C’est un projet de 3 ans qui a connu un aboutissement heureux, samedi, dans la cour de la maternité d’Ahougnansou de Bouaké à la grande joie des usagers riverains sortis en grand nombre. Les ouvrages des centres de santé de Belleville, Ahougnansou, Koko, PMI, Sokoura, Kottiakoffikro, Nimbo, Zone industrielle, Dar es Salam réhabilités dans le cadre de la politique communale d’amélioration de l’offre de services dans les centres de santé primaires, ont été remis à la population de Bouaké. C’était en présence de Koné Vakaba, secrétaire général de la préfecture de Bouaké, du maire Djibo Youssouf Nicolas, Soro Doferegouo Conseiller technique du Centre international de développement et de recherche (Cidr) et de plusieurs membres de la direction régionale de la santé.
Cofinancés par la mairie de Bouaké et l’Union Européenne à hauteur d’un milliard de frs cfa, ces travaux exécutés par le Cidr, ont permis la réhabilitation du plateau technique desdits centres, l’acquisition d’une ambulance, l’installation des deux incinérateurs ( dans les centres de santé d’Ahougnansou et de Nimbo), la construction des clôtures des maternités de Sokoura et d’Ahougnansou, l’éclairage public dans la cour de la maternité d’Ahougnansou. Pour le maire de la commune, Djibo Nicolas, la municipalité de Bouaké se sent fière après avoir embrassé un tel projet. D’où son appel à sa poursuite. « C’est un projet dont nous sommes fiers aujourd’hui. Les investissements ont permis de réhabiliter l’existant et de créer les conditions favorables à l’exercice des professions de santé à travers notamment l’acquisition de nouveaux outils de travail et un cadre propice au travail. Ainsi, au regard des ouvrages réalisés, considérant les impacts positifs au sein des administrés, j’avoue que s’il n’avait pas existé, il y aurait fallu le créer. C’est pourquoi au nom des fils et filles de Bouaké, du haut de cette tribune, je voudrais faire part de notre requête visant la reconduction du projet qui est à son terme aujourd’hui. Il a fait ses preuves à Bouaké, nous appelons de tous nos vœux à sa poursuite pour l’intérêt supérieur de nos frères et sœurs », a lancé le Premier magistrat de la seconde ville du pays.
Quant au conseiller technique du Cidr, il a fourni les statistiques montrant les impacts du projet au sein de la population. « Dans le district sanitaire de Bouaké nord est, le taux de fréquentation est passé de 25% en 2014 à 44% en novembre 2017, et le taux d’utilisation passé de 23% à 42% en 2017. A Bouaké sud, le taux de fréquentation est passé de 13% en 2014 à 25% en 2017. Le taux d’utilisation est passé de 13% à 34% en novembre 2017. A Bouaké nord ouest, le taux de fréquentation est 29% en 2014 à 33% en novembre 2017. Quant au taux d’utilisation sur la même période, il est passé de 26% à 35% », a informé M Soro. Pour cequi est du personnel de santé, des formations et séances de recyclage ont été opérées. « 450 agents formés dont 50 médecins, 55 infirmiers, 162 sages-femmes, 95 aides-soignants, 95 agents d’hygiène », a-t-il noté.
MK (Une Correspondance particulière à Bouaké).
Cofinancés par la mairie de Bouaké et l’Union Européenne à hauteur d’un milliard de frs cfa, ces travaux exécutés par le Cidr, ont permis la réhabilitation du plateau technique desdits centres, l’acquisition d’une ambulance, l’installation des deux incinérateurs ( dans les centres de santé d’Ahougnansou et de Nimbo), la construction des clôtures des maternités de Sokoura et d’Ahougnansou, l’éclairage public dans la cour de la maternité d’Ahougnansou. Pour le maire de la commune, Djibo Nicolas, la municipalité de Bouaké se sent fière après avoir embrassé un tel projet. D’où son appel à sa poursuite. « C’est un projet dont nous sommes fiers aujourd’hui. Les investissements ont permis de réhabiliter l’existant et de créer les conditions favorables à l’exercice des professions de santé à travers notamment l’acquisition de nouveaux outils de travail et un cadre propice au travail. Ainsi, au regard des ouvrages réalisés, considérant les impacts positifs au sein des administrés, j’avoue que s’il n’avait pas existé, il y aurait fallu le créer. C’est pourquoi au nom des fils et filles de Bouaké, du haut de cette tribune, je voudrais faire part de notre requête visant la reconduction du projet qui est à son terme aujourd’hui. Il a fait ses preuves à Bouaké, nous appelons de tous nos vœux à sa poursuite pour l’intérêt supérieur de nos frères et sœurs », a lancé le Premier magistrat de la seconde ville du pays.
Quant au conseiller technique du Cidr, il a fourni les statistiques montrant les impacts du projet au sein de la population. « Dans le district sanitaire de Bouaké nord est, le taux de fréquentation est passé de 25% en 2014 à 44% en novembre 2017, et le taux d’utilisation passé de 23% à 42% en 2017. A Bouaké sud, le taux de fréquentation est passé de 13% en 2014 à 25% en 2017. Le taux d’utilisation est passé de 13% à 34% en novembre 2017. A Bouaké nord ouest, le taux de fréquentation est 29% en 2014 à 33% en novembre 2017. Quant au taux d’utilisation sur la même période, il est passé de 26% à 35% », a informé M Soro. Pour cequi est du personnel de santé, des formations et séances de recyclage ont été opérées. « 450 agents formés dont 50 médecins, 55 infirmiers, 162 sages-femmes, 95 aides-soignants, 95 agents d’hygiène », a-t-il noté.
MK (Une Correspondance particulière à Bouaké).