Abidjan - La Commission électorale indépendante (CEI) a présenté aux préfets, le mode opératoire des élections sénatoriales, au cours d’une séance de travail qui a eu lieu vendredi à l’hôtel de ville d’Abidjan.
Selon le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, le véritable défi qui est lancé à sa structure est de réussir à organiser ce scrutin, dans le respect des normes de fiabilité, de transparence et d’équité.
Il faut à nouveau réussir à organiser un scrutin paisible et incontestable, a rappelé Youssouf Bakayoko à l’entame de la réunion initiée par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.
"Que les verdicts proclamés soient conformes à la volonté du peuple exprimée dans les urnes et que tout cela se passe partout dans un environnement apaisé", a-t-il exprimé, sollicitant l’implication du corps préfectoral dans l’encadrement des populations pour des élections crédibles et apaisées partout sur le territoire national.
Selon le vice-président chargé des opérations électorales, Sourou Koné, la carte nationale d’identité ou la carte professionnelle sont les pièces autorisées à ce scrutin.
Sourou Koné a annoncé également que, contrairement aux autres scrutins, le marquage se fera également au stylo à l’encre indélébile.
Après des échanges fructueux, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, a invité les préfets à être disponibles et sensibles aux requêtes de la CEI.
bsb/kp
Selon le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, le véritable défi qui est lancé à sa structure est de réussir à organiser ce scrutin, dans le respect des normes de fiabilité, de transparence et d’équité.
Il faut à nouveau réussir à organiser un scrutin paisible et incontestable, a rappelé Youssouf Bakayoko à l’entame de la réunion initiée par le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.
"Que les verdicts proclamés soient conformes à la volonté du peuple exprimée dans les urnes et que tout cela se passe partout dans un environnement apaisé", a-t-il exprimé, sollicitant l’implication du corps préfectoral dans l’encadrement des populations pour des élections crédibles et apaisées partout sur le territoire national.
Selon le vice-président chargé des opérations électorales, Sourou Koné, la carte nationale d’identité ou la carte professionnelle sont les pièces autorisées à ce scrutin.
Sourou Koné a annoncé également que, contrairement aux autres scrutins, le marquage se fera également au stylo à l’encre indélébile.
Après des échanges fructueux, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, a invité les préfets à être disponibles et sensibles aux requêtes de la CEI.
bsb/kp