Abidjan - Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean Claude Kouassi, a annoncé vendredi, à Abidjan, la définition dans les jours à venir d’une feuille de route sur la transition de l’économie informelle vers l’économie informelle.
« Dans le cadre du processus de transition de l’économie informelle vers l’économie formelle, le Gouvernement ivoirien, avec l’appui de ses partenaires (notamment le BIT), entend définir une feuille de route et une stratégie nationale impliquant tous les acteurs concernés (Etat, Secteur Privé, Partenaires Techniques et Financiers, Organisations syndicales, société civile) », a-t-il déclaré.
Selon M. Kouassi, cette feuille de route et la stratégie nationale sont des outils qui devraient permettre aux parties prenantes d’atteindre une meilleure formalisation de l’économie ivoirienne et des emplois qui se créent dans la perspective de "contribuer au bien-être des populations et lutter efficacement contre la pauvreté".
Cette transition reste un "défi majeur pour les pays en voie de développement" comme la Côte d’Ivoire qui, dans une dynamique d’amélioration du cadre de vie des populations, a poursuivi le ministre, s’est résolue à accroître l’offre d’emplois et de promouvoir l’accès à un emploi productif, décent et durable pour les hommes et les femmes en âge de travailler y compris les personnes en situation de handicap.
Le ministre Jean Claude Kouassi a fait cette déclaration à l’ouverture de l’atelier de restitution de l’étude sur le fonctionnement de filières commerciales informelles et la promotion de l’emploi décent, au siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), dans la commune du Plateau.
Une enquête réalisée en 2016 a prouvé que le taux d’emploi informel est de 93% et que l’économie informelle est fortement influencée par le commerce, notamment les produits agricoles. Ce secteur, majoritairement dominé par les femmes, est confronté à des difficultés dont les conditions précaires de travail, les ruptures temporaires de production, la concurrence des produits importés et l’absence de système de protection sociale, a dénoncé M. KouassI.
Cet atelier a été organisé avec l’appui du Bureau international du travail (BIT) représentant à la cérémonie par son directeur-pays, Dramane Haïdara.
fmo
« Dans le cadre du processus de transition de l’économie informelle vers l’économie formelle, le Gouvernement ivoirien, avec l’appui de ses partenaires (notamment le BIT), entend définir une feuille de route et une stratégie nationale impliquant tous les acteurs concernés (Etat, Secteur Privé, Partenaires Techniques et Financiers, Organisations syndicales, société civile) », a-t-il déclaré.
Selon M. Kouassi, cette feuille de route et la stratégie nationale sont des outils qui devraient permettre aux parties prenantes d’atteindre une meilleure formalisation de l’économie ivoirienne et des emplois qui se créent dans la perspective de "contribuer au bien-être des populations et lutter efficacement contre la pauvreté".
Cette transition reste un "défi majeur pour les pays en voie de développement" comme la Côte d’Ivoire qui, dans une dynamique d’amélioration du cadre de vie des populations, a poursuivi le ministre, s’est résolue à accroître l’offre d’emplois et de promouvoir l’accès à un emploi productif, décent et durable pour les hommes et les femmes en âge de travailler y compris les personnes en situation de handicap.
Le ministre Jean Claude Kouassi a fait cette déclaration à l’ouverture de l’atelier de restitution de l’étude sur le fonctionnement de filières commerciales informelles et la promotion de l’emploi décent, au siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), dans la commune du Plateau.
Une enquête réalisée en 2016 a prouvé que le taux d’emploi informel est de 93% et que l’économie informelle est fortement influencée par le commerce, notamment les produits agricoles. Ce secteur, majoritairement dominé par les femmes, est confronté à des difficultés dont les conditions précaires de travail, les ruptures temporaires de production, la concurrence des produits importés et l’absence de système de protection sociale, a dénoncé M. KouassI.
Cet atelier a été organisé avec l’appui du Bureau international du travail (BIT) représentant à la cérémonie par son directeur-pays, Dramane Haïdara.
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