentaux, en matière d’investissement, instituer une monnaie unique dans l’espace CEDEAO susceptible de s’étendre au reste du continent.
Le succès de cette politique, qui rime avec le développement d’un secteur industriel fort destiné à la transformation des matières premières, aidera aussi à l’insertion professionnelle de bon nombre de jeunes, une occasion pour les détourner de la migration irrégulière, a soutenu M. Amon-Tanoh.
La présidente de la section locale de l’association panafricaine, Liliane Boa, a fait savoir que cette initiative dénote de la volonté du groupe de démontrer que les jeunes sont aussi soucieux du développement du continent, au terme d’un exposé retraçant les contraintes et enjeux d’une Afrique sans frontière.
Le hub d’Abidjan a été créé en 2012 et fort de 20 membres. A l’image des autres shapers community installés à travers l’Afrique, il œuvre en faveur de l’intégration économique et culturelle des Etats africains. Ces associations partagent la vision du Forum économique mondial, créé en 1971, à Davos, en Suisse.
(AIP)
r/fmo