Abidjan - Une délégation de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) conduite par sa présidente, Namizata Sangaré, a rencontré des représentants des Organisations internationales non gouvernementales, membres du Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations Unies (ECOSOC) à Genève en Suisse, pour leur présenter les avancées en droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.
Cette rencontre s’est tenue mardi dans le cadre de la réunion annuelle de l’Alliance mondiale des institutions nationales des Droits de l’Homme (GANHRI).
S’agissant des interactions avec les mécanismes internationaux, la CNDHCI a relevé les efforts faits par la Côte d’Ivoire pour tenir ses engagements. A savoir les dépôts des rapports au Comité des Droits de l’Enfant (29 novembre 2017) au Comité contre la Torture (19 décembre 2017), la présentation du rapport au Comité d’Experts Africains pour les Droits et le Bien-être de l’Enfant, à la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (octobre 2016).
Namizata Sangaré a rassuré les Organisations internationales de la volonté de la Côte d’Ivoire et de la CNDHCI à œuvrer pour relever les défis visant à renforcer l’Etat de droit.
Elle a sollicité des organisations un appui en termes de plaidoyer, une collaboration et un accompagnement, le partage d’informations et de bonnes pratiques.
(AIP)
gak/akn/fmo
Cette rencontre s’est tenue mardi dans le cadre de la réunion annuelle de l’Alliance mondiale des institutions nationales des Droits de l’Homme (GANHRI).
S’agissant des interactions avec les mécanismes internationaux, la CNDHCI a relevé les efforts faits par la Côte d’Ivoire pour tenir ses engagements. A savoir les dépôts des rapports au Comité des Droits de l’Enfant (29 novembre 2017) au Comité contre la Torture (19 décembre 2017), la présentation du rapport au Comité d’Experts Africains pour les Droits et le Bien-être de l’Enfant, à la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (octobre 2016).
Namizata Sangaré a rassuré les Organisations internationales de la volonté de la Côte d’Ivoire et de la CNDHCI à œuvrer pour relever les défis visant à renforcer l’Etat de droit.
Elle a sollicité des organisations un appui en termes de plaidoyer, une collaboration et un accompagnement, le partage d’informations et de bonnes pratiques.
(AIP)
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