Des partis de l’opposition ont donné de la voix contre la Cei depuis que les sénatoriales, les municipales et les régionales ont été annoncées pour 2018.
En soutien à leurs arguments, ils évoquent la crise postélectorale survenue pendant qu’il était à la tête de l’Institution, alors que la Cei a plusieurs fois expliqué que la crise postélectorale n’est pas due à sa gestion du processus électoral, mais plutôt au refus de l’ex-président Gbagbo de reconnaître le résultats des urnes. Ces partis qui semblent avoir essuyé un revers au niveau de la demande du départ de Youssouf Bakayoko de la tête de la Cei, se rabattent sur l’idée d’une réforme de l’institution, comme si les deux choses étaient différentes.
Qu’est-ce que ces partis politiques... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan
En soutien à leurs arguments, ils évoquent la crise postélectorale survenue pendant qu’il était à la tête de l’Institution, alors que la Cei a plusieurs fois expliqué que la crise postélectorale n’est pas due à sa gestion du processus électoral, mais plutôt au refus de l’ex-président Gbagbo de reconnaître le résultats des urnes. Ces partis qui semblent avoir essuyé un revers au niveau de la demande du départ de Youssouf Bakayoko de la tête de la Cei, se rabattent sur l’idée d’une réforme de l’institution, comme si les deux choses étaient différentes.
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