La Première Dame ivoirienne, Dominique Ouattara s’est vue décernée ce lundi 5 mars à Abidjan le Prix d’honneur AllAfrica Leadership Féminin ‘’pour magnifier son engagement à travers les nombreuses actions sociales qu’elle initie dans le cadre de la Fondation Children Of Africa, pour apporter sa pierre dans l’édification de son pays’’.
Avec la Première Dame, la Ministre Euphrasie Yao, et par ailleurs présidente du Compendium des Compétences Féminines (COCOFCI) et la chef d’entreprise Touré Massogbê se sont vues attribuées successivement le Prix Administration Publique et du Développement AllAfrica Leadership Féminin et celui d’Agrobusiness AllAFrica Leadership Féminin. En remportant 3 prix sur 5 la Côte d’Ivoire se positionne en avant-gardiste de la lutte pour l’autonomisation de la femme, notamment rurale en Afrique subsaharienne francophone.
La Ministre Euphrasie Yao s’est félicitée de l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte pour l’autonomisation de la femme, dont les résultats sont perceptibles. Elle en veut pour preuves le Programme déployé à Diatokro dans l’est de la Côte d’Ivoire, qui fait aujourd’hui office de modèle au niveau mondial. Ce sont déjà 12 délégations de pays étrangers qui ont visité le Programme, a fait savoir la ministre Euphrasie Yao. Pour la lauréate du prix Administration Publique et du Développement AllAfrica Leadership Féminin, s’il est vrai que des efforts restent à faire il n’en demeure pas moins que la Côte d’Ivoire aura fait du chemin en matière d’autonomisation des femmes de manière générale et en particulier au niveau de l’autonomisation de la femme en milieu rural.
‘’Beaucoup d’efforts ont été faits, mais on veut des statistiques meilleurs, d’où l’importance de ce prix que nous avons obtenu aujourd’hui. Quand tu rêves seule, Ça reste un rêve, mais quand vous rêvez ensemble ça devient une vision. La Banque mondiale dans son rapport a dit : Et si l’émergence était une femme ? Moi j’appuierai pour dire, Et si l’émergence était une femme rurale ?’’, s’est exprimée la Ministre Euphrasie Yao. Pour finir, Euphrasie Yao a appelé à une synergie d’actions de toutes les compétences en vue de faire de l’autonomisation des femmes en milieu rurale, une réalité d’ici 2030.
Le prix AllAfrica Leadership Féminin a été institué afin d’honorer les femmes africaines leaders dans leur domaine, mais également de susciter le désir de réalisation chez les filles et les femmes du continent. Dans la dynamique d’innovation, l’édition 2018 prévoit également, une séance de discussion intitulée ‘‘Elles Inspirent’’, entre des Femmes Leaders dans l’Entrepreneuriat, le Développement Economique, les Compétences diverses et des filles âgées de 16 à 20 ans en vue de les orienter et de les inspirer dans leurs projets d’avenir.
Pour l’édition 2018, les organisateurs vont lancer l’initiative AllAfrica Women Agenda (AWA) pour inscrire la réflexion autour de « L’Autonomisation Economique des Femmes et l’Accès des Filles à l’Ecole dans le Monde Rural » dans l’agenda des décideurs.
Cette Journée de réflexion permettra de montrer comment l’Etat, les hommes d’affaires et la société civile peuvent travailler de concert pour atteindre des résultats concrets sur l’éducation des filles en particulier leur scolarisation en vue de leur autonomisation, en s’inspirant des exemples tirés du monde rural.
Elisée B.
Avec la Première Dame, la Ministre Euphrasie Yao, et par ailleurs présidente du Compendium des Compétences Féminines (COCOFCI) et la chef d’entreprise Touré Massogbê se sont vues attribuées successivement le Prix Administration Publique et du Développement AllAfrica Leadership Féminin et celui d’Agrobusiness AllAFrica Leadership Féminin. En remportant 3 prix sur 5 la Côte d’Ivoire se positionne en avant-gardiste de la lutte pour l’autonomisation de la femme, notamment rurale en Afrique subsaharienne francophone.
La Ministre Euphrasie Yao s’est félicitée de l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte pour l’autonomisation de la femme, dont les résultats sont perceptibles. Elle en veut pour preuves le Programme déployé à Diatokro dans l’est de la Côte d’Ivoire, qui fait aujourd’hui office de modèle au niveau mondial. Ce sont déjà 12 délégations de pays étrangers qui ont visité le Programme, a fait savoir la ministre Euphrasie Yao. Pour la lauréate du prix Administration Publique et du Développement AllAfrica Leadership Féminin, s’il est vrai que des efforts restent à faire il n’en demeure pas moins que la Côte d’Ivoire aura fait du chemin en matière d’autonomisation des femmes de manière générale et en particulier au niveau de l’autonomisation de la femme en milieu rural.
‘’Beaucoup d’efforts ont été faits, mais on veut des statistiques meilleurs, d’où l’importance de ce prix que nous avons obtenu aujourd’hui. Quand tu rêves seule, Ça reste un rêve, mais quand vous rêvez ensemble ça devient une vision. La Banque mondiale dans son rapport a dit : Et si l’émergence était une femme ? Moi j’appuierai pour dire, Et si l’émergence était une femme rurale ?’’, s’est exprimée la Ministre Euphrasie Yao. Pour finir, Euphrasie Yao a appelé à une synergie d’actions de toutes les compétences en vue de faire de l’autonomisation des femmes en milieu rurale, une réalité d’ici 2030.
Le prix AllAfrica Leadership Féminin a été institué afin d’honorer les femmes africaines leaders dans leur domaine, mais également de susciter le désir de réalisation chez les filles et les femmes du continent. Dans la dynamique d’innovation, l’édition 2018 prévoit également, une séance de discussion intitulée ‘‘Elles Inspirent’’, entre des Femmes Leaders dans l’Entrepreneuriat, le Développement Economique, les Compétences diverses et des filles âgées de 16 à 20 ans en vue de les orienter et de les inspirer dans leurs projets d’avenir.
Pour l’édition 2018, les organisateurs vont lancer l’initiative AllAfrica Women Agenda (AWA) pour inscrire la réflexion autour de « L’Autonomisation Economique des Femmes et l’Accès des Filles à l’Ecole dans le Monde Rural » dans l’agenda des décideurs.
Cette Journée de réflexion permettra de montrer comment l’Etat, les hommes d’affaires et la société civile peuvent travailler de concert pour atteindre des résultats concrets sur l’éducation des filles en particulier leur scolarisation en vue de leur autonomisation, en s’inspirant des exemples tirés du monde rural.
Elisée B.
