Paris (France) - La réussite de l’économie du chocolat français repose sur la qualité, la structuration et la sécurisation de la filière en lien avec les producteurs pour faire face aux défis, estime un chocolatier français, Mme Florence Pradier.
Communicant jeudi à l’occasion du Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2018) au nom du syndicat français du chocolat et de la fédération des confiseurs sur "Les enjeux de la durabilité du cacao en Côte d’Ivoire", elle a souligné que ces défis concernent, entre autres, le dérèglement climatique, la maladie du cacaoyer (swollen shoot), le travail des enfants.
La durabilité est un impératif pour la profession du chocolat, a fait savoir Mme Pradier. Pour elle, il faut inscrire la production du cacao dans la lutte contre le changement climatique, œuvrer à une meilleure rémunération des planteurs et à l’élévation de leurs conditions de vie.
La France étant, dit-elle, un pays du cacao et du chocolat avec 91 entreprises et plus de 2000 artisans chocolatiers, Mme Pradier assure que l’industrie du chocolat français s’engagent à accompagner les planteurs et les coopératives dans leur structuration et leur développement, à aider les producteurs pour stabiliser les prix pour les planteurs et à soutenir la recherche, à conforter la responsabilité des autorités étatiques des pays consommateurs de chocolat.
Le syndicat des chocolatiers veut aussi travailler avec les ONG et les consommateurs pour renforcer le contrôle des actions, faire de la pédagogie vis-à-vis du consommateur pour atteindre la durabilité du cacao.
Cette communication s’est tenue dans le cadre de la journée dédiée à la Côte d’Ivoire, sous la présidence du ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly.
cmas
Communicant jeudi à l’occasion du Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2018) au nom du syndicat français du chocolat et de la fédération des confiseurs sur "Les enjeux de la durabilité du cacao en Côte d’Ivoire", elle a souligné que ces défis concernent, entre autres, le dérèglement climatique, la maladie du cacaoyer (swollen shoot), le travail des enfants.
La durabilité est un impératif pour la profession du chocolat, a fait savoir Mme Pradier. Pour elle, il faut inscrire la production du cacao dans la lutte contre le changement climatique, œuvrer à une meilleure rémunération des planteurs et à l’élévation de leurs conditions de vie.
La France étant, dit-elle, un pays du cacao et du chocolat avec 91 entreprises et plus de 2000 artisans chocolatiers, Mme Pradier assure que l’industrie du chocolat français s’engagent à accompagner les planteurs et les coopératives dans leur structuration et leur développement, à aider les producteurs pour stabiliser les prix pour les planteurs et à soutenir la recherche, à conforter la responsabilité des autorités étatiques des pays consommateurs de chocolat.
Le syndicat des chocolatiers veut aussi travailler avec les ONG et les consommateurs pour renforcer le contrôle des actions, faire de la pédagogie vis-à-vis du consommateur pour atteindre la durabilité du cacao.
Cette communication s’est tenue dans le cadre de la journée dédiée à la Côte d’Ivoire, sous la présidence du ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly.
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