Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le gouvernement ivoirien a apporté, vendredi, « un démenti formel» à la rumeur propagée sur les réseaux sociaux annonçant la fermeture des frontières de la Côte d'Ivoire avec le Burkina Faso après les attaques terroristes perpétrées vendredi à Ouagadougou qui ont fait officiellement 16 morts.
« Au nom du Président de la république Alassane Ouattara, je voudrais apporter un démenti formel à ces allégations », a déclaré le ministre ivoirien de l'intérieur et de la sécurité, Sidiki Diakité dans un communiqué lu vendredi soir sur les antennes de la radiodiffusion télévision ivoirienne ( RTI- télévision, service public).
Poursuivant M. Diakité a rassuré les populations ivoiriennes de ce que « les dispositifs sécuritaires adaptés en pareille circonstance ont été prises» invitant celles-ci à vaquer sereinement'' à leurs occupations.
« Le gouvernement ivoirien adresse au peuple frère du Burkina Faso toute sa solidarité et sa compassion », a-t-il conclu.
Vendredi, peu avant la mi-journée, rappelle-t-on, des attaques perpétrées par des groupes armés sur l'ambassade de France et l'état-major des armées Burkinabè à Ouagadougou ont fait officiellement 16 morts ( 8 soldats burkinabè et 8 assaillants).
LB/ls/APA
« Au nom du Président de la république Alassane Ouattara, je voudrais apporter un démenti formel à ces allégations », a déclaré le ministre ivoirien de l'intérieur et de la sécurité, Sidiki Diakité dans un communiqué lu vendredi soir sur les antennes de la radiodiffusion télévision ivoirienne ( RTI- télévision, service public).
Poursuivant M. Diakité a rassuré les populations ivoiriennes de ce que « les dispositifs sécuritaires adaptés en pareille circonstance ont été prises» invitant celles-ci à vaquer sereinement'' à leurs occupations.
« Le gouvernement ivoirien adresse au peuple frère du Burkina Faso toute sa solidarité et sa compassion », a-t-il conclu.
Vendredi, peu avant la mi-journée, rappelle-t-on, des attaques perpétrées par des groupes armés sur l'ambassade de France et l'état-major des armées Burkinabè à Ouagadougou ont fait officiellement 16 morts ( 8 soldats burkinabè et 8 assaillants).
LB/ls/APA