Abidjan- Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité et le représentant résident de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), IImura Tsutomu, ont procédé jeudi, à Abidjan, à la signature de la convention phase 2 du projet de développement des ressources humaines pour le renforcement de l’administration locale dans les zones Centre et Nord de la Côte d’Ivoire (PCN-CI).
Le projet PCN-CI visint à renforcer les capacités de l’administration locale à fournir les services de base, dans les secteurs de l’hydraulique et de l’éducation, dans les zones Centre et Nord de la Côte d’Ivoire qui ont durement été affectées par la crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
« Cette rencontre me donne l’agréable devoir de saluer la coopération technique très fructueuse entre mon pays et le Japon car les résultats très bénéfiques ont permis d’intégrer dans cette phase 2 la région du Haut Sassandra afin d’affiner ce modèle et à le pérenniser par une utilisation des moyens budgétaires propres de la collectivité territoriale », a déclaré Sidiki Diakité.
Se félicitant de la réussite de la phase 1 du projet menée dans la région du Gbêkê, le ministre de l’Intérieur a mis en relief son optimisme quant à la conduite de cette seconde phase. « Je compte sur l’engagement de tous afin que, de notre sérieux dans l’appropriation de ce dispositif de développement, les autres collectivités puissent aller à votre école pour la pérennisation des acquis du projet PCN-CI », a-t-il lancé.
Le représentant résident de la JICA, IImura Tsutomu, a expliqué que le projet PCN-CI phase 2, dont le procès verbal vient d’être signé, vise à consolider les acquis et les expériences accumulés dans la Région du Gbéké, à travers la phase précédente.
« Lorsque j’ai observé le terrain de Gbéké, vers la fin de la phase 1 en 2016, j’ai été impressionné par la détermination du préfet et des agents de la région à accomplir leurs responsabilités. Les défis de la phase 2 est la pérennisation, autrement dit, à s’approprier ce changement positif dans la pratique de travail quotidien aux administrations préfectorales », a-t-il indiqué.
Il a réitéré l’engagement de sa structure à accompagner la Côte d’Ivoire dans son développement. « Le défi du projet est énorme (…), la JICA est prête à faire partir du long voyage avec nos amis du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité », a assuré IImura Tsutomu.
Le PCN-CI est né en 2013 dans le cadre d’un accord de coopération entre l’Etat de Côte d’Ivoire et le Japon au lendemain de la crise que notre pays a connue. Il a consisté à développer des modèles de système de fourniture des services de base dans les secteurs de l’éducation et de l’hydraulique avec la publication de guides et de manuels de procédure.
gak/fmo
Le projet PCN-CI visint à renforcer les capacités de l’administration locale à fournir les services de base, dans les secteurs de l’hydraulique et de l’éducation, dans les zones Centre et Nord de la Côte d’Ivoire qui ont durement été affectées par la crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
« Cette rencontre me donne l’agréable devoir de saluer la coopération technique très fructueuse entre mon pays et le Japon car les résultats très bénéfiques ont permis d’intégrer dans cette phase 2 la région du Haut Sassandra afin d’affiner ce modèle et à le pérenniser par une utilisation des moyens budgétaires propres de la collectivité territoriale », a déclaré Sidiki Diakité.
Se félicitant de la réussite de la phase 1 du projet menée dans la région du Gbêkê, le ministre de l’Intérieur a mis en relief son optimisme quant à la conduite de cette seconde phase. « Je compte sur l’engagement de tous afin que, de notre sérieux dans l’appropriation de ce dispositif de développement, les autres collectivités puissent aller à votre école pour la pérennisation des acquis du projet PCN-CI », a-t-il lancé.
Le représentant résident de la JICA, IImura Tsutomu, a expliqué que le projet PCN-CI phase 2, dont le procès verbal vient d’être signé, vise à consolider les acquis et les expériences accumulés dans la Région du Gbéké, à travers la phase précédente.
« Lorsque j’ai observé le terrain de Gbéké, vers la fin de la phase 1 en 2016, j’ai été impressionné par la détermination du préfet et des agents de la région à accomplir leurs responsabilités. Les défis de la phase 2 est la pérennisation, autrement dit, à s’approprier ce changement positif dans la pratique de travail quotidien aux administrations préfectorales », a-t-il indiqué.
Il a réitéré l’engagement de sa structure à accompagner la Côte d’Ivoire dans son développement. « Le défi du projet est énorme (…), la JICA est prête à faire partir du long voyage avec nos amis du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité », a assuré IImura Tsutomu.
Le PCN-CI est né en 2013 dans le cadre d’un accord de coopération entre l’Etat de Côte d’Ivoire et le Japon au lendemain de la crise que notre pays a connue. Il a consisté à développer des modèles de système de fourniture des services de base dans les secteurs de l’éducation et de l’hydraulique avec la publication de guides et de manuels de procédure.
gak/fmo