"Les Partis de l’Opposition dans leur grande majorité ont dénoncé le déséquilibre, la partialité et le caractère non indépendant de la commission" peut-on lire dans le courrier daté du 6 février, adressé au Président de la République et signé par une une dizaine de partis d’opposition et de la société civile.
Le courrier revient sur le récent Arrêté de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, du 18 novembre 2016. Selon les signataires de cette missive, l’Etat ainsi que Partis Politiques de Côte d’Ivoire peuvent s’appuyer sur cet arrêté pour mettre fin au désaccord relatif à la reforme de la CEI "qui constitue, depuis lors, une épée de Damoclès sur le climat socio-politique de notre pays".
Les partis politiques, signataires dudit document, demande au gouvernement, l’application et la mise en œuvre de l’Arrêté de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, du 18 novembre 2016. Mais aussi et surtout la modification de la CEI, avant les prochaines échéances électorales.
DA
Le courrier revient sur le récent Arrêté de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, du 18 novembre 2016. Selon les signataires de cette missive, l’Etat ainsi que Partis Politiques de Côte d’Ivoire peuvent s’appuyer sur cet arrêté pour mettre fin au désaccord relatif à la reforme de la CEI "qui constitue, depuis lors, une épée de Damoclès sur le climat socio-politique de notre pays".
Les partis politiques, signataires dudit document, demande au gouvernement, l’application et la mise en œuvre de l’Arrêté de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, du 18 novembre 2016. Mais aussi et surtout la modification de la CEI, avant les prochaines échéances électorales.
DA