Yamoussoukro - Le ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Sansan Kambilé, a procédé vendredi, à Yamoussoukro, à la pose de la première pierre de l’Institut national de formation judiciaire (INFJ) en présence de l’ambassadeur Gilles Huderson.
Le projet de construction de l’INFJ s’inscrit dans le cadre du plan d’action de la politique sectorielle du ministère de la Justice et des Droits de l’homme, et vise à renforcer le fonctionnement du système judiciaire et à garantir l’accès des citoyens à la justice ainsi qu’à la promotion des droits de l’homme.
Réalisé sur une parcelle de neuf hectares, intégrée à la future cité judiciaire prévue sur une parcelle de 16 ha, le coût des travaux de construction est estimé à 11,125 milliards de FCFA et financé par la France dans le cadre du projet de désendettement et de développement (C2D) pour renforcer le fonctionnement du système judiciaire de la Côte d’Ivoire. Les travaux de construction débutent en mars pour une fin prévisionnelle annoncée pour septembre 2019.
La capacité prévisionnelle pour la formation initiale est de 500 étudiants, 150 pour l’école des greffiers, 100 pour l’école de la magistrature, 50 pour l’école de la protection judiciaire de la jeunesse et 200 pour l’école de l’administration pénitentiaire.
Quant à la formation continue, elle vise par an 2030 participants.
Le ministre de la Justice a indiqué que la construction de cet institut traduit, une fois de plus, l’engagement du gouvernement ivoirien (…) en une justice de qualité et l’amélioration de l’image de la justice ivoirienne.
"Il nous appartient en conséquence de conduire ce projet à terme dans le respect des cahiers de charges et des principes de bonne gouvernance", a déclaré le ministre de la Justice et des Droits de l’homme, soulignant que ce lieu est dédiée au savoir, à l’excellence dans l’application des lois et la protection des populations.
nam/kp
Le projet de construction de l’INFJ s’inscrit dans le cadre du plan d’action de la politique sectorielle du ministère de la Justice et des Droits de l’homme, et vise à renforcer le fonctionnement du système judiciaire et à garantir l’accès des citoyens à la justice ainsi qu’à la promotion des droits de l’homme.
Réalisé sur une parcelle de neuf hectares, intégrée à la future cité judiciaire prévue sur une parcelle de 16 ha, le coût des travaux de construction est estimé à 11,125 milliards de FCFA et financé par la France dans le cadre du projet de désendettement et de développement (C2D) pour renforcer le fonctionnement du système judiciaire de la Côte d’Ivoire. Les travaux de construction débutent en mars pour une fin prévisionnelle annoncée pour septembre 2019.
La capacité prévisionnelle pour la formation initiale est de 500 étudiants, 150 pour l’école des greffiers, 100 pour l’école de la magistrature, 50 pour l’école de la protection judiciaire de la jeunesse et 200 pour l’école de l’administration pénitentiaire.
Quant à la formation continue, elle vise par an 2030 participants.
Le ministre de la Justice a indiqué que la construction de cet institut traduit, une fois de plus, l’engagement du gouvernement ivoirien (…) en une justice de qualité et l’amélioration de l’image de la justice ivoirienne.
"Il nous appartient en conséquence de conduire ce projet à terme dans le respect des cahiers de charges et des principes de bonne gouvernance", a déclaré le ministre de la Justice et des Droits de l’homme, soulignant que ce lieu est dédiée au savoir, à l’excellence dans l’application des lois et la protection des populations.
nam/kp