Abidjan - Le porte parole du gouvernement ivoirien, Koné Bruno a exhorté, mercredi, les populations à ne pas céder à la psychose, en refusant de se faire justice, face au phénomène d'enlèvements d'enfants constatés à ce jour.
Pour le ministre Koné Bruno, qui intervenait au terme du conseil des ministres, au Palais de la République, les enquêtes sont ouvertes et permettront de remonter aux commanditaires éventuels qui seront condamnés, au même titre que les auteurs principaux.
"L'état ivoirien fera sa part chaque fois qu'une personne sera coupable (...), des cas éventuels nous permettront de remonter jusqu'aux commanditaires", a-t-il insisté.
A ce jour, huit cas de disparition d'enfants ont été enregistrés par la police nationale ivoirienne, dont trois mineurs décédés, quatre enfants retrouvés et remis à leurs familles et un autre enlevé à Bouna et toujours recherché par les services de police.
" Les populations doivent garder leur calme", a insisté le ministre de la Communication, de l'Economie numérique et de la Poste, qui a condamné vertement ces crimes rituels.
Quant aux personnes coupables de destruction de bien publics pour des raisons diverses, elle seront arrêtés et jugés conformément à la législation ivoirienne en vigueur, a relevé le ministre Koné Bruno.
Au total, 73 personnes, en relation, avec les émeutes qui ont conduit à la mort d'un gendarme et à la destruction de biens publics, notamment, dans le villes de Bloléquin, Soubré et M'Bahiakro ont été interpellées et devront rendre compte de leurs actions, a informé le porte-parole du gouvernement, qui a demandé d'éviter tout cas d'incivisme.
(AIP)
nmfa/fmo
Pour le ministre Koné Bruno, qui intervenait au terme du conseil des ministres, au Palais de la République, les enquêtes sont ouvertes et permettront de remonter aux commanditaires éventuels qui seront condamnés, au même titre que les auteurs principaux.
"L'état ivoirien fera sa part chaque fois qu'une personne sera coupable (...), des cas éventuels nous permettront de remonter jusqu'aux commanditaires", a-t-il insisté.
A ce jour, huit cas de disparition d'enfants ont été enregistrés par la police nationale ivoirienne, dont trois mineurs décédés, quatre enfants retrouvés et remis à leurs familles et un autre enlevé à Bouna et toujours recherché par les services de police.
" Les populations doivent garder leur calme", a insisté le ministre de la Communication, de l'Economie numérique et de la Poste, qui a condamné vertement ces crimes rituels.
Quant aux personnes coupables de destruction de bien publics pour des raisons diverses, elle seront arrêtés et jugés conformément à la législation ivoirienne en vigueur, a relevé le ministre Koné Bruno.
Au total, 73 personnes, en relation, avec les émeutes qui ont conduit à la mort d'un gendarme et à la destruction de biens publics, notamment, dans le villes de Bloléquin, Soubré et M'Bahiakro ont été interpellées et devront rendre compte de leurs actions, a informé le porte-parole du gouvernement, qui a demandé d'éviter tout cas d'incivisme.
(AIP)
nmfa/fmo