Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le ministère ivoirien du Pétrole, de l’Energie et du développement des énergies renouvelables et la Société financière internationale (IFC) du groupe de la Banque mondiale ont organisé un atelier public-privé sur les opportunités de réduire le déficit énergétique grâce aux énergies renouvelables.
Pendant quatre jours, des dirigeants des secteurs public et privé ont discuté de comment attirer les investissements privés dans le secteur des énergies renouvelables en Côte d’Ivoire qui s’est fixée comme objectif d’accroître à 42% la part des énergies renouvelables dans son mix énergétique à l’horizon 2030.
L’atelier fait suite à la récente publication par IFC d’un rapport intitulé ‘’Creating Markets for Climate Business’’ (Créer des marchés dans le secteur du changement climatique) qui identifie sept secteurs industriels pouvant avoir un impact fort s’ils bénéficiaient de plus d’investissements privés.
Il s’agit, notamment, des énergies renouvelables, du solaire, du système hors-réseaux et du stockage de l’énergie, de l’agro-industrie, des bâtiments écologiques, du transport urbain et de la gestion de l’eau et des déchets urbains.
Selon le ministre ivoirien du Pétrole, de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables, Thierry Tanoh, ‘’la Côte d’Ivoire s’est dotée d’un agenda ambitieux pour développer le secteur des énergies renouvelables et y déployer des solutions efficientes et à coût abordable’’, se réjouissant de la collaboration d’IFC ‘’pour impliquer le secteur privé et atteindre nos objectifs’’.
La représentante régionale d’IFC, Cassandra Colbert a affiché la détermination de son groupe ‘’à travailler avec le secteur privé et le gouvernement pour positionner la Côte d’Ivoire comme le hub régional en matière d’énergies renouvelables et d’y promouvoir des initiatives novatrices qui favoriseront un développement soutenable de ce secteur’’.
En Côte d’Ivoire, la demande en électricité en période de pointe croit de 6,9% en moyenne par an depuis 2011. Elle a atteint près de 1300 mégawatts en décembre 2016. L’objectif des autorités est d’atteindre une capacité installée de 4000 mégawatts en 2020.
Des estimations évaluent à 10 milliards de dollars les investissements possibles dans le pays dans les initiatives intelligentes face au climat dont 2, 7 milliards de dollars sont liés aux efforts en cours pour atteindre l’objectif de 42% du mix énergétique fournis par les énergies renouvelables.
HS/ls/APA
Pendant quatre jours, des dirigeants des secteurs public et privé ont discuté de comment attirer les investissements privés dans le secteur des énergies renouvelables en Côte d’Ivoire qui s’est fixée comme objectif d’accroître à 42% la part des énergies renouvelables dans son mix énergétique à l’horizon 2030.
L’atelier fait suite à la récente publication par IFC d’un rapport intitulé ‘’Creating Markets for Climate Business’’ (Créer des marchés dans le secteur du changement climatique) qui identifie sept secteurs industriels pouvant avoir un impact fort s’ils bénéficiaient de plus d’investissements privés.
Il s’agit, notamment, des énergies renouvelables, du solaire, du système hors-réseaux et du stockage de l’énergie, de l’agro-industrie, des bâtiments écologiques, du transport urbain et de la gestion de l’eau et des déchets urbains.
Selon le ministre ivoirien du Pétrole, de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables, Thierry Tanoh, ‘’la Côte d’Ivoire s’est dotée d’un agenda ambitieux pour développer le secteur des énergies renouvelables et y déployer des solutions efficientes et à coût abordable’’, se réjouissant de la collaboration d’IFC ‘’pour impliquer le secteur privé et atteindre nos objectifs’’.
La représentante régionale d’IFC, Cassandra Colbert a affiché la détermination de son groupe ‘’à travailler avec le secteur privé et le gouvernement pour positionner la Côte d’Ivoire comme le hub régional en matière d’énergies renouvelables et d’y promouvoir des initiatives novatrices qui favoriseront un développement soutenable de ce secteur’’.
En Côte d’Ivoire, la demande en électricité en période de pointe croit de 6,9% en moyenne par an depuis 2011. Elle a atteint près de 1300 mégawatts en décembre 2016. L’objectif des autorités est d’atteindre une capacité installée de 4000 mégawatts en 2020.
Des estimations évaluent à 10 milliards de dollars les investissements possibles dans le pays dans les initiatives intelligentes face au climat dont 2, 7 milliards de dollars sont liés aux efforts en cours pour atteindre l’objectif de 42% du mix énergétique fournis par les énergies renouvelables.
HS/ls/APA