Abidjan – La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bakayoko-Ly Ramata, a lancé, mardi, le processus d’élaboration de la Politique nationale de l’Enseignement supérieur (PNES), en insistant sur le caractère participatif et inclusif du processus pour atteindre des niveaux de formation « plus élevés et performants ».
Le processus d’élaboration fait suite à la consultation pendant trois mois, des acteurs de la société civile, du secteur public, des collectivités territoriales et religieuses, du secteur privé, du corps préfectoral et du secteur éducation-formation sur tous les aspects du système d’enseignement supérieur, par un comité de pilotage présidé par la directrice générale de l’Enseignement supérieur et de l’Insertion professionnelle, Pr Agnero-Eboï Georgette.
A l’ouverture de l’atelier, la ministre Bakayoko-Ly Ramata, a fait comprendre que le rôle d’un système d’enseignement supérieur est « d’offrir aux générations actuelles et futures des opportunités d’accéder à des niveaux de formation de plus en plus élevés et performants pour les préparer à faire face aux enjeux d’un monde en perpétuelle mutation, permettant ainsi à notre pays de relever les défis de la compétition économique mondiale ».
Pour elle, l’élaboration d’une Politique nationale de l’enseignement supérieur (PNES) permet aux jeunes de disposer de moyens nécessaires pour construire leur avenir et leur projet de vie, mais également d’offrir au monde socio-professionnel des cadres qualifiés.
Elle a conclu en exhortant les participants à faire un diagnostic sans complaisance afin de mettre en évidence les faiblesses, les échecs et surtout à faire des apports constructifs sur les pistes de solutions qui permettront de relever les défis d’une formation de qualité, d’un système d’enseignement performant pour une insertion professionnelle effective des diplômés.
Les consultations du secteur éducation réunissent depuis mardi une centaine d’acteurs venus de ministères techniques, des institutions d’enseignement supérieur et de centres régionaux d’œuvres universitaires. Elles se tiennent au Pôle scientifique et d’innovation (PSI) de l’UFHB à Bingerville et prennent fin jeudi.
Pr Agnero-Eboï a salué l’engouement, la passion, et le très grand intérêt des participants aux différentes consultations, faisant remarquer que toutes ces activités font partie de la phase d’analyse diagnostique qui est une étape préliminaire essentielle à la formulation proprement dite de la politique.
aaa/kam
Le processus d’élaboration fait suite à la consultation pendant trois mois, des acteurs de la société civile, du secteur public, des collectivités territoriales et religieuses, du secteur privé, du corps préfectoral et du secteur éducation-formation sur tous les aspects du système d’enseignement supérieur, par un comité de pilotage présidé par la directrice générale de l’Enseignement supérieur et de l’Insertion professionnelle, Pr Agnero-Eboï Georgette.
A l’ouverture de l’atelier, la ministre Bakayoko-Ly Ramata, a fait comprendre que le rôle d’un système d’enseignement supérieur est « d’offrir aux générations actuelles et futures des opportunités d’accéder à des niveaux de formation de plus en plus élevés et performants pour les préparer à faire face aux enjeux d’un monde en perpétuelle mutation, permettant ainsi à notre pays de relever les défis de la compétition économique mondiale ».
Pour elle, l’élaboration d’une Politique nationale de l’enseignement supérieur (PNES) permet aux jeunes de disposer de moyens nécessaires pour construire leur avenir et leur projet de vie, mais également d’offrir au monde socio-professionnel des cadres qualifiés.
Elle a conclu en exhortant les participants à faire un diagnostic sans complaisance afin de mettre en évidence les faiblesses, les échecs et surtout à faire des apports constructifs sur les pistes de solutions qui permettront de relever les défis d’une formation de qualité, d’un système d’enseignement performant pour une insertion professionnelle effective des diplômés.
Les consultations du secteur éducation réunissent depuis mardi une centaine d’acteurs venus de ministères techniques, des institutions d’enseignement supérieur et de centres régionaux d’œuvres universitaires. Elles se tiennent au Pôle scientifique et d’innovation (PSI) de l’UFHB à Bingerville et prennent fin jeudi.
Pr Agnero-Eboï a salué l’engouement, la passion, et le très grand intérêt des participants aux différentes consultations, faisant remarquer que toutes ces activités font partie de la phase d’analyse diagnostique qui est une étape préliminaire essentielle à la formulation proprement dite de la politique.
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